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Quand tombe la nuit est au mieux une tentative de faire un film à suspense. Le jeu d'Eve et Cranston est bon mais pas génial. Pourquoi diable Bryan Cranston devait-il être russe il n'y avait rien d'autre à faire qu'essayer de le faire paraître peut-être plus menaçant. Ce n'était pas nécessaire cela n'ajoutait rien à l'histoire. De plus pour un aveugle il réalise des prouesses assez étonnantes dans ce film qui défient toute croyance et quant à Eve il y a des moments où elle pourrait très bien échapper à son ravisseur mais choisit simplement de ne pas le faire. Cela défie complètement toute croyance et donne l'impression que les choses sont inventées et irréalistes. J'avais espéré tellement plus de ce film. Au lieu de cela j'ai eu droit à de grands acteurs jouant des personnages bidimensionnels...
Cette femme n'a pas de passé. En dehors de sa fille, on sait juste que son mari est décédé après s'être fait renverser par un camion. Elle n'a pas de présent sauf si on considère qu'être réceptionniste dans un motel fréquenté par des prostituées en est un. Les services sociaux l'ont à l’œil et lui imposent de trouver un meilleur logement pour sa fille et je les comprends. Quant à son futur, vu la réticence qu'elle a à quitter un travail qu'elle ne retrouvera pas ailleurs, c'est vite vu. Alice Eve s'est métamorphosée pour se mettre dans la peau de cette mère célibataire. Son beau visage est toujours là mais habillée d'un vieux survêtement, usée, fatiguée, les cernes aux yeux, il y a sur ses épaules tout le poids d'une vie de galères. Elle n'est pas la dernière à magouiller avec son copain flic. Condition sine qua non pour lui permettre de joindre les deux bouts. C'est pour ça que l'arrivée de cette mule (terme que je ne connaissais pas et que j'ai découvert dans le film de Clint Eastwood) va lui permettre d'entrevoir des jours nouveaux. Il ne parle pas beaucoup. C'est le moins qu'on puisse dire. Il peut se montrer brutal. Mais j'ai trouvé qu'elle a très vite tiré profit de la situation. Au bout du rouleau certes mais pas pour autant dépassée par la situation. L'obstacle la séparant d'une vie meilleure, c'est moins le truand (qui a l'air d'avoir une ligne de conduite) que ce flic corrompu vivant lui aussi dans un véritable taudis. A croire que c'est la règle là-bas. Je pensais que ce Topo allait lui apporter un peu de douceur de vivre. C'est mon côté romantique. J'espère qu'elle trouvera ce qui lui manque car est toute fragile et mimie Alice.
RedArrow
Suite à une nuit qui a mal tourné dans un motel, un tueur (Bryan Cranston) se retrouve dépossédé d'un mystérieux paquet qu'il devait livrer à ses commanditaires. Il prend en otage la gérante de l'établissement (Alice Eve), une mère célibataire en proie à des difficultés financières, pour l'aider à le retrouver...
Forcément, "Quand tombe la nuit" attire l'oeil grâce à la seule présence de Bryan Cranston. Retrouver l'acteur dans un rôle très "heisenbergien" d'assassin glacial ne peut que nous raviver de bons souvenirs, d'autant plus que, derrière les lunettes teintées de son personnage dissimulant un handicap grandissant, l'interprète s'amuse souvent à faire ressortir une ou deux fissures de fragilité masquées par la froideur imposante du tueur à gages. Par ailleurs, il trouve ici une partenaire à sa hauteur en la personne d'Alice Eve, une actrice quelque peu sous-estimée, qui compose une héroïne parfaitement antagoniste. Sa fragilité à elle n'est en effet qu'une espèce de carapace due à sa situation précaire cachant une volonté de saisir la moindre opportunité d'offrir à sa fille une chance qu'elle n'a de toute évidence pas eu.
Cela se confirmera, le numéro d'acteurs découlant de la confrontation de ces deux-là sera la plus grande qualité de "Quand tombe la nuit" car, pour le reste, le long-métrage de Tze Chun ne va pas vraiment briller...
Malgré des débuts installant une ambiance de film noir imprégnée d'une aura de mystère plutôt prenante, l'intrigue va peu à peu s'enliser dans un unique ressort de "qui a/où est le magot ?" pour multiplier les twists plus ou moins inspirés. En plus de malmener la crédibilité de l'ensemble et des personnages qui étaient plutôt bien esquissés jusqu'alors (le comportement du policier interprété par Logan Marshall-Green en devient risible dans la dernière partie), ceux-ci n'auront jamais la force d'impact escomptée et donneront à "Quand tombe la nuit" des allures de thriller terriblement mineur ne disposant pas de la capacité de construire quoique ce soit de réellement consistant ou profond pour amener de la densité à son propos, impression d'ailleurs renforcée par la très courte durée du film (1h20).
Quand tombe le générique, il ne reste plus qu'un petit faux pas dans la filmographie de Bryan Cranston déjà presque instantanément oublié. La myopie de son personnage avait probablement dû déteindre sur lui à la lecture du scénario...
Forcément, "Quand tombe la nuit" attire l'oeil grâce à la seule présence de Bryan Cranston. Retrouver l'acteur dans un rôle très "heisenbergien" d'assassin glacial ne peut que nous raviver de bons souvenirs, d'autant plus que, derrière les lunettes teintées de son personnage dissimulant un handicap grandissant, l'interprète s'amuse souvent à faire ressortir une ou deux fissures de fragilité masquées par la froideur imposante du tueur à gages. Par ailleurs, il trouve ici une partenaire à sa hauteur en la personne d'Alice Eve, une actrice quelque peu sous-estimée, qui compose une héroïne parfaitement antagoniste. Sa fragilité à elle n'est en effet qu'une espèce de carapace due à sa situation précaire cachant une volonté de saisir la moindre opportunité d'offrir à sa fille une chance qu'elle n'a de toute évidence pas eu.
Cela se confirmera, le numéro d'acteurs découlant de la confrontation de ces deux-là sera la plus grande qualité de "Quand tombe la nuit" car, pour le reste, le long-métrage de Tze Chun ne va pas vraiment briller...
Malgré des débuts installant une ambiance de film noir imprégnée d'une aura de mystère plutôt prenante, l'intrigue va peu à peu s'enliser dans un unique ressort de "qui a/où est le magot ?" pour multiplier les twists plus ou moins inspirés. En plus de malmener la crédibilité de l'ensemble et des personnages qui étaient plutôt bien esquissés jusqu'alors (le comportement du policier interprété par Logan Marshall-Green en devient risible dans la dernière partie), ceux-ci n'auront jamais la force d'impact escomptée et donneront à "Quand tombe la nuit" des allures de thriller terriblement mineur ne disposant pas de la capacité de construire quoique ce soit de réellement consistant ou profond pour amener de la densité à son propos, impression d'ailleurs renforcée par la très courte durée du film (1h20).
Quand tombe le générique, il ne reste plus qu'un petit faux pas dans la filmographie de Bryan Cranston déjà presque instantanément oublié. La myopie de son personnage avait probablement dû déteindre sur lui à la lecture du scénario...
Le personnage de Chloé tenancière d'un motel de passe miteux n'est pas crédible une seconde. Une belle blonde au visage lisse dans un rôle de femme sans le sous qui est censée avoir couru après l'argent toute sa vie n'a pas sa place dans ce genre d'histoire. En plus l'actrice ne donne aucune profondeur à son personnage.
Elle est prise en otage par un furieux qui menace de tuer sa fille, et elle ne fait pas de crise, et ne pleure même pas. Comme trop souvent dans les films, la victime ne semble pas souffrir, et participe à sa séquestration pour servir le scénario ( et je ne parle pas du syndrome de stockholm ). C'est comme si d'un coup une personne de la vie de tous les jours se transforme instantanément en un personnage aux nerfs d'aciers qui prend le dessus et maitrise la situation.
S'il vous plait messieurs les réalisateurs, teintez un peu plus vos films de réalisme.
Ces films où la psychologie des personnages est éludée au profit du spectacle sonne creux.
Dommage, la réalisation est plutôt pauvre, on est pas loin du téléfilm.
Concernant Bryan Cranston, je n'arrive pas à le sortir de son personnage du père complètement barjo dans Malcolm. Le contraste avec les personnages qu'il incarne aujourd'hui est trop important.
Elle est prise en otage par un furieux qui menace de tuer sa fille, et elle ne fait pas de crise, et ne pleure même pas. Comme trop souvent dans les films, la victime ne semble pas souffrir, et participe à sa séquestration pour servir le scénario ( et je ne parle pas du syndrome de stockholm ). C'est comme si d'un coup une personne de la vie de tous les jours se transforme instantanément en un personnage aux nerfs d'aciers qui prend le dessus et maitrise la situation.
S'il vous plait messieurs les réalisateurs, teintez un peu plus vos films de réalisme.
Ces films où la psychologie des personnages est éludée au profit du spectacle sonne creux.
Dommage, la réalisation est plutôt pauvre, on est pas loin du téléfilm.
Concernant Bryan Cranston, je n'arrive pas à le sortir de son personnage du père complètement barjo dans Malcolm. Le contraste avec les personnages qu'il incarne aujourd'hui est trop important.
« Quand tombe la Nuit » est un bon thriller, disposant d’une histoire simple et d’une mise en scène maîtrisée. L’intrigue est correcte. La photographie est volontairement triste et sombre. Le casting offre d’honorables prestations, mais Bryan Cranston s’élève au-dessus de la mêlée pour délivrer un personnage sombre et taciturne. Les scènes d’action sont peu nombreuses mais expéditives. On ne fait pas dans la dentelle. Reste donc un métrage plaisant sans être transcendant.
Je peux dire que ce film est à 2 facettes...
Une première partie assez ennuyante et une 2ème partie plus intéressante mais quand bien même pas très crédible... Dommage ça aurait pu être mieux que ça, et un manque cruel de profondeur dans les personnages à qui on a du mal à s'accrocher
Une première partie assez ennuyante et une 2ème partie plus intéressante mais quand bien même pas très crédible... Dommage ça aurait pu être mieux que ça, et un manque cruel de profondeur dans les personnages à qui on a du mal à s'accrocher
Un scénario qui ne renouvelle pas le genre, soit. C'est le jeu d'acteurs, le rythme parfaitement contrôlé et la réalisation qui font tout. Et quel plaisir de retrouver Bryan Cranston au cinéma et tenant le rôle principal... Quand on le connaît dans la peau d'un Eisenberg sans pitié et violent, on sait à quel point il est (aussi) doué pour jouer ce type de personnage.
Une belle daube avec un grand D. Un téléfilm se faisant passer pour un long métrage. L''histoire est à chier, les acteurs c'est pas mieux. Même pas d'intérêt à aller au bout dés les premières minutes c'est plié.
Un thriller palpitant, plein de rebondissements et accompagné d'un scénario accrocheur. Le personnage de Bryan Cranston, froid comme la mort, rappelle beaucoup Walter White dans la dernière saison de Breaking Bad, ce qui n'est pas sans déplaire à ses fans. Le reste du casting est tout aussi bon. En somme, Quand tombe la nuit est un thriller haut de gamme.
Ça au moins c'est du très bon polar. Intrigue, rebondissement, suspense et angoissant par moment. L'histoire est bonne, les acteurs (trices) excellents, pas de longueur, on est pris du début jusqu’à la fin.
Un transporteur d'argent au noir rencontre une tenancière de Motel. Le film repose sur le climat créé autour de ce motel. On est dans le film noir traditionnel, avec la force des évènement qui vous obligent à réagir. Le déroulement, un peu lent parfois se suit avec un certain intérêt. Les personnages restent en partie des visages et c'est dommage. Un bon petit film.
Porté par un trés bon rythme et deux acteurs principaux trés justes, quand la nuit tombe est une bonne surprise, un bon petit thriller. Quelques petits défauts notamment dans l'action.
une histoire simple qui se laisse regarder, pas prise de tête, vu est vite oublié.
Le spectateur est immédiatement plongé dans une histoire des plus simple, un bon point si le scénario avait été plus travaillé car ici le spectateur ne sera pas vraiment surpris, quoi que qui sait ?
Dommage car tout les élément d'un bon thriller étaient présent, une atmosphère moite, un décor propice, et une gueule, je veut bien sur parler de Bryan"Walter White" Cranston.
Disons le tout de suite le film aurait eu nettement moins d'impact sans la présence de Bryan Cranston, il a une présence et un charisme qui concentre l'attention, c'est certainement grâce à lui que le film suscite l’intérêt.
Dommage car tout les élément d'un bon thriller étaient présent, une atmosphère moite, un décor propice, et une gueule, je veut bien sur parler de Bryan"Walter White" Cranston.
Disons le tout de suite le film aurait eu nettement moins d'impact sans la présence de Bryan Cranston, il a une présence et un charisme qui concentre l'attention, c'est certainement grâce à lui que le film suscite l’intérêt.
bonne idée..
bon twist même s'il est a demi prévisible..
meilleur qu'un très bon téléfilm
bien moins bon qu'un film lamda ..
bon twist même s'il est a demi prévisible..
meilleur qu'un très bon téléfilm
bien moins bon qu'un film lamda ..
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