« Almost human » n’est pas un véritable navet mais ça reste un petit film sans réelle consistance. Si l’ensemble fait penser aux métrages des années 80 et fait preuve d’une belle générosité côté horreur et meurtre, on ne peut toutefois nier que c’est plus un défouloir référentiel de la part de Joe Begos qu’autre chose. C’est bien simple, hormis les homicides, le métrage n’est qu'une succession d'incohérences, d’ellipses, de choix incompréhensibles, de gags involontaires, de faux raccords, j’en passe et des meilleurs. Et en dépit de sa courte durée, le rythme est lent, certaines scènes inutiles ou bien hors écran et les acteurs sont peu crédibles et débitent des dialogues insipides. Un film vraiment mineur à oublier rapidement, d’ailleurs c’est déjà fait !
Pas très haut de plafond, ce petit film d'horreur est plus gore que réellement effrayant. Le remplissage est de mise, surtout les passages avec Seth le dépressif depuis la disparition de son ami, la confrontation avec Mark se faisant attendre. D'autant que le jeu d'acteurs n'est vraiment pas terrible. Les scènes de meurtre manquent cruellement de tension, et sont expédiées à la va vite. Aussi vite vu qu'oublié, il vaut le coup d'œil pour les amateurs de sang. Et encore.
Les profanateurs de sépultures façon brain dead, pourquoi pas mais effectivement le charisme des acteurs n'est pas transcendant et l'acteur principal est plutôt fade. Quand le réalisateur est multicarte c'est jamais bien bon... L'histoire est bien plate et les effets spéciaux restent bien gore. Malheureusement, le tout étant bancale, on n'adhère pas du tout car c'est sans intérêt.
Une suite de tuerie assez gore, de la part d'un homme "enlevé" qui revient 2 ans plus tard, avec objectif de reconquérir son ex afin de repeupler la terre d'une sorte d'entité alien. Mise à part les scènes gores, rien de bien terrible dans ce film.
Une œuvre mélangeant horreur et science-fiction mais qui n'est franchement pas intéressante et passionnante. Malgré sa courte durée, "Almost Human" traîne en longueur et nous fait décrocher le fil de l'histoire par des séquences ridicules, des acteurs moyens et peu charismatiques ainsi qu'un scénario mal conçu. Un nanar peu gore et qui ne fait pas rire réalisé et mis en scène par Joe Begos. Rien d'original ni de surprenant dans ce film sorti directement dans les bacs. Certes de bonnes idées se font voir et ressentir, de même pour les références ("The Thing" de Carpenter par exemple) mais le manque de profondeur est véritablement cruel et poignant. Un mauvais film pour ma part.
On est là en présence d'un bon nanar, ni marrant, ni gore, ni pas grand chose. On a l'impression que le film à 30 ans (l'action se passe dans les années 80 mais je crois pas que cela est fait exprès). Des effets spéciaux façon SyFy en moins bon, une histoire vu déjà dans de meilleures films (Body Snatcher par exemple), et puis c'est tout. J'ai mis 2 parce que je l'ai acheté:)
Pas désagréable à suivre, malgré un budget que l’on imagine très serré, pour ne pas dire inexistant, Almost Human a le malheur de ne proposer rien d’inédit. Il tente de ressembler à tous les films cultes de ces quarante dernières années, sans leur apporter un regard frais ou novateur. On a donc un peu l’impression de regarder un fan-film où le réalisateur, très jeune au demeurant, se fait plaisir à citer ses références. L’histoire est entièrement pompée sur celle des Body Snatchers (version des années 70), mais l’intrusion d’éléments gore inutiles fait songer à du Peter Jackson (en moins drôle), tandis que la tronçonneuse introduit l’ombre tutélaire de Tobe Hooper. A ce petit jeu, chaque plan fait penser à un autre film. Sauf que Begos n’a pas la maestria de ses aînés et qu’il dispose d’un casting d’endives au jeu extrêmement limité (en gros, on écarquille les yeux). Dommage, car l’ensemble est suffisamment resserré pour ne pas ennuyer. Juste oubliable.
Bon, ce film se regarde même si les effets spéciaux sont mauvais. On en arrive même à sourire parfois de la médiocrité des costumes et du scénario. Plutôt long, la seule chose qui tient éveillé le spectateur est le jeu des acteurs. Je ne les ai pas trouvé mauvais, ils en arrivent même à tenir le film. Sinon, le film a aussi mal vieilli du point de vue de l'image, du son, des décors...
Un slasher horrifique assez sympa, en sommes plutôt basique mais les morts sont plutôt assez décaler et le film à un petit côté humoristique qui lui donne un certain charme. Il n'en reste pas moins que almost Human est vite vu, vite oublier comme souvent dans ce genre de film et qu'il n'est ni extraordinaire ni inoubliable.
Pas grand chose à retenir de ce film si ce n'est qu'il fait plus que lorgner sur l'invasion des profanateurs sans jamais l'égaler. On est vraiment devant une série B dans tous les domaines (budget, acteur, ambiance, scénario pompé, de nombreuses incohérences....). Bref ça fait à peine passer le temps pour ceux qui n'ont rien d'autre à faire
Scénario qui se rapproche de 'L'invasion des profanateurs" (je connais surtout celui de1978) mais qui ne produit pas du tout le même résultat.... je me suis ennuyée terriblement mais ayant horreur de commencer un film sans aller jusqu'au bout, j'ai tenu le coup jusqu'à la fin.... Réalisation médiocre.
Un film qui a au moins eu le mérite de me faire mourir de rire car il n'y a ni mise en scène, ni scénario ni même d'acteurs qui valent la peine de s'y pencher...
Almost Human (rien à voir avec la série TV) est un film d’horreur à la hauteur de son budget, c’est-à-dire, au ras des pâquerettes. Tout d’abord, la durée de 1h19 est méchamment mangée par les 9 minutes de générique de fin, donc il ne s’agit plus que d’un film de 1h10. De plus, lorsque l’on commence le visionnage, pour un film récent, on a l’impression de se retrouver devant un film du début des années 80, que ce soit par son générique ou par sa réalisation très vieillotte. En dehors de cela, le scénario est vide de tout, même pas le semblant d’une bonne idée, juste ce qui semble plus du pompage qu’un hommage aux films tel que l’invasion des profanateurs, The thing ou Hidden. Et vraiment dommage qu’il faille attendre la fin du film pour qu’il se passe réellement quelque chose, et cela sans aucunes réelles explications.