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    Mommy
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    4,4
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    1 212 critiques spectateurs

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    officiel76
    officiel76

    47 abonnés 411 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 17 octobre 2014
    vous entrez dans la salle, vous lisez ce qu'il y a marqué sur l'écran, et vous savez comment ça finit. Alors, quel intérêt de regarder pendant plus de deux heures une mère hystérique et vulgaire, un adolescent cinglé et une voisine dépressive ? c'est fatiguant, et en plus ça n'apporte vraiment rien sinon de faire pleurer dans les chaumière en se disant que la pauvre, elle a dû souffrir et sa décision n'a pas dû etre simple à prendre. pathétique.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 29 octobre 2014
    film prétentieux. on cherche a nous faire pleurer a coup de musique et de belles images mais pour moi ça ne prend pas. Néanmoins, les acteurs sont justes et talentueux.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 29 octobre 2014
    Je vais faire simple :

    ennuyant, très lent, fatiguant, extrêmement mauvais, j'ai failli m'endormir.
    vidalger
    vidalger

    325 abonnés 1 252 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 novembre 2014
    Une vraie claque. La découverte d'un grand cinéaste n'est pas si fréquente qu'elle ne nous laisse pas heureux et bouleversé à la fin d'un tel film. Aussi grand qu'un Tarentino ou un Malick, Xavier Dolan innove dans la forme, le montage, trouve les plans les plus intelligents qu'on ait vus depuis longtemps. La BOF et la couleur de l'image - elle change selon le tempo et les humeurs des protagonistes - illustrent parfaitement cette histoire d'adolescent canadien perturbé, porté par une mère fun et une voisine étrange. Ne pas manquer une scène d'anthologie onirique (l'écran s'agrandit!) qui explore le rêve d'une mère courage avant le...découragement final. Courez voir ce film, c'est un ordre!
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 23 octobre 2014
    Xavier Dolan doit être un réalisateur si proche de ses acteurs qu'il doit en oublier de regarder dans le viseur de sa caméra. Certes, les actrices sont épatantes. Certes on s'y attache. Mais cela n'excuse pas les facilités scénaristiques qui forgent le film.

    En 2h20, un seul rebondissement. Ce rebondissement, on le voit arriver de très très loin: c'est le petiot qui se fait interner. D'ailleurs, comme le Dolan n'arrive pas à ancrer son histoire dans une époque présente ou universelle, il est obligé de nous expliquer l'époque au début avec un titre très long qui trompe l'ennemi (le spectateur) en le renvoyant au genre science fiction. Une manoeuvre inutile, comme au moins 50% du film.

    Techniquement, le film est original, c'est vrai. Un format 1:1 quand le petiot est pas content qui se transforme en 16:9 quand le petiot est content. Il fallait oser. Ce format enferme des visages dans le cadre pendant 2h et dès qu'il tente de nous montrer autre chose, c'est raté. Le moindre plan d'ensemble est compromis, d'ailleurs il est amusant de voir qu'ils existent mais que Dolan s'étant lui même rendu compte qu'ils étaient laids, il les a tout de même utilisé (pour avoir des repères temporels), mais il ne les fait jamais durer plus de deux ou trois secondes car ils coupent les comédiens d'une façon affreuse. C'est ici la seule subtilité de mise en scène assez grosse pour que chacun puisse comprendre et dire: "Olala, qu'est ce que c'est travaillé." Dolan s'en vante lui même, il ne connait rien au cinéma. Et ça se voit. La colorimétrie quant à elle relève de l'incompétence technique. Une scène rouge, une scène orange, une scène bleue...

    En résumé, le "style" Dolan c'est un scénario simpliste, une balance des blancs foireuses, un format qui coupe l'image, une mise en scène archi simpliste... Mais de très bons acteurs handicapés par une mise en scène horrible. Un peu comme si l'entraineur d'Hussein Bolt avait décidé de lui couper une jambe pour qu'il coure plus vite...
    freddmer
    freddmer

    4 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 1 décembre 2014
    Je sors de ce film effaré. De m'être demandé plus de dix fois quand ça aller cesser, cette absence de scénario, ces hurlements hystériques, cette absence totale d'émotion (et j'ai la larme facile), ces artifices de cinéaste amateur abusant de ralentis, de musique racoleuse, de format variant du pénible carré 1*1 ("vous avez vu, mes personnages sont enfermés dans leur destin!") au grand format ("vous avez vu, ça y est, ils croient à la liberté")... Les trois personnages (superbes acteurs) n'existent pas, sauf dans l'inconscient d'un cinéaste post adolescent immature: quelle est cette prof pseudo bégayeuse abandonnant mari inconsistant et enfant pour traverser la rue, et s'amouracher (ou non, on ne saura pas) de cet ado psychopathe? Que devient ce procès annoncé dramatiquement et qui fait pschitt avant la fin du film? D'où sort cette limousine break blanche à la disposition d'une femme ruinée sans travail depuis les 3/4 du film?
    Ce qui marque le plus en sortant de ce film encensé (normal, l'intello bobo Canno-parisien ruinerait son avenir médiatique en nageant à contre-courant), c'est l'inconsistance du scénario: où veut il en venir? Quelle est l'idée directrice? En fait il n'y en a pas. Nolan est rompu dans l'utilisation des grosses ficelles, mais le vrai cinéma, il est ailleurs. Mon dernier dégout en sortant d'un film d'intello, c'était "Le fils", des Dardenne. Même platitude pseudo psychologique de comptoir.
    selenie
    selenie

    6 338 abonnés 6 204 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 octobre 2014
    Pour une fois, le petit génie du Québec mets tout le monde d'accord avec ce film abouti, riche en émotion, qui se termine sur une dernière scène qui réussit l'exploit de mêler espoir et pessimisme. Un grand film assurément.
    Felipe Dla Serna
    Felipe Dla Serna

    22 abonnés 240 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 octobre 2014
    Cela faisait très longtemps que je n'avais pas vu une œuvre cinématographique si bien faite. J'évacue tout de suite le tout petit grain de sable que je trouvé dans ce rouage qui fonctionne si bien dans ce chef d'œuvre, quelques petits longueurs (5 à 10 minutes dont on aurait pu, plus ou moins, s'en passer. Tout le reste frôle la perfection, une maîtrise de la réalisation inégalable, le trio d'acteurs protagoniste hors du commun, les dialogues d'une fraîcheur, une actualité et d'une efficacité imparables.... Les superlatifs me manquent. Déjà l'histoire: les relations conflictuelles entre une mère et son fils adolescent, atteint du syndrome d'hypéractivité, violent et tendre à la fois. Elle est intense, sensible, subtil. Un sujet grave, mais traité avec humour et finesse. Et puis il y a la forme. Le cinéaste s'appuie ici de quelques artifices novateurs, comme le format de l'écran, de largeur variable en fonction de la narration. Éblouissant, époustouflant, émouvant, intense, sensible.
    colombe P.
    colombe P.

    133 abonnés 695 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 10 octobre 2014
    Moi aussi je me suis complètement fait avoir par toutes les bonnes critiques. J'ai trouvé ce film très pénible, très vulgaire et très stressant.
    L'accent québécois est affreux et je suis sortie de la salle complètement "lessivée" par ce film difficilement supportable.
    Heureusement que la veille j'avais vu "Gone Girl" qui lui est vraiment excellent.
    scrabble
    scrabble

    34 abonnés 467 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 décembre 2014
    crispant à mourir. je n'en pouvais plus de voir cette mère et ce fils a la "retourne". je pense que ce jeune réalisateur a encore beaucoup de travail à faire pour être au sommet de cet art
    nicolas t.
    nicolas t.

    59 abonnés 239 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 octobre 2014
    J'aime bien d'habitude Dolan, mais là trop c'est trop,
    les sceptiques n'ont pas été confondu !!! Le film est comme une caricature de ses films précèdents en plus
    excessif, plus hystérique, plus démonstratif. Trop de pathos, trop de musique, trop d'effets tuent les intentions louables de défendre ce trio mal assorti et cabossé par la vie.
    Les actrices sont épuisantes à force de cris, de tics de jeu. Le montage en champs contre champs ne les aide pas. Le jeune acteur est presque trop mignon pour incarner cet ado dangereux que sa mère finit par placer. On est loin du bouleversant Sweet sixteen de Loach, que Dolan cite en inspiration.
    Evidemment, il y a toujours des moments clipés MTV où Dolan n'a peur de rien, ni du mauvais goût, ni du sirupeux, mais cette fois ci j'ai trop vu le système et je suis resté à l'extérieur.
    J'attends le prochain en espérant q u'il sache se renouveller et changer d'inspiration (ras le bol des relations mères /fils, genre Confessions intîmes et Le grand frère).
    EricDebarnot
    EricDebarnot

    209 abonnés 1 262 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 mars 2015
    "Le Cinéma, c'est la vie", proclamait un slogan ringard à l'époque où l'on se préoccupait de la désaffection des spectateurs envers le 7ème Art. Nous, on le savait bien, sans qu'on nous l'assène dans une pub... Sauf que, honnêtement, depuis une paire de décennies, combien de fois avons-nous ressenti devant un film cette énergie, cette férocité, ce flamboiement de la vie ? (Pialat, nous manque, et infiniment...). Alors, on peut toujours trouver à redire à "Mommy", sur le plan du fond (des personnages excessifs servis en stéréotypes ? Un scénario prévisible ? Je l'ai lu ça et là...) comme de la forme (Facile d'enfermer le film dans un cadre carré pour traduire l'étouffement, et puis de nous faire respirer en 16/9 sur de belles scènes clippesques : nombreux sont les gens de bon goût qui ont tordu le nez sur les toutes petites audaces de Dolan !). Mais l'important, bien sûr, est ailleurs : d'abord dans cette allégresse intense qui nous saisit, face à des de personnages vivant intensément leurs traumas, leurs souffrances aussi, leurs bonheurs surtout, dans une empathie totale d'autant plus gratifiante que, justement, Dolan n'use et n'abuse d'aucun outil habituel de la syntaxe cinématographique, et se contente de filmer ses acteurs - tous trois parfaits, prodigieux même parfois - avec la juste distance, le juste regard. Avec ce que l'on ne peut que qualifier de totale honnêteté. Ensuite, et c'est là que "Mommy" transcende son origine de geste expiatoire de l'auteur ("Maman, tout est de ma faute, je t'aime", pour faire vite), dans la mise en scène parfaite des ambiguïtés : film parfois accusé de surjouer les affects, "Mommy" s'élève lorsqu'il nous montre l'entre-deux, les difficultés du langage, le non-dit, et atteint alors, comme dans son avant-dernière scène entre Die et Kyla, des hauteurs exceptionnelles. Oui, le cinéma, c'est la vie, mais, grâce à Dolan, c'est aussi, à nouveau, enfin, la jeunesse.
    LeFilCine
    LeFilCine

    182 abonnés 580 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 octobre 2014
    Que dire qui n'a pas déjà été dit sur l'ébouriffant Mommy de Xavier Dolan. Que les trois acteurs principaux sont époustouflants. Il faut d'ailleurs citer la prestation dingue d'Antoine-Olivier Pinon, son regard bleu enfantin et fragile derrière lequel se cache un véritable monstre. Que le format de l'image, carré, nous empêche littéralement de sortir du cadre, et nous écrase sous la violence des mots. Ce même format qui resserre l'image sur l'essentiel, à savoir les blessures cachées mais omniprésentes. On pense notamment au rôle de la voisine interprété par Suzanne Clément, énigmatique et fascinante, marquée par quelque chose que l'on ignore. Un autre des points forts du film c'est les choix musicaux du jeune réalisateur. Très générationnels, marqués années 90, de Céline Dion à Andrea Bocelli, en passant par Counting Crows, Eiffel 65 et Dido, ces morceaux choisis - étonnants il faut le dire - sont souvent des moments de grâce. Ils offrent une parenthèse lumineuse dans un film marqué par l'âpreté et l'excès des relations entre la mère et le fils. Quelques séquences sont inoubliables : pour n'en citer qu'une, celle où la maman, au volant de sa voiture, rêve d'une autre voie pour son fils - alors qu'elle s'apprête à commettre le pire - est d'une force animale. Œuvre pleine d'émotions brutes, mais jamais larmoyante, Xavier Dolan trouve, avec Mommy, l'équilibre parfait, et nous scotche souvent au fond de notre fauteuil tant il y a de l'intensité qui se dégage de ses dialogues et de ses images. Le final est à l'image du film, choquant et bouleversant, tout en laissant place à l'espoir et à la lumière...
    virnoni
    virnoni

    101 abonnés 578 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 octobre 2014
    Voici un film qui réunit tout ce que je déteste au cinéma : complaisance et nombrilisme. J'avais envie de sortir au bout de 10mn tant le réalisateur était présent dans le film. Je ne voyais que les effets de style. Alors bémol dans ma critique : je pense qu'il est sincère (pour avoir lu des interviews), qu'il aime le cinéma (mal?), qu'il se nourrit surtout de ses expérimentations (oh mais il en a de la chance d'être financé pour les réaliser et les montrer dans des festivals où on adoreeee ce genre d'artiste, c'est si tendance!!) et qu'il est plus que talentueux c'est évident (voici pourquoi la note "moyen" car j'aurai mis "mauvais" sinon). Il a juste la fougue de sa jeunesse ! Il se bonifiera avec l'âge espérons-le. Donc, on y retrouve la musique pop à la mode à longueur de scènes, scènes qui s'étirent s'étirent s'étirent... (1h45 aurait largement suffit et même servi le propos en le rendant plus percutant - certaines n'ont juste aucun intérêt), des propos tape à l'oeil (pour travailler dans le secteur des enfants présentant les mêmes difficultés, c'est rempli de facilités et clichés, beurk!), des envolées de violences auxquelles on s'attend (et qu'on attend?), une mère caricaturale dans sa vulgarité et simplicité, des ralentis en veux-tu en voilà, une BIG scène ridicule sur Céline Dion (mais si kitch que tout le monde adoreeee bien sur). Non je n'ai pas trouvé cela émouvant (sf le dernier 1/4 d'heure enfin remuant - magnifique scène de déclaration d'amour ou d'au revoir du fils par téléphone), non je n'ai pas adhéré à la magie soit disant ou la force de ce mélo (il y a bcp plus beau, puissant et simple dans son approche comme mélo). Alors en revanche, bravo aux acteurs, confondants de naturel (le réal est un excellent directeur d'acteurs - ices ! Elles sont lumineuses elles - chapeau à son âge). Mais Monsieur Dolan vous voyez trop grand, trop large ou pas assez... avec votre cadre 1:1 (carré) qui énerve rapidement. Oui c'est osé, oui c'est original mais c'est si visible que ça fatigue dès le départ. "Ouahhh mais quelle idée alors" diront les bien pensants du cinéma !! Sérieux? Encore une fois, on l'excuse grâce (à cause?) à sa jeunesse. Qu'aurions-nous entendu si un vieux briscard avait tenté cela aussi?! Ou pire Besson ? :-) Scandale j'en suis sure... Moi j'aime le large du cadre du cinéma, c'est pour cela que j'y vais, y compris quand le sujet est lourd et m'oppresse (ce qui n'était pas le cas bien au contraire, c'est l'emballage qui m'oppressait plus!). Sinon j'ai un écran 104 cm chez moi. Voici le parfait exemple de l'effet qui manipule et qui saisit le spectateur de manière obligatoire du début à la fin. Les critiques (autant ciné que spectateurs) parlent d'un film enfin populaire. C'est une blague? Que devait être ses précédents films alors? C'est drôle de constater que le terme populaire est toléré et même tendance quand le film/le réal l'est lui-même! Miracle ou magie du cinéma il faut croire. Or, il n'y a rien dedans de populaire, de tendance, de magique et encore moins de psychologique (étude des caractères dessinés et abordée au lance pierre, déroulé assez évident, réactions aussi évidentes etc). Je suis sortie passablement énervée de la salle alors que les oiseaux chantaient et la nuit était claire... alors stop ici ma prose. Je ne recommande pas mais bon, encore un film qui sera porté par la presse, le Festival de Cannes (qui s'empire d'années en années dans sa vision étriquée et consensuel du cinéma, se complaisant dans un système business/"arty" complètement en marge des réalités et goûts du public, juste avide de lancer des modes, des genres, des styles et des effets) et suivi par bcp de spectateurs qui adoreeeeent adorer les "choses" qu'on lui dit parfois (souvent?) d'adorer!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 octobre 2014
    Bouleversée après la fin de ce film magnifique. Que dire? ce film est la vraie Palme d'Or. Aussi bien au point de vue formel qu'au point de vue narratif, tout est parfait. Xavier Dolan ne fait que se bonifier de film en film. Il fait quasiment tout, des sous-titres dans deux langues à la réalisation spoiler: , en passant par le montage et l'actorat
    . De plus, il réalise en pellicule 35mm, ce qui apporte sûrement encore plus à la sensibilité palpable de "Mommy". spoiler: La "fin alternative" du film est vraiment filmée de façon splendide, les changements de format d'écran sont merveilleux,
    la musique si bien choisie et synchronisée, les acteurs (toujours les mêmes depuis le début, ce qui fait fortement plaisir!) et leur direction sont brillants, Anne Dorval solaire. A ne manquer sous AUCUN PRETEXTE!
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