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    Creed - L'Héritage de Rocky Balboa
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    872 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 11 février 2016
    Très excitant et très prenant comme film ! Un Stallone excellent dans son rôle de coach et un jeune boxer talentueux devant la caméra ! Seul bémol, le "malencontreux" placement de produit Nike qui dure...tout le film !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 11 février 2016
    VF - Important à souligner, la VF est plutôt réussie comme à l'époque du 1er Rocky d'ailleurs. L'histoire n'est pas folle, ça reste un film sportif avec quelqu'un qui apprend à réussir et à gagner malgré l'adversité. Mais moi j'adore ça. C'est très bien joué par Mickael B. Jordan qui aurait mérité une nomination aux Oscars pour sa prestation convaincante et Sly prouve encore une fois que c'est un bon acteur et non pas qu'un action man avec des muscles et sans cerveau. La musique est parfaite mais le montage est un peu bizarre par moments. Par contre, le plan séquence de l'arrivée sur le ring du combat de fin est juste hallucinant. Un bon film qui redonne un nouveau souffle à la saga (que je n'avais pas trop appréciée) à voir impérativement.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 11 février 2016
    Creed, Whaou ! Magnifique, c'est le mot qui m'ai venu à l'esprit après l'avoir vu. Je n'aime pas expliquer ce qui se déroule dans un film donc je dirais juste que Stallone devient entraîneur et il entraînera pas n'importe qui, le fils d'Apollo Creed, sois son ami boxeur qui l'a aidé à faire son come back. Le scénario reste très fidèle aux anciens Rocky mais se renouvelle grâce à des nouveaux personnages touchants qui ont chacun des objectifs précis. On a une nouvelle façon de montrer les combat qui est juste totalement immersif avec cette caméra qui n’arrête pas de suivre les boxeurs, ses enchaînements qui attirent notre attention et les combats qui ne sont pas interrompus. On a de l'humour qui reste bien dosé avec aussi des malheurs qui arrivent spoiler: L'annonce du cancer de Balboa
    , ce qui rend ce film très touchant car la stimulation de nos émotions est omni-présente. Bref, on retrouve un bon vieux Rocky après bien des échecs de la série et on attendais que ça ! Si vous êtes fan de Rocky, de boxe ou tout simplement pas fan, allez y quand même car on retrouve un Stallone en pleine forme et j’espère qu'il aura son oscar de meilleur second rôle !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 11 février 2016
    Film que je suis parti voir sans trop de conviction. Eh bien, c'était un super moment. Stallone est très convaincant et Michael B. JORDAN est fabuleux.
    Un super film à voir absolument.
    missalila
    missalila

    8 abonnés 190 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 février 2016
    Excellent film : je ne connaissais pas la série des Rocky, et cela donne envie de découvrir les anciens Rocky.
    Stallone est au poil et joue juste, les 2 jeunes acteurs impeccables, les combats sont extrêmement bien filmés, on a l'impression d'être au spectacle, dans le public. On ne s'ennuie pas une seconde !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 10 février 2016
    Une bonne suite, des clichés mais pas trop. C’est bien filmé et il y a même de l'humour. Stallone est bon dans son rôle de vieux grincheux au grand coeur.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 10 février 2016
    Un rocky encore au top . j au franchement adore à voir et revoir . une histoire bien construite et un film bien réalisé
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 9 février 2016
    Super!!! Vraiment top!!! L'acteur principal est très bon et Stallone est vraiment très bon ce coups la!
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 13 février 2016
    Quand j'ai entendu parler de cet film avec encore une fois, Stallone dans le rôle de Rocky Balboa, je me suis insurgé contre ces producteurs, avide de qualité artistique, qui ne sont plus capables de laisser mourir une licence dignement mais doivent la presser jusqu'au bout pour engranger le maximum de pognon. Surpris que je fus, à la fin de ce film dont l'introduction du scénario n'est qu'une copie du V (un jeune qui se fait entraîner par la légende à la retraite), avec des rebondissements convenus (le vieux refuse dans un premier temps mais finit par accepter) et enfin une conclusion tellement pas originale que j'ai d'abors cru qu'il s'agissait d'une blague(Spoilers: spoiler: Le jeune perd son combat mais gagne le respect de la foule et même de son adversaire qui le prenait pour une petite frappe
    ). De plus, le film est clairement bonifié par le duo M.Jordan et S.Stallone qui évolue sereinement sur une bonne narration et une bande-son juste et équilibrée, ni trop pompeuse, ni trop timide. Ce film est aussi l'occasion pour ce jeune acteur, M.Jordan, de faire ces preuves après des débuts mitigés (quoi, vous avez dit "Les 4 Fantastiques" ?) alors que je l'avais bien aimé dans Chronicle. Bref, il aurait mérité au moins une nomination aux oscars juste pour l'encourager dans cette voie.
    Assez satisfait par ce film, qui j'espère sera l'opportunité de clore cette sage en beauté.
    Jean-François B
    Jean-François B

    9 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 février 2016
    retour aux fondamentaux avec ce film où Rocky devient un " sage " philosophe ...pas de pathos, des combats tres bien filmés ... tres bon film
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 9 février 2016
    Rocky Balboa a-t-il un héritier ? Et s’il en a un, qui est-il ? Si l’on s’en fie aux échos dithyrambiques de la presse à sa sortie et d’une partie non négligeable du public qui lui a ensuite fait un triomphe, il semblerait que ce soit ce CREED. Tel Clint Eastwood dans le fabuleux GRAN TORINO, qui préférait voir sa relève dans un personnage d’une autre ethnicité que lui plutôt que dans sa propre famille, Balboa verrait davantage le rejeton de son ami et adversaire Apollo Creed lui succéder plutôt que le sien. Cette réponse donnée par Ryan Coogler, qui vient s’immiscer dans cette saga vieille de quarante ans jusque-là principalement conçue par Sylvester Stallone, pose de sérieux problèmes. Elle révèle par son développement maladroit à quel point CREED est un film de son temps faisant de Rocky Balboa la dernière victime de cette vague nostalgique qui abreuve les spectateurs du monde entier avec des « films doudous » confortables et réconfortants.

    INDIANA JONES, DIE HARD, JURASSIC PARK, TERMINATOR, THE THING, les versions « live » des personnages immortalisés par Disney, GHOSTBUSTERS,… Autant de variations grotesques et désincarnées de mythes cinématographiques puissamment évocateurs. La liste est longue mais, de façon surprenante, elle n’incluait pas Rocky il y a encore quelques mois. Pourtant celui-ci était loin d’être le dernier à avoir été le héros d’aventures dont la création avait été parfois motivée par des raisons pécuniaires. Cependant, ce qui garantissait son intégrité et la pertinence de sa progression était l’implication de Stallone car l’acteur se servait de cette figure pour partager et traduire cinématographiquement sa vision du monde, ses états d’âme et son regard lucide sur son parcours professionnel et personnel pour le moins chaotique.

    CREED est donc problématique à plus d’un titre puisque il s’agit de l’épisode qui vient déposséder Stallone de son Rocky. Malgré la sincérité de Coogler qui a avoué en être un fan, le cinéaste ne peut y insuffler la même force que Stallone. Ainsi, son choix de détourner la franchise en l’abordant d’un point de vue alternatif - celui d’Adonis Creed - aurait pu être intéressant s’il ne se révélait pas si rapidement comme étant une fausse bonne idée. En effet, Coogler échoue en permanence à trouver une place adéquate pour Rocky au sein de son intrigue et se montre sacrément nébuleux quant au positionnement du jeune « rookie » par rapport à ce bloc légendaire incarné par Stallone. A l’image des fils d’Indy et de John McClane qui ne sont pas parvenus à s’imposer dans l’inconscient collectif, il est fort probable que ce Creed, jeune rebelle supposé représenter les valeurs ardemment défendues par son mentor, n’y demeure pas sur le long terme.

    La preuve la plus évidente est que l’accueil élogieux du film ne le mentionne jamais, à l’inverse de Rocky et de son interprète qui sont de toutes les conversations, prouvant par là leur intemporalité et leur droiture. Car à l’inverse de la démarche de FURY ROAD et de STAR WARS VII, CREED demeure résolument rivé sur un passé qu’il est condamné à reconvoquer sempiternellement, inapte à proposer un avenir novateur à ce monde fictif préexistant qu’il a entre les mains.

    Adonis Creed n’est pas un héros fédérateur comme l’est Rocky parce qu’il se contente de suivre une voie tracée par ses prédécesseurs au lieu de choisir la sienne (c’est l’immense paradoxe d’un film dont le personnage principal refuse pendant une bonne partie du récit de porter le nom qui lui a été légué) et vient d’un milieu social aisé qui le coupe des réalités de la majorité de son public. Là où Rocky parlait aussitôt à une jeunesse américaine brisée par une décennie tragique, désireuse de retrouver cet idéal qu’était le rêve américain avant qu’il ne soit perverti par le Vietnam, le Watergate et une succession de révoltes désillusionnées, Creed n’est qu’un « copycat » ne renvoyant à rien de ce que ressent la jeunesse actuelle, si ce n’est à cette culpabilité honteuse et terrifiée d’être née après une génération de légendes qui la contraint à les imiter afin de se complaire dans l’illusion rassurante que le monde n’a pas changé.

    Du coup, Adonis reste un être sans repère, que ce soit lors de la première demi-heure ou de son triomphe ultime. Il souhaite se montrer digne du nom de son père, tout en s’en démarquant, pour calquer son chemin sur celui d’un autre et finir par porter le caleçon de son paternel pendant le combat final alors qu’il se relève sous un thème musical triomphal qui n’est pas le sien… mais celui de Rocky. Du coup, on en vient à se demander de qui hérite vraiment Creed ? Cette inconstance se retrouve d’ailleurs dans la mise en scène tape-à-l’œil de Coogler qui jongle entre des plans séquences immersifs et des effets de style télévisuels comme l’arrêt sur l’image et l’apparition de textes extra-diégétiques. Pas à une contradiction près, Coogler aborde la franchise avec le cahier des charges du film indépendant engagé tout en passant par tous les clichés ampoulés du récit commercial. Il entend insuffler une modernité aux décors de ROCKY tout en y repassant avec la vénération d’un pèlerin extatique à l’idée d’y poser sa caméra. Il souhaite proposer un nouveau héros mais le coince dans une légende préexistante afin de le transformer en double amoindri de cette légende.

    Cette indécision se ressent inévitablement sur le traitement de Rocky. Si Stallone demeure impérial en Rocky Balboa, notamment lors d’une séquence où l’acteur du poignant COPLAND nous rappelle que son regard suffit à porter tout l’accablement du monde et que sa gueule burinée est l’une des plus fascinantes qu’une caméra ait pu contempler à ce jour, cela n’occulte pas l’arrière-goût désagréable d’inachevé, d’amertume et de déjà-vu. Inachevé parce que la sous-intrigue portant sur son combat contre le cancer est intégrée trop tardivement, très artificiellement, et est traitée superficiellement pour n’être conclue que partiellement. D’amertume parce que Stallone, d’abord réticent face à ce projet, se voit doucement écarté de son univers.

    De déjà-vu enfin parce que Rocky avait eu précédemment droit à un dernier tour de piste duquel il était sorti fièrement, sur ses deux pieds. Avec CREED, il revient mais n’apporte aucune pierre supplémentaire à l’édifice. Il n’accomplit rien puisque le combat de sa maladie est soigneusement tenu à l’écart et sa conclusion n’est qu’esquissée, et il se contente donc de trainer sa vieille carcasse mélancolique afin d’appuyer le cher sous-texte de Coogler sur la transmission, l’héritage et le rapport entre les générations qui fait tant mousser la critique et qui amène à présent cette dernière à reconsidérer Stallone et la saga ROCKY. Un mal pour un bien peut-être, mais on ne pourra que s’attrister de voir le grand comédien être officiellement reconnu pour son rôle le plus inoubliable alors que celui-ci est en bout de course.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 9 février 2016
    Creed est aussi bon que le Rocky original. L'histoire est à la limite du cliché, mais est tellement bien développée, tellement bien filmée, et tellement bien jouée qu'on en oublie le côté American Dream. Stallone est bouleversant, ce qui en étonnera plus d'un, et Michael B. Jordan prouve qu'il est un grand acteur en devenir. Un film motivant, inspirant, à l'américaine, dans le sens le plus noble du terme.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 février 2016
    Un magnifique film, ou l'on retrouve les deux principaux ingrédients qui font le succès des Rocky : l'action et l'émotion. Les acteurs sont formidables, mais mention spéciale à Sylvester Stallone qui nous joue un Rocky Balboa toujours aussi touchant. Un must du genre.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 février 2016
    Comme chacun des Rocky une vraie merveille . Beaucoup de valeur , Stallone est plus remarquable que jamais . L'histoire bien traitée. Et un combat à la hauteur de mes espérances.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 février 2016
    Ce film est un pure chef-d'œuvre, j'ai été agréablement surpris par le scénario, on est véritablement transporté dans l'histoire, bravo 😊👍
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