Derniers Avis : Creed - L'Héritage de Rocky Balboa - Page 26

Excellent ! Je recommande vivement ce film, il est très bien équilibré: Une histoire, de l'action sans être un film de bourrin, avec une pointe d'humour, un vrai Rocky dans le genre. L'acteur qui joue Creed est vraiment prenant dans ce rôle, en ressortant on a qu'une seule envie c'est Boxer !
4,5/5

Une tuerie !

Pour moi, digne des deux premiers opus !
Je le classe en 3eme haut la main.
Matchs très réalistes et très bien filmé.
Subtil mélange de mélancolie, haine, tristesse, amour.....
Et un stallone qui mérite son golden globe du meilleur second rôle, en attendant les oscars !
J'AI ADORÉ !

c'est un film qui faut vraiment voir, on passe dans tout type d'émotions et on sort avec des frissons. J'attends voir la suite

Certes la structure de ce nouvel épisode n'a rien de surprenant, mais Ryan Coogler reprend la trame bien connue à son compte pour en faire un bon film sur la transmission. En abordant des thématiques assez différentes (les personnages n'évoluant pas dans le même milieu), il limite l'impression de déjà-vu.

L’idée de base était très bonne. Rocky, à nouveau entraineur pour essayer d’honorer la mémoire de son ami Creed. J’étais impatient de voir se film. J’étais super optimiste. Mais ce fut une grosse déception. J’ai eu l’impression pendant tout le film qu’il y avait deux héros et que la paire gâchait le tout. Le jeu d’acteur du jeune Creed est très médiocre. La peur d’être comparé à son père est surfait. Si j’avais pu j’aurais arrêté le film pour faire une pause plus d’une fois. Il y a eu quelques passages un peu drôle, assez entrainant mais au final même le dernier combat ou je me suis dit : « aller ça peut tout sauver… », J’ai été dessus. Un combat très médiocre, pas entrainant. Un remake du premier Rocky Balboa en beaucoup moi bien. Je m’attendais à tellement mieux. J’ai vu tous les Rocky Balboa 3 fois et j’ai été très dessus.

Malheureusement, ce film suit une certaine mode actuelle : du remake ! Ca veut jouer le grand cinema, mais il n´y a rien de cela... Juste une caricature de cinema américain bien faite (musique recente, scènes bien tournees...)... Plait aux jeunes...

Conformément à ses premiers travaux, le réalisateur a plus de sensibilité pour filmer la jeunesse black américaine que de suivre la voie balisée de la saga Rocky. Mais on a plaisir à connaitre le rejeton d'Apollo Creed, rencontrer sa copine et retrouver un Stallone même si cabotin parfois. La transmission et sa difficulté est le thème central du récit. On y montre une jeunesse fière et écorchée vive qui a du mal à trouver sa voie, écrasé par l'ombre des parents ou au contraire délaissé par celle-ci. Le film est sans originalité particulière mais reste un récit assez prenant et la boxe reste un sport très cinématographique.

Dans ces temps troublés où les Noirs américains ne sont plus représentés aux Oscars et où les tensions communautaires sont ravivées un peu partout, les personnages principaux de Creed se font le lien entre les communautés, noire et blanche, riche et pauvre, et proposent des modèles loin des clichés médiatiques.
Certes, dans Creed, chacun vit dans son quartier, mais les personnages sont tous animés par les mêmes passions, ont tous à mener le même combat contre leurs propres démons, et le lien entre Adonis et Rocky montre que l'amour et le sentiment filial peuvent transcender la couleur de la peau.
Quarante ans après Rocky (1976, Oscar du meilleur film), voici un Sylvester ''Sly'' Stallone mature, qui joue tout en émotion (une fois n'est pas coutume !), et force est de constater que le rôle qui le rendit célèbre à l'époque lui va toujours comme un gant. Saluons également la prestation du jeune Michael B. Jordan qui tente, à l'instar du personnage qu'il incarne, de sortir de l'ombre de son illustre homonyme et de se faire un nom. Si vous êtes comme moi fan de la première heure, vous vous délecterez des citations empruntées aux principaux thèmes musicaux du Rocky original (notamment la musique du dernier round du combat entre Rocky et Apollo Creed, un grand moment !).
Stallone (auteur, créateur des personnages et producteur) nous offre ici une belle leçon de vie, dans ce film porteur d'un message d'espoir naïf et sincère auquel on a tout simplement envie de croire, et là je dis : MERCI !

Au départ je n'ais pas trop chaud pour voir ce spin off de Rocky , le dernier Rocky (Rocky balboa) avait terminer magnifiquement la saga ...mais fort de constaté , que ce film ma grandement surpris , une bande son terrible .. un jeu d'acteurs magnifique ( sly est touchant) une fin de film pleine de suspense ..
Un tres grand film .....

C'est une très belle conclusion à la saga "Rocky". Sylvester Stallone y fait ; avec modestie, ses adieux à son double emblématique et passe le relais à Michael B. Jordan vu dans "Chronicle" et "4 Fantastiques". L’acteur à toute crédibilité a joué le fils d’Appolo Creed ; tant par son jeu d’acteur, que par le corps qu’il a dû se construire pour le rôle.
Même si parfois l’intrigue est légère ; le film est bourré de clin d’œil et doté d’un bande son qui vous donne envie de vous inscrire à la salle de sport et ça, ça fait du bien.

parfait, une vrai surprise, les acteurs sont au top.
les prises de vues sur le ring est extra
L"histoire est sympa, À

5 étoiles faciles !
J’ai adoré CREED. La relève est complètement assurée.
Le film est hyper cohérent de bout en bout.
J’avais peur qu’on tombe dans le kitch et le sur-joué pour un hommage trop appuyé à celui qui a construit la légende : Rocky Balboa AKA Monsieur Stallone. Pas de "ADRIIIIIIIIIIIIIIIANNN" à s’en décoller la glotte, ou à s’en déclencher un AVC. Rocky reste dans une sobriété mesurée, au second plan, pour passer doucement le témoin.
Rocky Balboa est devenu l’homme que tout un chacun deviendra forcément, comme il le dit justement, « le temps gagne toujours » et peu importe le combat (parallèle avec la fin du film ?? ) Oui, oui…

La ligne ténue entre le combat mené sur le ring et dans la vraie vie est claire et complétement assumée. J’ai adoré les petits fils, laissés çà et là, tout au long du film, qui apportent juste ce qu’il faut d’une morale pas trop appuyée, pour que vous choisissiez de la comprendre ou de la laisser passer…

Adonis CREED est absolument époustouflant. « Investissement physique il y a eu » aurait pu dire YODA !
Le Baby CREED a un corps félin, puissant et rapide, peut-être même un peu trop pour interpréter un boxeur, comparativement aux gueules plates des autres acteurs qui ont dû tâter du cuir en pleine façade ! Adonis au physique sec et dessiné (ne m’en déplaise pas franchement): L’implication est totale. Il fait le Job du début à la fin, et prend à pleine main le témoin tendu par le "Big Boss" sans s’imposer.

La réalisation est sublime. Le plan séquence du premier combat officiel de JONHSON-CREED est absolument géniale. La caméra est le troisième homme. Le combat est calculé, travaillé et joué, (presque dansé) au millimètre (on sent que les répétitions ont dû être longues), non pas à deux mais à trois acteurs. La caméra fait complétement partie intégrante de la scène et est actrice de la situation. On vit l’instant et Merci !
La scène d’accession à « l’anneau » pour le combat final est sublimissime également (toujours grâce au plan séquence unique) et complétement immersive. Merci au réalisateur car cette scène est LA scène que j’ai toujours souhaité vivre sans en assumer les conséquences 

Réalisation impeccable. Acteurs complets. Scénario simple mais juste et travaillé (je n’en attendais pas plus).

The last but not the least : Merci pour le dénouement final, qui (pour une fois) m’a fait mentir ;)

Une réussite! Poignant et Emouvant
Que dire de plus à part que c'est le film coup de point de ce début d'année.
Un Stallone enfin au sommet de son art!

Il y à eu la saga Rocky avec c'est bon comme c'est mauvais opus. Creed est une bombe, il ne fait pas partie de la saga mais gravite autour. Distribution Scénario et Bande original excellent. A voir vraiment.

Certes c'est bien joué et on ne s'ennuie pas. Pour les fan de rocky il y a quelques rappels sympathiques. On passe un bon moment, sans plus.