Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
Ramin Bahrani décrit une Amérique en pleine stupeur, à bout de souffle et qui découvre les dégâts. Les prédateurs sont en place, le désossement peut commencer.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Eric Libiot
Une chronique sociale mâtinée de polar qui peint un pays en proie à ses démons. Par un cinéaste passionnant.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Cet excellent thriller sociétal a pour cadre les banlieues résidentielles dans la lumière dorée d’un été en Floride, décor de carton-pâte qui ne dissimule plus les conséquences de la crise des subprimes.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Après une scène d’ouverture choc, le scénario déroule ses arguments implacables. L'interprétation est saisissante de vérité. Michael Shannon excelle dans le rôle de Rick, le golden boy charismatique, ambitieux et impitoyable qui côtoie le désespoir au quotidien avec un cynisme absolu.
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Sous le soleil de Floride, où la spéculation immobilière fut la plus sauvage (…), le rêve américain se matérialise pour aussitôt se muer en cauchemar éveillé, grâce à la mise en scène précise et inspirée de Ramin Bahrani, qui a clairement passé un cap depuis ses premiers films au naturalisme bon teint…
Positif
par Nicolas Bauche
Le long-métrage de Ramin Bahrani, brillamment écrit et filmé, dessine une angoisse de plus en plus prégnante dans le cinéma américain tourmenté par la crise des subprimes et le catastrophisme financier.
Le Monde
par Thomas Sotinel
"99 Homes" bouillonne de colère, ce qui n'empêche pas sa lucidité.
Marianne
par Grégoire Chertok
Ramin Bahrani nous offre ici une vision peut-être trop manichéenne du système américain ; mais il est certain qu'il appuie avec justesse là où cela fait mal.
Critikat.com
par Josué Morel
Le poids des faits est si fort que le film peine à décoller vraiment de ses situations et reste vissé aux rails d’un scénario dont l’horizon moral (jusqu’où aller pour sauver sa peau dans un monde impitoyable ?) est alourdi par un surplus psychologique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
Ramin Bahrani décrit une Amérique en pleine stupeur, à bout de souffle et qui découvre les dégâts. Les prédateurs sont en place, le désossement peut commencer.
L'Express
Une chronique sociale mâtinée de polar qui peint un pays en proie à ses démons. Par un cinéaste passionnant.
La Croix
Cet excellent thriller sociétal a pour cadre les banlieues résidentielles dans la lumière dorée d’un été en Floride, décor de carton-pâte qui ne dissimule plus les conséquences de la crise des subprimes.
Le Journal du Dimanche
Après une scène d’ouverture choc, le scénario déroule ses arguments implacables. L'interprétation est saisissante de vérité. Michael Shannon excelle dans le rôle de Rick, le golden boy charismatique, ambitieux et impitoyable qui côtoie le désespoir au quotidien avec un cynisme absolu.
Les Inrockuptibles
Sous le soleil de Floride, où la spéculation immobilière fut la plus sauvage (…), le rêve américain se matérialise pour aussitôt se muer en cauchemar éveillé, grâce à la mise en scène précise et inspirée de Ramin Bahrani, qui a clairement passé un cap depuis ses premiers films au naturalisme bon teint…
Positif
Le long-métrage de Ramin Bahrani, brillamment écrit et filmé, dessine une angoisse de plus en plus prégnante dans le cinéma américain tourmenté par la crise des subprimes et le catastrophisme financier.
Le Monde
"99 Homes" bouillonne de colère, ce qui n'empêche pas sa lucidité.
Marianne
Ramin Bahrani nous offre ici une vision peut-être trop manichéenne du système américain ; mais il est certain qu'il appuie avec justesse là où cela fait mal.
Critikat.com
Le poids des faits est si fort que le film peine à décoller vraiment de ses situations et reste vissé aux rails d’un scénario dont l’horizon moral (jusqu’où aller pour sauver sa peau dans un monde impitoyable ?) est alourdi par un surplus psychologique.