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    Mommy
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    1 212 critiques spectateurs

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    Allocritik
    Allocritik

    36 abonnés 32 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 octobre 2014
    Xavier Dolan a changé, il ne se filme plus le nombril comme dans ses précédents films (Les Amours Imaginaires, en tête de gondole). Il n'en reste pas moins prétentieux. Prenant le parti d'utiliser le format 1:1 (excepté lors de quelques scènes), il fusille son film dès la scène d'ouverture. En effet, ce format peut être utilisé pour donner au spectateur un sentiment de quasi claustrophobie s'opposant à un format 16:9 utilisé lors des scènes où le héros, Steve, se sent libre. Mais l'utilisation de ce "carré parfait" ne sert ici strictement à rien, le sentiment d'oppression n'étant jamais présent chez le spectateur. De plus, le format 1:1 nuit au film car il contraint Dolan à diriger ses scènes au milieu d'un périmètre restreint, laissant moins de place à l’environnement des personnages.

    Le réalisateur se plante sur tous ses choix: couleurs trop vives, musiques extradiégétiques omniprésentes, chaque plan dégouline de kitsch. Ceci ne serait pas dérangeant si l'on était en présence d'une série Z des années 80. Or il saute aux yeux que le cinéaste a voulu penser son film comme un chef d’œuvre, erreur qui lui a été fatale. Xavier Dolan est un bon réalisateur de clip. Son style, que l'on aime ou pas, convient à une durée de 3 minutes 30, pas à un film de deux heures et demie.

    A l'instar de Laurence Anyways, ou encore des Amours Imaginaires, Mommy est une succession de clips trop "hype" : Steve marche dans une boite de nuit filmé de dos comme une rockstar, Steve fait du skate dans la rue, les bras en croix, filmé de dos... De plus, l'utilisation d'effets stylistiques à outrance nuit au propos du film, la palme d'or aux ralentis inutiles, placés un peu partout dans le film. En effet, quel est l’intérêt de nous montrer le héros plonger sur le lit de sa nouvelle chambre, le tout dans un ralenti digne des blockbusters de Zack Snyder ? Il n'y en a aucun.

    Xavier Dolan semble rester enfermé dans les pages de magazines de mode et d'esthétisme qu'il affectionne. A trop rechercher une perfection esthétique, à trop vouloir faire de ses acteurs des gravures de mode, il les rend irréels. Et cette irréalité dessert un scénario qui se veut poignant de réalisme, moins dans le propos (qui traite vaguement d'une loi inexistante mentionnée avant l'ouverture du film) que dans la relation entre les personnages. On ne peut accorder de crédibilité à une relation entre des personnages auxquels on ne croit pas une seconde.

    Mais le plus gênant dans Mommy est la surenchère de pathos. Dolan semble vouloir émouvoir le spectateur. "Regardez comme je filme bien ! Regardez comme mes personnages sont tristes ! Ils ont une vie difficile ! Il faut pleurer maintenant ! Tiens regardez ce ralenti là ! Allez, pleurez ! Pleurez !". Cela fonctionne si le réalisateur considère que l'essence de la télé-réalité (le pathos à son paroxysme et l'absence de réflexion) doit se retrouver dans l'œuvre cinématographique. Or il faut accorder peu de crédit au spectateur pour employer les mêmes artifices.

    Dolan, c'est le Duchamp du septième art. Mommy, c'est 2h30 de vide sidéral. Les précédents films du cinéaste pouvaient faire réagir, positivement comme négativement, amener le spectateur à aduler ou détester le film et le réalisateur. Ici, il n'en est rien. On ressort de la salle sans aucun sentiment, mis à part celui d'avoir perdu son temps, et son argent.

    Une fois tous ces points négatifs mis de côté, que reste-t-il ? Les acteurs sont plutôt bons, mention spéciale à Anne Dorval, superbe. Et il reste une très belle scène. Une scène de rêve sur laquelle le film aurait du s'arrêter, avant de basculer dans un final (très) dispensable. Un final enchaînant clichés sur clichés dans un scénario qui ne convainc pas, semblant sorti du carnet d'écriture d'un adolescent encore un peu immature. spoiler: N'hésitez pas à suivre les actualités d'Allocritik sur les réseaux sociaux Facebook et Twitter (liens sur le Blog) !
    Etienne V.
    Etienne V.

    34 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 octobre 2014
    Une esthétisation systématique et lourde, manquant d’authenticité, que Dolan sur-utilise à chacun de ses films, mais qui présente ici néanmoins l’intérêt d’être en écho au fonctionnement maternel autour duquel « ça tourne !», provoquant alternativement et successivement l’attirance ou le rejet. Une vulgarité pudique, qui veut tout montrer, paradoxe de celle qui a comme des choses à se reprocher, incapable de garder le secret comme pour continuer à mieux le cacher. « Mais si, dis le moi, sinon je vais pas réussir à m’endormir ce soir ». Elle finie toujours par « lâcher le morceau », lui permettant ainsi de continuer à protéger l’essentiel.

    Une jolie histoire d’un trio marginal qu’on voudrait ne pas détester, qui s’aménage un espace ou il se passe (enfin!) des choses mais ou rien ne semble suffire … placements, déménagements… tout bouge mais rien ne change … fuites ou éloignements, retours en arrière ou déplacements ? Dolan me semble parvenir à nous faire toucher cette incertitude systématique, qui remet toujours tout en question, pour chacun des trois. Entrecroisement de parcours existentiels hors normes, en pleine reconstruction normative et narrative, c’est à dire en cours de guérison … entre déséquilibre stable et équilibre instable, manquant à chaque instant de faire basculer sa situation et celle de l’autre. Ils ne parviennent pas à positionner le curseur de leurs relations, de la même manière qu’elle ne sait pas aller à la banque autrement qu’en tailleur rose, récupérer un gros tas de petites coupures.

    Dolan ne semble pas mieux parvenir à positionner le curseur émotionnel, entrant en résonance avec ses personnages mais limitant également son oeuvre. Dommage qu’il ne sache pas lui-même changer de registre pour nous montrer la finesse de l’évolution de « Steve et son trouble », effectivement non réductible a une réponse chimique. A ce titre, les discours du social et du psychiatrique apparaissent grossiers, tout en dénonçant une certaine réalité quand même, et un certain vécu aussi. L’espérance est à trouver ailleurs spoiler: , et pourtant c'est par là que la mère en trouve momentanément
    !
    Peut être aurait-il pu utiliser le personnage de la voisine, mais dont la difficulté est justement de ne pas pouvoir dire, d’être là à la fois indispensable et simple faire-valoir dont on abuse voire qu’on agresse, présente dans les rêveries de la mère qui semble pour autant incapable de lui donner sa juste place dans la réalité. Mais c’est bien cette complexité du positionnement qui est racontée ici, et merci de le faire.

    Effectivement la bande son, les cadrages et les nombreux ralentis sont franchement gavants. Mais d’une part ça raconte plus notre difficulté à accepter qu’il faut trouver l’espérance en nous et ne pas l’attendre du film, qu’une faiblesse du film. D’autre part c’est une mise en abime entre le contenu et la forme de ce Mommy, et avec l’ensemble de l’oeuvre de Xavier Dolan. On peut espérer pour lui qu’il parvienne dans la suite de sa carrière à changer de registres, à dialoguer.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 9 octobre 2014
    comment peut on parler d'un film aussi nul.
    la provocation ce n'est pas du génie... le jeu des acteur frise la caricature,
    ce film est un film pour bobos parisiens...
    mais malheureusement ma critique ne changera pas grand chose, car les journalistes et les critiques
    ont décidé d'en faire un film "à la mode" et les moutons vont suivre...
    le vrai cinéma fait rêver.... un désastre!
    laurenvial
    laurenvial

    47 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 13 janvier 2015
    Je ne comprends pas!
    Comment un film aussi ennuyeux et lent a-t-il pu être aussi encensé?!
    J'entendais partout dire "tu vas voir, c'est LE film de l'année! J'ai pleuré comme une madeleine!"

    Mais quand??
    A quel moment fallait-il pleurer dans ce film?
    Qu'est ce qui est émouvant?
    Je n'arrive toujours pas à savoir!
    Je serais allée voir Les Bronzés, niveau émotion, ça aurait été pareil! Mais au moins, je me serais un peu marrée!
    Pourtant, je suis une vraie sentimentale, fleur bleue et compagnie! Mais alors là!!! Je ne comprends pas!!!

    Je suis restée complètement extérieure au film et je n'ai pas réussi à ressentir quoi que ce soit! Ce Mommy m'a laissée complètement froide!

    J'ai trouvé au moins 3 explications à mon désintérêt total :
    - L'extrême lenteur de ce film, avec des scènes sur lesquelles on passe beaucoup, beaucoup, beaucoup de temps spoiler: (ex : Lorsque Diane rentre des courses, que son sac craque et qu'elle reste plantée là, les bras tendus, pendant au moins 10 secondes! OU encore l'accident de Diane en intro.. A quoi sert-il???)

    - L'argot canadien qui devient insupportable au bout de 20 minutes
    - La façon dont est tourné le film, "en mode carré" et en plans ultra rapprochés!! spoiler: Alors certes, il y a cette volonté d'élargir les plans aux moments d'espoir, de joie et de bonheur... Mais c'est si anecdotique! On le remarque à peine!
    On a l'impression d'être devant un mauvais téléfilm!

    Tous ces pollueurs m'ont complètement empêchée de rentrer dedans!

    Enfin, trop de questions restent sans réponse!
    spoiler: - Comment Steve ramène le caddie rempli de courses et le cadeau à sa mère au début? Avec quel argent? Est-ce qu'il l'a volé à sa mère? Est-ce qu'il a volé le magasin? - Que devient la dette de Diane pour dédommager la famille de Kevin Julien? - Quel est le problème dans la famille de Kyla? Cet aspect du film est totalement inexploité!!!


    L'étoile que j'attribue revient donc uniquement au jeu d'acteurs époustouflant, mené par un Antoine Olivier Pilon grandiose, excellentissime et parfaitement juste! Ainsi qu'à la B.O particulièrement bien choisie!

    A part ça, zéro!
    paulusnumero1
    paulusnumero1

    5 abonnés 115 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 19 octobre 2014
    Un film criard et qui pourtant manque de rythme. Je me suis pas mal ennuyé. Une réalisation qui se regarde beaucoup filmé. Je ne suis pas ému une seule fois.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 15 novembre 2014
    Ce film est très crispant. La mère est hystérique. Elle est vulgaire, elle crie .Le fils est complètement dément.Je n'ai rien trouvé d'interessant dans le scénario .Souvent j'ai eu envie de partir . Quand on voit la récompense à Cannes on sourit sur la valeur de leur jugement.
    Jeo Jo
    Jeo Jo

    14 abonnés 137 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 août 2020
    A O Pilon crève l'écran en ado tour à tour tendre et incontrôlable.
    Une force émotionnelle traverse le film et la violence qui s'en dégage est fort bien ressentie. La dernière demie heure tire un peu trop sur la corde mélo qui du coup m'a moins touché.
    Cependant des scènes très fortes ponctuent le film et il s'en dégage un amour qui n'est plus si fréquent au cinéma.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 7 octobre 2014
    Un mélodrame en faux joual pour un succès cannois

    Godard a dit en gros de Dolan qu'il était un jeune cinéaste ayant fait un film vieux. Je le trouve bien généreux. En fait, le petit génie du cinéma québécois a plutôt baclé un mauvais téléroman ahurissant. Dès le départ, un texte anti-cinématographique apparaît sur l'écran pour nous expliquer déjà les invraisemblances à venir. Le grand dramaturge Michel Tremblay a fait jadis parler ses personnes de théâtre en joual - l'argot québécois -, et on y croyait. Dolan, c'est du pipeau mimant une violence et une vulgarité caricaturales à peine digne de la télévision. Mais il a du bagout et il donne l'image que l'on aime encore en France d'un certain exotisme des anciennes colonies. Triste que ce "buzz" parti de Cannes n'encouragera en rien le public québécois qui le snobe à regarder davantage son excellent cinéma pas du tout triste n'en déplaise au chouchou de la Croisette.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 8 octobre 2014
    Je me suis précipite voir mommy tant les critiques étaient dithyrambiques.j'ai passe le moment le plus pénible de ma vie cinématographique ,tout est violent,vulgaire,malsain,tout est fait pour mettre le spectateur en situation et le mettre mal a l'aise mais avec excès ,voyeurisme et ne pense pas que les parents ayant un enfant psychopathe apprécieront cette démonstration volontairement impudique .on fait du racolage très commercial sur un sujet difficile et ça marche sur le jury de cannes et sur les critiques presse .on est loin du cinéma pour rêver .on est la pour se faire mal,confortablement assis dans une salle obscure
    .malgre tout ,cet excès ne dégage aucune émotion .migraine garantie a la sortie
    ffred
    ffred

    1 727 abonnés 4 021 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 octobre 2014
    Dolan se recycle à la limite de l'auto-parodie. Ce n'est que cris, hystérie et effets de style d'où ont bien du mal à poindre quelques jolis moments d'émotion. Seule la formidable Suzanne Clément sort du lot. Déception et le moins moins Dolan à mes yeux.
    Jorik V
    Jorik V

    1 279 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 octobre 2014
    « J’ai tué ma mère », « Les Amours imaginaires », « Laurence Anyways » et « Tom à la ferme ». A 25 ans, le réalisateur québécois Xavier Dolan dispose de ce carré d’as impressionnant et réussi comme filmographie. Aucun n’est un chef d’œuvre, aucun n’est parfait mais tous sont bons, sincères et ont une âme et un style cohérents qui n’appartiennent qu’à lui. Son dernier opus, sélectionné à Cannes, va certainement le mettre à la lumière et le sortir du carcan du cinéma auteuriste branché mais limité dans son exploitation au grand public. Il est tout aussi bon que les précédents, mais non empreint de quelques défauts. Notamment, dans un trop-plein de générosité, il a du mal à couper au montage, surtout dans la dernière partie, et la psychologie des trois personnages peut sonner cliché quand bien même elle passe bien et nous émeut. Un fils malade et imprévisible, une mère fantasque mais aimante et une voisine qui devient seconde mère pour pallier à un trauma difficile : ce triangle relationnel à géométrie variable est beau, touchant, vrai. Les trois acteurs qui les incarnent y sont pour beaucoup et donnent tout à la caméra de Xavier Dolan. Les actrices Suzanne Clément et Anne Dorval, fidèles du jeune homme, ont confiance en lui et cela se sent. On sourit également beaucoup grâce à l’excellence de dialogues vulgaires parfois, mais tellement drôles et naturels. Certains reprochent au jeune prodige des affèteries de style comme ces longs passages clippesques au ralenti sur de la musique pop. Mais ils sont tellement réussis, mélangeant poésie et mélancolie, qu’ils en deviennent partie intégrante de son œuvre. On ne peut donc lui en vouloir. C’est comme si on reprochait à Woody Allen ses personnages misanthropes et psycho-rigides ou ses génériques sur fond de jazz ! « Mommy » est juste un beau film doté d’imperfections qui le rendent maladroit parfois mais toujours attendrissant. Une tragédie fragile sur une double relation mère-fils qui augure du meilleur pour l’avenir du réalisateur et très certainement bientôt son chef d’œuvre.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 30 octobre 2014
    C'est mauvais, c'est plat, pendant 2h20 j'ai eu droit au film le plus ennuyeux que je n'ai jamais vu. Il ne se passe pratiquement et grâce à la "merveilleuse" mise en scène, les rares moment où il se passe quelque chose sont rendus chiant. Beaucoup décrivent ce film comme " émouvant ", moi je dirai plutôt " chiant " ou " plat ", car ce film est horriblement plat. Je ne le conseille pas du tout :
    - Le scénario est moyen, plat et banal.
    - Le jeu des acteurs est correct mais sans plus.
    - La mise en scène est juste nulle; ( ex : spoiler: ils sont censés être pauvres mais ils habitent une maison de 100m2 et le fils a un casque à 150€
    , très crédible ).
    Je le répète, allez voir autre chose et ne perdez pas 2h30 à aller voir ce film.
    PaulGe G
    PaulGe G

    112 abonnés 607 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 12 décembre 2014
    non helas non pour moi ce n'est pas un grand film
    sujet excellent mais
    1-trop long très ennuyeux des scènes sans fin pourquoi faire durer des séquences alors que quelques secondes suffisent
    2-tres bonne idée l'écran rétréci mais on a compris l'étriqué de la situation des personnages pas besoin d'en rajouter
    3-refaire le montage pour qu'il ne dure qu'une heure quarante
    4-c'est du ciné de débutant coupe a revoir
    Charlotte S
    Charlotte S

    14 abonnés 1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 octobre 2014
    de la 3d, de l'action, de la bonne humeur, de la légèreté, de la magie, du fantastique, de l'évasif et du rêve, des nouvelles chansons, de l’espoir, je vais en trouver dans ce film?
    En plus, j'aime pas l'accent québecois, c'est personnel, car ça me rappel Celine Dion mais aussi car on comprend mal les dialogues. Ne pas prêter attention au média? ils sont unanimes, ils ont tous adoré, ça sent l'arnaque a plein nez ce film!!!!
    Désoler mais c'est exactement le genre de film qui ne vaut pas le coup du tout au cinéma, en plus, il a rétrécie l'image? Donc payer la place de ciné pour ce retrouver devant sa TV, nan merci! ça fait le film deux fois plus chère qu'un autre au m2!
    A la tv, pas de problème, mais le grand écran c'est fait pour voir plus grand, pour rêver et s'évader, pour envoyer du lourd, pas pour partager sa thérapie et ses problèmes personnels.
    Ben oui, je sais, ce film n'est surement pas pour moi, ni pour plein de monde en fait. C'est peut être un excellent film, certes, mais les critiques cinéma ne peuvent pas continuellement cracher sur les films a grand spectacle qui ont tout a fait leur place au cinéma et nous encourager a aller voir des films qui rendront strictement pareil a la tv. Désoler mais il faut être logique dans la vie, les Transformers, au cinéma, Dolan, a la TV.
    Encourager les gens a aller voir ce film? Alors faut dire la vérité, c'est un film de série B pour dépressif obsessionnel et cela ne m'étonne pas du tout que les critiques ciné l'ai pleinement apprécier. Ce film, c'est tout ce que je leur souhaite dans leur vie, c'est d'aller faire l'amour a leur maman, pour être polis;)?
    Backpacker
    Backpacker

    82 abonnés 780 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 13 mai 2017
    D'ordinaire acquis au cinéma innovant du petit prodige québécois, je dois avouer être totalement passé à côté de ce supposé "chef d'oeuvre". Je n'ai ressenti absolument aucune empathie pour ce jeune paumé, raciste, violent et insupportable. Une véritable tête à claque, tout comme sa mère d'ailleurs. Ca hurle constamment dans tous les sens et ça traîne en longueur. Détestable! Une énorme déception que ce film de Xavier Dolan, pourtant tellement salué par la critique et le public. Pas par moi en tout cas.
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