1,5
Publiée le 4 février 2021
Le réalisateur de ce film semble ne rien savoir ou ne veut rien savoir sur la dramatisation. L'histoire est très ennuyeuse et inintéressante pour le grand public. Le jeu des acteurs est mauvais et surtout exagéré on sent et on voit que les acteurs et actrices jouent. Il y a peu de développement du personnages et lorsqu'il se développent c'est en raison de circonstances extérieures. Les transitions de Steve du calme à la manie sont déconnectées et sans fondement ce qui fait que l'histoire se déroule au hasard et non comme un drame. Il y a trop de personnes gentilles mais dysfonctionnelles et elles ne disent pas de choses intéressantes ou ne se lancent pas dans un arc d'histoire mais se contentent de parler sur leurs dysfonctionnements. Elles sont très improbables et sonnent souvent creux. Par exemple la mère de Steve une danseuse devient soudainement traductrice littéraire. C'est peut-être une bonne mère mais elle a toujours du mal à se faire appeler Madame par les autorités. C'est une absurdité psychologique est-elle une paysanne, une hippie ou une étudiante diplômée. Au lieu d'ancrer l'histoire de l'école à la maison dans une intrigue secondaire thématique le rôle de Kyla nous fait simplement dévier de l'histoire alors qu'elle souffre puis explose au visage de Steve sans raison...
1,0
Publiée le 21 mars 2015
Après une première expérience très catastrophique avec "Les Amours imaginaires", j'ai décidé de donner une seconde chance au jeune "prodige" Xavier Dolan. Enfin disons que sous l'avalanche d'éloges qu'il a reçue pour "Mommy", je me suis laissé persuader de regarder ce film. J'aurais pas dû...
Alors c'est l'histoire de deux têtes à claques racontée sous forme d'une accumulation de séquences tape-à-l’œil pas forcément cohérente où le réalisateur se préoccupe beaucoup plus de son visuel que de la narration, de ses personnages et de la profondeur, le tout avec une playlist utilisée n'importe comment (par contre il faut bien avouer que Dolan a de très bons goûts musicaux !!!). Seule Suzanne Clément, et encore grâce à son talent d'actrice, réussit à sauver quelques instants.
Un jugement un peu trop bref et lapidaire peut-être mais j'avoue que je n'ai nullement envie de m'étendre sur une oeuvre qui m'a au pire énervé, au mieux ennuyé pendant sa vision.
Enfin le plus important c'est que Dolan en ayant saisi très tôt les codes de l'industrie du cinéma et donc en donnant parfaitement ce que les critiques attendaient de lui est parvenu à son objectif, pouvoir diriger un film américain avec une star hollywoodienne. C'est un grand talent que très peu de personnes, même dans le milieu, ont.
1,0
Publiée le 16 octobre 2014
Bon… Bah on s’ennuie quand même pas mal dans ce film non ? Alors OK, j’entends bien les arguments de certains qui disent qu’il y a là de beaux personnages et des moments émouvants. Je ne les contredis pas parce que, sur ce point, je suis d’accord. Le personnage de Steve, incarné par un excellent Antoine-Olivier Pilon, irradie effectivement l’écran et ses deux partenaires féminines savent se mettre au diapason. Mais bon… Plus de 2h quoi… La durée en soit ne me dérange pas, mais à condition qu’on en fasse quelque-chose. On se retrouve quand même avec 40 minutes de situation initiale qui se limitent quand même, soit à de la répétition de ce qui a déjà été dit/montré, soit à de simples scènes extatiques caricaturant abusivement la trame émotionnelle du propos. En gros, on pourrait résumer la démarche de Dolan de la façon suivante. Dans l’intro, les spectateurs doivent se dire que Diane est une grosse plouc démissionnaire et que son fils est un sale gamin totalement timbré. Donc on va forcer les caricatures dans ce sens. Mais, dans les minutes qui suivent, il a été décidé que le spectateur devait diamétralement retourner sa position en se rendant compte comment Diane et Steve étaient finalement des gens trop sympas, trop complices, trop avenants avec les autres… Bref, on les avait mal jugés… Ils sont trop cool en fait. Ensuite, après ça, le film se limite, en gros, à la simple application de la démarche habituelle du cinéma bobo : les gens du peuple savent vivre et sont cool, quant aux bourgeois, ils devraient peut-être s’inspirer d’eux. Une fois ce postulat de bonheur posé, il ne reste plus qu’à faire s’abattre sur ces vilaines gens la fatalité de la vilaine société … Alors, je ne dis pas, il faut bien qu’un auteur ait une démarche et qu’il sache user d’artifices pour rendre cette démarche viable. Le problème, pour moi, c’est que non seulement cette démarche on l’a déjà vu mille fois dans le cinéma bobo français ou américain (non mais quand même ! Un peu d’originalité de temps en temps !) Mais en plus, les artifices utilisés sont rigides, maladroits, et surtout ils entrainent des ruptures de logique et de rythme qui moi m’ont sorti du film toutes les cinq minutes. Non, désolé, qu’un gamin qu’on dit atteint de TDAH – et qui se sait atteint de TDAH ! – soit aussi spontané, avenant, décontracté avec un voisin qu’il n’a pas vu depuis des années, dès le premier contact, au sortir du mitard, ça ne colle pas ! Certes, Dolan opère cette rupture pour obliger le spectateur à renouveler son regard, mais la rupture est tellement faite au burin que l’appréciation qu’on se fait du personnage de Steve ne peut se faire qu’en occultant en permanence des scènes à droite et à gauche… Et c’est dommage, car ce personnage est véritablement la clef de voute du film. Le pire, c’est que j’aurais voulu aimer ce film parce que j’appréciais au fond la part de fantasme honnête que Dolan a mis dans ce personnage. Mais, je suis désolé, je trouve vraiment que ses artifices sont trop mal maitrisés, trop répétitifs et trop pauvres. Toutes les cinq minutes, l’ami Dolan appuie sur la touche « Play » de son baladeur des années 1990 et il met l’image en slow motion pour faire « moment émotion ». Une fois OK, tout le temps c’est lourd parce que pas très inventif. Et qu’est-ce que c’est ce que monde qu’il dit d’un futur proche et où personne ne connait ou diffuse de chansons autres que celles de la fin du XXe siècle ?!! Alors non. Pour ma part, ce film est vraiment impossible à voir. J’aimerais ne retenir que les petites bribes sympas où Dolan fait preuve de sincérité et d’émotion, mais jamais je n’ai réussi à occulter tout le reste : répétitions ; faute de rythme, effets narratifs mal maitrisés ; ultra-prévisibilité d’une démarche déjà appliquée mille fois ; définition des personnages au burin ; imagerie bobo-gay-friendly tirée jusque dans la caricature ; bande-originale presque limitée à la simple compil’ issue de l’adolescence de l’auteur ; scènes de sentimentalisme bon marché et surappuyé… Pitié… Moi je veux bien que Dolan soit un gentil garçon et qu’on le félicite d’essayer de singer les grands. Mais qu’on le fasse pour tout le monde alors, pas seulement pour les gens qu’on apprécie parce qu’ils ont la chance de correspondre à un archétype qu’on adore adorer dans le milieu… Je trouve ça non seulement trompeur pour les gens qui aiment aller régulièrement au cinéma parce qu’on leur vend quelque-chose qu’ils auront déjà vu plein de fois mais en mieux ; mais c’est aussi trompeur pour celui qui n’a pas le temps d’aller régulièrement au cinéma et qui va penser que c’est là le film à voir. Alors peut-être que dans le second cas, « Mommy » pourra encore plaire, faute de comparer à mieux, mais dans les deux cas par contre, c’est amener les gens à prendre de leur temps pour voir un film au dépend d’un autre qui aurait été certainement mieux apprécié… C’est triste ça…
1,5
Publiée le 8 janvier 2015
Coup de gueule contre l'unanimisme béat que suscite "Mommy"
A l'heure des bilans 2014 le film de Xavier Dolan provoque des flots écœurants de commentaires enamourés. Le moins ridicule n'étant probablement pas celui de Isabelle Adjani.
C'est le moment de dire tout le mal que j'ai pensé de ce film :
Le héros ? Un ado à qui on a envie de filer des claques. Non, mon garçon, tu n'es pas hyperactif et surdoué. Tu es juste chiant et mal élevé !
La BOF ? La playlist d'un auditeur de NRJ qui a envie de faire partager ses coups de cœur à ses potes. Ouaou ! Hypissime !
La caméra ? Un cadre carré pour décrire l'enfermement. Un cadre qui s'élargit pour montrer la libération. Ouaou ! Génialissime !
Le scénario : l'amour maternel est plus fort que tout. Ouaou ! Rebellissime !
1,0
Publiée le 2 mars 2018
Un film dans lequel l'irritation le dispute à l'ennui, devant tant d'emphase, de prétention et d'hystérie. Franchement déconseillé !
1,5
Publiée le 15 mai 2017
Je vais sans nul doute m'attirer quelques foudres déchaînées, mais j'en suis navré, Mommy est un drame social gueulard à l'excès, dont on ne saisit à peu près qu'une phrase sur cinq. Et qu'on ne vienne pas me servir l'excuse du genre "c'est normal que tu comprennes pas, c'est du québécois": j'ai vu par le passé d'autres films québécois (le Déclin de l'Empire Américain par exemple) qui restaient largement compréhensibles pour les francophones sans être obligé de le sous-titrer. L'idée du format d'image est en soi intéressante, mais Dolan nous joue la surenchère dans la moindre scène: excès de son, excès de démonstration, excès de vulgarité. Après une demi-heure de ce régime, on commence à regarder la montre en se demandant quand le calvaire va prendre fin, celui de la mère comme le nôtre. Une bande-son pour ados vient contrebalancer une mise en scène pour récompenses festivalières, une espèce de grand écart que beaucoup salueront, moi pas car je n'y vois qu'une manière de consensualiser la démarche. Les acteurs sont bons, c'est un fait, mais tout le film transpire trop l'excès pour susciter l'empathie.
1,5
Publiée le 9 octobre 2014
J'attendais ce film avec impatience et au final j'ai été très déçue. Les raisons sont les suivantes : le film est pénible à suivre en raison des sous titres, le cadrage carré est pénible aussi mais surtout le film dans son ensemble est stressant, vulgaire, dérangeant.
Je n'ai pas accroché du tout à ce fils et cette maman complètement borderline tous les deux.
C'est très dur d'avoir à visionner un film aussi pénible et en plus très long.
1,5
Publiée le 14 septembre 2019
En quelques films, Xavier Dolan a su imposer sa sensibilité, son caractère pour filmer les sentiments exarcerbés, la torpeur au sein de familles dysfonctionnelles. L'amour, la joie semble impuissant à empècher le mal-etre, les vicissitudes. Son histoire est ici un peu tiré par les cheveux sentant la volonté de vouloir émouvoir et de réaliser un grand film populaire... Mais Dolan sait réaliser de grandes scènes, et effectivement, il n'y a pas un mais trois personnages principaux, oui même la voisine dont on sait si peu sinon qu'elle aime à être en compagnie ce cette mère et de son fils, luttant avec leur forces, leurs volontés, leur espoirs ("loin du réconfort" pour reprendre une chanson de Bashung"), et leurs failles contre les difficultés de l'existence. La B.O est excellente.
1,5
Publiée le 18 décembre 2017
Au vu des critiques, je n’ai pas dû voir le même film que certains. Les deux premiers choix qui sautent très vite aux yeux suffisent à vous mettre de mauvaises humeurs. Il s’agit du format, tourné en 1:1 pour un raison inconnue et bien sur la langue en quecbecois, une langue si particulière. Deux choix complètement raté. Car si autant on arrive à s’adapter au format, qui est même utilisé pour rendre un effet particulier par la suite, on ne peut passer outre la langue, qui nous oblige, déjà à trouver un film en sous-titré, et ensuite à lire tout le film. Tourné en grec ancien aurait finalement été pareil. Ces éléments de côté, le film est long, ennuyant sur la fin, sans rebondissements, si ce n’est les factures d’une mère à payer. Passionnant. Quel est le but de ce film ? Les sacrifices d’une mère, l’amour malgré le handicap, l’éducation ? Euh non, ça ne peut pas être l’éducation, au vu de l’intelligence du personnage principal ou des dialogues... Cela de coté, l’ensemble n’est guère crédible entre la relation malsaine mère-fils à connotation sexuelle, la voisine qui bégaye (alors que ça devrait plutôt être le fils) et qui passe toute ses journées en leur compagnie à en oublier sa propre famille (à l’image de la scène pour l’appel du repas), les choix surfaits et peu subtil (exemple l’avocat), mais surtout un syndrome de TDAH irréaliste au possible. Si maintenant, je parle de la fin, de quelle fin ? Celle qui sous-entend l spoiler: e suicide ? Non, parce que d’un point de vue réaliste, il va simplement s’écraser contre la vitre,
et la fin n’a alors aucune portée, aucun intérêt, tout comme le reste du film qui reste plat à montrer des scènes répétitives de vie du commun des mortels. Finalement le mieux dans Mommy, c’est le choix de musique et les scènes sans dialogues (on en reviens au quecbecois…), le reste, ponctué de longueur, est sans intérêt.
1,5
Publiée le 28 janvier 2016
Que ce fut dur pour moi de regarder ce film. Ce film dont tout le monde parlait, ce film apparemment magnifique, d'un jeune réalisateur prodige.
Je me considère assez ouvert et curieux dans tout ce qui est artistique. Et concernant le cinéma, que ce soit du gros blockbuster qui débranche le cerveau à un film d'auteur intimiste, je peux apprécier.
Donc c'est sans parti pris que j'ai regardé mommy.
Mais appart de constater le talent des acteurs, la mise en scène est assez inexistante ou au mieux "commune" mais indigne de tout ce tapage médiatique.
Et d'autre part, le rythme du film est trèèèèèèèèèèèèèès lent. A ce stade, ce n'est plus un drame, c'est un soin paliatif. J'ai essayé mais rien à faire, je me suis copieusement ennuyé.
Peut etre le manque de rebondissement, peut etre a cause de l'accent Canadien des acteurs, peut etre a cause du sujet, je ne sais , mais l'ennui fut bien présent.
1,0
Publiée le 16 juillet 2016
Un film très largement sur-coté, où l'on s'ennuie pas mal et qui nous laisse assez froid. Le seul point positif reste la bande sonore qui revisite quelques bon tubes.
1,0
Publiée le 13 mai 2017
D'ordinaire acquis au cinéma innovant du petit prodige québécois, je dois avouer être totalement passé à côté de ce supposé "chef d'oeuvre". Je n'ai ressenti absolument aucune empathie pour ce jeune paumé, raciste, violent et insupportable. Une véritable tête à claque, tout comme sa mère d'ailleurs. Ca hurle constamment dans tous les sens et ça traîne en longueur. Détestable! Une énorme déception que ce film de Xavier Dolan, pourtant tellement salué par la critique et le public. Pas par moi en tout cas.
1,0
Publiée le 10 octobre 2014
Moi aussi je me suis complètement fait avoir par toutes les bonnes critiques. J'ai trouvé ce film très pénible, très vulgaire et très stressant.
L'accent québécois est affreux et je suis sortie de la salle complètement "lessivée" par ce film difficilement supportable.
Heureusement que la veille j'avais vu "Gone Girl" qui lui est vraiment excellent.
1,5
Publiée le 14 novembre 2014
Pas d'accord avec l'encensement de ce film qui, malgré sa force émotionnelle, reste superficiel, convenu, caricatural et surtout peu crédible. Sa fin spoiler: dramatique associe une idée de rédemption (le suicide -éludé mais suggéré- en fait partie) avec une attitude de déni maternel détestable
. L'ensemble paraît trop léché, trop sentimentaliste et absurde car, en optant pour le drame au bout des montagnes russes, le traitement sérieux de la relation mère-fils passe à la trappe; il est trop facile d'éluder ainsi l'issue de l'histoire. Pour commencer, le profil du personnage principal est très mal conçu, on le dit atteint de TDAH alors que ça n'est guère vraisemblable! Qui plus est, c'est la voisine (Kyla) qu'on fait bégayer, alors que ça devrait plutôt être lui (Steve) qui a du mal à s'exprimer. Plus fondamentalement, avoir choisi la mise en avant d'un désir tabou, fantômatique, de type sexuel sado-masochiste, pour caractériser la relation entre le fils et la mère, c'est non seulement excessif mais, de plus, cela nuit à la crédibilité du sujet traité. Ce choix d'allure factice manifeste un désir de dramatisation, un poil provoquant, qui s'avère raté -car bien trop simpliste- et qui n'apporte que de la confusion. Le traitement bancal et faussé du sujet -ce qui semble paradoxal vu la longueur du film- exprime une certaine immaturité de la part de Xavier Dolan, plus soucieux d'effets de style et d'étourdissements improbables que de réalisme social et de recherche dépouillée d'artefacts. Il prétend taper dans un certain réalisme alors qu'il choisit de mettre en avant une histoire à l'allure artificielle et aux émotions populistes. Tout est parcouru d'esthétisation surfaite et de situations factices, mis à part l'histoire d'amitié qui lie les deux voisines spoiler: (et encore, que dans son début et sa fin)
. Le montage se retrouve saccagé par l'usage abusif de ralentis, d'instants clipesques à visée populaire, destinés à générer de l'émotion facile -du genre "regardez-moi l'artiste"-, ce qui anéantit le souci de réalisme. L'ensemble reste superficiel, apprêté, distancié, destiné à s'attirer une sympathie d'un public malléable par des moyens calculés. MOMMY exploite un drame social de manière malhonnête, en faisant miroiter en contrepoint un modèle conservateur du moins très conformiste, en simplifiant les données, en caricaturant des personnages bancals, en tombant dans un certain populisme, en fonçant dans la facilité. Pour une histoire de type Ken Loach, le style de Dolan ne convient pas. Reste que ce film n'est pas non plus nul, tout a simplement été adapté et gâché dans le but de plaire, de le constituer en divertissement. A.-O. Pilon s'en tire pas mal mais l'absence de ressemblance à la mère dénature le drame. Le jeu d'Anne Dorval, par contre, ne convient pas du tout: ce qui sonne faux, ce n'est pas tant les dialogues que l'interprétation, mauvaise; et, avec son air trop bourge-vulgaire, cette actrice n'apparaît pas à sa place. L'esthétisation et l'exposition grandiloquente des sentiments des caractères prouvent leur efficacité au vu des critiques positives mais agissent, à l'inverse, pour le sujet traité, comme des moyens de manipulation superfétatoires. Pour la plupart des spectateurs, l'effet d'illusion fonctionne; ce qui n'est pas le cas pour d'autres, qui n'ont pas adhéré à cet ensemble indigeste de partis pris factices.
1,0
Publiée le 17 octobre 2014
dès le début , un flot de grossièreté et de violence , des personnages antipathiques et caricaturaux , la mère vulgaire et d'une désinvolture incroyable , le fils hystérique et débitant les pires mots à longueur de phrase , et comme attendu un début de rédemption avec bien sûr l' émotion portée par la bande son appropriée ( céline dion ...) , trop c' est trop ,un film détestable encensé évidemment par la critique de presse .
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