Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
C’est très beau, conceptuel, intelligent, très cohérent, comme tous les films de Kiyoshi Kurosawa.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
aVoir-aLire.com
par Camille Lugan
Le nouveau documentaire de Gianfranco Rosi nous guide le long du périphérique qui contourne Rome, dans un voyage poétique et politique d’une liberté formelle rare.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
par Franck Nouchi
En découvrant "Sacro GRA", on comprend les raisons de son succès en Italie. Comme chez Fellini, comme chez Pasolini, quelques mythologies romaines se sont donné rendez-vous autour de cet anneau de bitume. Ensemble, elles disent une autre Italie (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Quitte à faire s’étrangler un doyen de la critique française, ce Rosi-là nous paraît plus intéressant et stimulant que son illustre aîné homonyme.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
Peu à peu, comme toujours chez Rosi, la dimension anecdotique ou pittoresque ne cesse de s’approfondir, de gagner en profondeur existentielle. Le thème de l’épuisement d’une humanité grouillante et qui s’agrippe à l’étroite alvéole de l’expérience que le destin lui a octroyé une bonne fois pour toutes s’impose peu à peu.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Gérard Delorme
Nobles ou clochards, riches ou pauvres, tous contribuent à dessiner une mosaïque humaine chaleureuse, touchante et réaliste, esthétiquement aux antipodes de "La grande bellezza", mais pourtant étrangement complémentaire.
TéléCinéObs
par François Forestier
On passe de l’étonnement à l’émotion, du sourire à la complicité, avec ces excentriques et ces âmes oubliées. Le monteur, Jacopo Quadri, a passé huit mois à assembler ce puzzle : chapeau bas.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Critikat.com
par Benoît Smith
Le film dévoile un foisonnement qui, on le devine, a fait beaucoup pour sa reconnaissance, et qui impressionne indéniablement.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Le film n'explique rien, il laisse au spectateur le soin de faire son travail de spectateur. Les uns retiendront ce moment de tendresse qui réunit dans la pénombre l'ambulancier et sa vieille mère, les autres cet échange entre deux danseuses de bar qui craignent que leur maquillage leur donne "l'air de putes" (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Guillaume Goubert
Aucune indication écrite, pas de « voix off ». La caméra filme simplement des lieux et des personnes vivant dans l’orbite du périphérique. Cela peut être parfois agaçant quand le réalisateur privilégie la bizarrerie, peut-être pour faire du Fellini réel. (...) Cependant, le film peut être très touchant (...).
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
Surprenant par ses choix narratifs autant qu'esthétiques, “Sacro Gra” est un voyage à la rencontre de personnalités hors du commun, vivantes figures romanesques.
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
À "Sacro GRA" manque cette part d’excès, voire même d’excentricité, qui faisaient la force des deux précédentes œuvres du cinéaste, "Below Sea Level" et "El Sicario".
L'Humanité
par Vincent Ostria
L’ensemble a une tonalité plutôt mortifère et décadente, métaphorisée par la mort galopante des palmiers des environs – contaminés par des parasites – dont un botaniste étudie les ravages. Mais un constat ne fait pas un film.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Positif
par Jean-Christophe Ferrari
Là où ses illustres prédécesseurs (...) traçaient des itinéraires entre le centre et la périphérie, Rosi suit une route qui (...) ne va nulle part, n'offre aucune escale véritable. (...) une oeuvre résolument mélancolique, voire désespérée.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TF1 News
par Romain Le Vern
Parfois les plans ont un sens - et même trop de sens, jusqu'à la démonstration ; parfois ils n'en ont pas et donnent l'impression, selon l'humeur, d'une stase mélancolique ou au contraire d'un formalisme suffisant. Equivoque, pour le moins.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télérama
par Pierre Murat
Le problème, c'est que le désordre qu'il croyait dominer a fini par l'emporter. Le GRA l'a dévoré tout cru... Tout comme les autochtones pittoresques qu'il a filmés sans que l'on comprenne vraiment pourquoi.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Inrockuptibles
C’est très beau, conceptuel, intelligent, très cohérent, comme tous les films de Kiyoshi Kurosawa.
aVoir-aLire.com
Le nouveau documentaire de Gianfranco Rosi nous guide le long du périphérique qui contourne Rome, dans un voyage poétique et politique d’une liberté formelle rare.
Le Monde
En découvrant "Sacro GRA", on comprend les raisons de son succès en Italie. Comme chez Fellini, comme chez Pasolini, quelques mythologies romaines se sont donné rendez-vous autour de cet anneau de bitume. Ensemble, elles disent une autre Italie (...).
Les Inrockuptibles
Quitte à faire s’étrangler un doyen de la critique française, ce Rosi-là nous paraît plus intéressant et stimulant que son illustre aîné homonyme.
Libération
Peu à peu, comme toujours chez Rosi, la dimension anecdotique ou pittoresque ne cesse de s’approfondir, de gagner en profondeur existentielle. Le thème de l’épuisement d’une humanité grouillante et qui s’agrippe à l’étroite alvéole de l’expérience que le destin lui a octroyé une bonne fois pour toutes s’impose peu à peu.
Première
Nobles ou clochards, riches ou pauvres, tous contribuent à dessiner une mosaïque humaine chaleureuse, touchante et réaliste, esthétiquement aux antipodes de "La grande bellezza", mais pourtant étrangement complémentaire.
TéléCinéObs
On passe de l’étonnement à l’émotion, du sourire à la complicité, avec ces excentriques et ces âmes oubliées. Le monteur, Jacopo Quadri, a passé huit mois à assembler ce puzzle : chapeau bas.
Critikat.com
Le film dévoile un foisonnement qui, on le devine, a fait beaucoup pour sa reconnaissance, et qui impressionne indéniablement.
L'Obs
Le film n'explique rien, il laisse au spectateur le soin de faire son travail de spectateur. Les uns retiendront ce moment de tendresse qui réunit dans la pénombre l'ambulancier et sa vieille mère, les autres cet échange entre deux danseuses de bar qui craignent que leur maquillage leur donne "l'air de putes" (...).
La Croix
Aucune indication écrite, pas de « voix off ». La caméra filme simplement des lieux et des personnes vivant dans l’orbite du périphérique. Cela peut être parfois agaçant quand le réalisateur privilégie la bizarrerie, peut-être pour faire du Fellini réel. (...) Cependant, le film peut être très touchant (...).
Les Fiches du Cinéma
Surprenant par ses choix narratifs autant qu'esthétiques, “Sacro Gra” est un voyage à la rencontre de personnalités hors du commun, vivantes figures romanesques.
Cahiers du Cinéma
À "Sacro GRA" manque cette part d’excès, voire même d’excentricité, qui faisaient la force des deux précédentes œuvres du cinéaste, "Below Sea Level" et "El Sicario".
L'Humanité
L’ensemble a une tonalité plutôt mortifère et décadente, métaphorisée par la mort galopante des palmiers des environs – contaminés par des parasites – dont un botaniste étudie les ravages. Mais un constat ne fait pas un film.
Positif
Là où ses illustres prédécesseurs (...) traçaient des itinéraires entre le centre et la périphérie, Rosi suit une route qui (...) ne va nulle part, n'offre aucune escale véritable. (...) une oeuvre résolument mélancolique, voire désespérée.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
TF1 News
Parfois les plans ont un sens - et même trop de sens, jusqu'à la démonstration ; parfois ils n'en ont pas et donnent l'impression, selon l'humeur, d'une stase mélancolique ou au contraire d'un formalisme suffisant. Equivoque, pour le moins.
Télérama
Le problème, c'est que le désordre qu'il croyait dominer a fini par l'emporter. Le GRA l'a dévoré tout cru... Tout comme les autochtones pittoresques qu'il a filmés sans que l'on comprenne vraiment pourquoi.