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"Mommy" est, avec "Laurence Anyways", le meilleur film de Dolan (…), celui où le cinéaste parvient avec le plus de netteté à ses fins : parvenir à un certain étourdissement émotif du spectateur, tout en esquivant, certes parfois de justesse, le pathos fictionnel ou les entourloupes de scénario et de mise en scène.
Certaines scènes magnifiques font monter les larmes aux yeux. D’autres glacent le sang. Une mise en scène brillante et inventive, portée par des comédiens fantastiques lumineuse. Une lueur d’espoir dans ce monde de cris et de larmes.
La critique complète est disponible sur le site Femme Actuelle
"Mommy" est un film dur, cru, son sujet est grave, mais on y rit énormément. Il a bien mérité son Prix du Jury à Cannes, une distinction minimale pour ce grand, ce très grand film.
La grâce de "Mommy" vient avant tout de la mise en scène de Dolan qui ne laisse rien au hasard, sans pour autant tomber dans l'esthétisation extrême qui pourrait figer les personnages.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Enfant de son temps, Xavier Dolan met en scène des existences bornées par toutes les contraintes, mais réussit à convaincre qu'elles valent la peine d'être vécues.
Avec ce mélo électrique sur les courants d’amour d’une mère célibataire, de son fils délinquant et de leur accorte voisine, le système Dolan, fait d’emphase et de lyrisme, carbure à plein régime.
Porté par trois interprètes en état de grâce, "Mommy" constitue un mélo pop et flamboyant qui embarque le spectateur dans un grand-huit émotionnellement inoubliable.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Le film déploie sa grâce avec ce qui devient le style Xavier Dolan, un mélange de virtuosité et de candeur, de manipulation émotionnelle –le jeu sur les formats, idée aussi géniale que casse-gueule- et d’empathie profonde pour ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Avec son trio d’acteurs brillants, sa mise en scène audacieuse et son histoire à la fois drôle et bouleversante, Dolan signe un chef-d’œuvre, qui marquera une génération.
La critique complète est disponible sur le site Télé 2 semaines
"Mommy" est donc merveilleusement hybride : mi-naturaliste mi-« bigger than life » (plus grand que la vie), tour à tour terre à terre et parcouru de somptueuses envolées lyriques ou oniriques.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Un combat fou et fougueux, douloureux et bouleversant (les acteurs sont tous exceptionnels), filmé par Xavier Dolan, le prodige québecois singulier et inspiré.
(...) l’intrigue ne bouleverse pas les règles du récit. Dolan marque sa différence en actionnant une mise en scène à la Cassavetes, au plus près des corps et des visages. (...) Pas seulement des acteurs, mais de véritables phénomènes, des monstres de comédie (...).
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
(Xavier Dolan) réussit avec "Mommy" un grand film de colère et d'amour qui crache des insultes comme des caresses, une variation brutale, bouleversante sur son couple de prédilection, une mère seule et son fils ingérable.
La réussite de "Mommy" réside dans la parfaite concordance entre le sujet traité et sa forme tourbillonnante. Dolan utilise de manière libre et iconoclaste les possibilités de la technologie, à commencer par la forme du cadre. Pareil affranchissement des limites de l'écran ne s'étaient pas vues depuis l'époque du muet.
On sort de la salle en lambeaux mais contents, convaincus que si la mélancolie est un doux mélange de joie et de tristesse, alors oui, "Mommy" rend heureux.
"Mommy" est un mélo qui n'y va pas mollo. Il a pour lui sa fougue, son énergie (...) et l'acuité folle avec laquelle le cinéaste filme les sentiments, exacerbés ou enfouis mais toujours douloureux, de son "triangle amoureux".
Déchirer des vies jusqu’à en faire des confettis, puis souffler dessus parce que ça fait joli : c'est en somme le protocole de ce cinéma volontariste, braillard, souvent insupportable mais pris ponctuellement d’un souffle assez extraordinaire.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Entre fascination et agacement, le cas Dolan va continuer, avec “Mommy”, à diviser. Sa direction d'acteurs, elle, devrait faire l'unanimité autour d'Anne Dorval et Suzanne Clément.
Les ingrédients sociologiques sont réunis pour qu'éclate l'amour vache et violent que le cinéaste affectionne. Les comédiens sont excellents. (...) Mais Mommy semble parfois tourner en ellipse autour de ce noyau sensible, s'en éloignant parfois au point d'atteindre un faux rythme.
Face à ce tourbillon d’images, dont chacune chasse l’autre sans la prendre en charge, mais en l’annihilant en un défilé cosmétique, le choix s’avère fait d’avance : il faut se mettre à genou sous peine d’être d’emblée exclu par le film.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Cahiers du Cinéma
"Mommy" est, avec "Laurence Anyways", le meilleur film de Dolan (…), celui où le cinéaste parvient avec le plus de netteté à ses fins : parvenir à un certain étourdissement émotif du spectateur, tout en esquivant, certes parfois de justesse, le pathos fictionnel ou les entourloupes de scénario et de mise en scène.
CinemaTeaser
Un grand film passionnel et pop.
Femme Actuelle
Certaines scènes magnifiques font monter les larmes aux yeux. D’autres glacent le sang. Une mise en scène brillante et inventive, portée par des comédiens fantastiques lumineuse. Une lueur d’espoir dans ce monde de cris et de larmes.
Franceinfo Culture
"Mommy" est un film dur, cru, son sujet est grave, mais on y rit énormément. Il a bien mérité son Prix du Jury à Cannes, une distinction minimale pour ce grand, ce très grand film.
Gala
Un chef-d'oeuvre.
L'Obs
La grâce de "Mommy" vient avant tout de la mise en scène de Dolan qui ne laisse rien au hasard, sans pour autant tomber dans l'esthétisation extrême qui pourrait figer les personnages.
Le Dauphiné Libéré
L’énergie incroyable d’un film qui a tous les excès de sa folie et d’un cinéaste surdoué, qui a toute la folie de ses excès.
Le Journal du Dimanche
"Mommy", film rempli d'amour en forme de bombe émotionnelle, nous explose à la face. Et nous laisse complètement sonnés.
Le Monde
Enfant de son temps, Xavier Dolan met en scène des existences bornées par toutes les contraintes, mais réussit à convaincre qu'elles valent la peine d'être vécues.
Les Inrockuptibles
Avec ce mélo électrique sur les courants d’amour d’une mère célibataire, de son fils délinquant et de leur accorte voisine, le système Dolan, fait d’emphase et de lyrisme, carbure à plein régime.
Libération
"Mommy" est LE film de la rentrée, un amour de film, celui qui nous perturbe.
Metro
Porté par trois interprètes en état de grâce, "Mommy" constitue un mélo pop et flamboyant qui embarque le spectateur dans un grand-huit émotionnellement inoubliable.
Paris Match
Le film déploie sa grâce avec ce qui devient le style Xavier Dolan, un mélange de virtuosité et de candeur, de manipulation émotionnelle –le jeu sur les formats, idée aussi géniale que casse-gueule- et d’empathie profonde pour ses personnages.
Télé 2 semaines
Avec son trio d’acteurs brillants, sa mise en scène audacieuse et son histoire à la fois drôle et bouleversante, Dolan signe un chef-d’œuvre, qui marquera une génération.
Télé 7 Jours
Xavier Dolan - prodige de 25 ans - nous bouleverse avec ce mélo dérangeant, souvent drôle, lumineux. Et sa mise en scène insolite fascine.
Télérama
"Mommy" est donc merveilleusement hybride : mi-naturaliste mi-« bigger than life » (plus grand que la vie), tour à tour terre à terre et parcouru de somptueuses envolées lyriques ou oniriques.
Voici
Un combat fou et fougueux, douloureux et bouleversant (les acteurs sont tous exceptionnels), filmé par Xavier Dolan, le prodige québecois singulier et inspiré.
aVoir-aLire.com
"Mommy" a bouleversé la Croisette. Et nous aussi.
Elle
La mise en scène transfigure une réalité qui pourrait être sordide en fresque mélodramatique sans grandiloquence.
La Croix
Une évidence grandiose et libératoire.
La Voix du Nord
(...) l’intrigue ne bouleverse pas les règles du récit. Dolan marque sa différence en actionnant une mise en scène à la Cassavetes, au plus près des corps et des visages. (...) Pas seulement des acteurs, mais de véritables phénomènes, des monstres de comédie (...).
Marianne
(Xavier Dolan) réussit avec "Mommy" un grand film de colère et d'amour qui crache des insultes comme des caresses, une variation brutale, bouleversante sur son couple de prédilection, une mère seule et son fils ingérable.
Positif
La réussite de "Mommy" réside dans la parfaite concordance entre le sujet traité et sa forme tourbillonnante. Dolan utilise de manière libre et iconoclaste les possibilités de la technologie, à commencer par la forme du cadre. Pareil affranchissement des limites de l'écran ne s'étaient pas vues depuis l'époque du muet.
Première
On sort de la salle en lambeaux mais contents, convaincus que si la mélancolie est un doux mélange de joie et de tristesse, alors oui, "Mommy" rend heureux.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
Sud Ouest
Une histoire d’amour explosive, couronnée à Cannes.
TF1 News
Xavier Dolan signe un admirable mélodrame où l'euphorie le dispute à la mélancolie (...).
TéléCinéObs
"Mommy" est un mélo qui n'y va pas mollo. Il a pour lui sa fougue, son énergie (...) et l'acuité folle avec laquelle le cinéaste filme les sentiments, exacerbés ou enfouis mais toujours douloureux, de son "triangle amoureux".
Chronic'art.com
Déchirer des vies jusqu’à en faire des confettis, puis souffler dessus parce que ça fait joli : c'est en somme le protocole de ce cinéma volontariste, braillard, souvent insupportable mais pris ponctuellement d’un souffle assez extraordinaire.
Les Fiches du Cinéma
Entre fascination et agacement, le cas Dolan va continuer, avec “Mommy”, à diviser. Sa direction d'acteurs, elle, devrait faire l'unanimité autour d'Anne Dorval et Suzanne Clément.
Transfuge
Les ingrédients sociologiques sont réunis pour qu'éclate l'amour vache et violent que le cinéaste affectionne. Les comédiens sont excellents. (...) Mais Mommy semble parfois tourner en ellipse autour de ce noyau sensible, s'en éloignant parfois au point d'atteindre un faux rythme.
Ecran Large
Dolan accouche d'une souris cramoisie, hystérique et vulgaire.
Critikat.com
Face à ce tourbillon d’images, dont chacune chasse l’autre sans la prendre en charge, mais en l’annihilant en un défilé cosmétique, le choix s’avère fait d’avance : il faut se mettre à genou sous peine d’être d’emblée exclu par le film.