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    Les opportunistes
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    Céline C.
    Céline C.

    12 abonnés 53 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 novembre 2014
    Mise en scène particulière......une même scène de vie vécue par différents personnages......comme quoi un même événement peut être vécu et perçu différemment en fonction des individus
    Ambiance intrigante.....des personnages attachants ou détestables.
    Le voir en VO est un plus.
    ffred
    ffred

    1 698 abonnés 4 019 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 novembre 2014
    Après le film choral raté (Puzzle), voici le film choral réussi. Avec un exercice d'autant plus difficile (mais pas nouveau), les mêmes scènes vues sous l'angle des principaux protagonistes. C'est carrément ici toute l'intrigue du film qui est revue à chaque fois du point de vue de trois personnages différents. Paolo Virzi (La prima cosa bella 2011) se sort de tous les pièges et nous concocte un drame familial des plus intéressant. Cela commence calmement. On pense assister à un thriller sur la finance, avec magouilles et crise sociale à la clef. Assez vite le tout bascule vers un véritable polar familial plein de rebondissements et de coups de théâtre. On est tenue en haleine jusqu'au bout grâce à un scénario malin, acerbe et cynique, et une mise en scène solide. Qui est victime, qui est coupable, qui manipule qui ? L'ambiance est trouble et intrigante avec un vrai suspens. Les personnages, vraiment tous opportunistes, moitié attachants, moitié détestables, sont magnifiquement interprétés par une pléiade d'acteurs plus ou moins connus chez nous. Valeria Bruni-Tedeschi est impeccable, vraiment très bien (nommée aux Oscar européens), tout comme Valeria Golino (mais le rôle est moins important). Le résultat nous donne un film parfaitement maitrisé, passionnant voir fascinant. L'un des meilleurs thrillers de l'année.
    Hastur64
    Hastur64

    223 abonnés 2 289 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 août 2015
    Ce film italien inspiré, plus qu’adapté apparemment, d’un roman américain s’avère un long-métrage distrayant. Son intrigue, bien qu’assez conventionnelle, est supportée par un parti-pris de réalisation qui divise le film en trois chapitres, plus une conclusion, ce qui lui permet de revisiter les événements sous différentes perspectives donnant à l’histoire un léger parfum de thriller. On est donc sans mal plongé dans ce drame autour de deux familles de la grande bourgeoise de la Lombardie. Ce qui laisse quand même un petit goût amer à la dégustation de cette petite distraction assez plaisante c’est à la fois les personnages et le côté politique ou en tout cas moral qui s’y glisse. Les personnages, tout d’abord, sont tous assez stéréotypés. On a le banquier d’affaire vaguement raciste, totalement inculte et qui délaisse sa femme ; cette dernière fragile créature qui traîne son ennui et son blues entre œuvres de bienfaisance et achats compulsifs ; leur fils est un benêt en quête du regard approbateur de son père ; on a également la jeune fille intelligente qui largue son riche petit-ami pour le loser sans-le-sou mais profond et artiste à ses heures, etc… Bref cette galerie de portraits un brin caricaturaux et qui louche un peu trop vers le téléfilm américain et décrédibilise un peu l’histoire qui devient du coup un peu insignifiante, même si comme je l’ai dit on passe un moment agréable. Mais ces personnages sans subtilité pourraient passer si le film ne se servait pas d’eux pour faire une critique (un peu molle d’ailleurs) de l’argent roi et de ces personnes près à tout pour en gagner un maximum. Du coup ce banquier d’affaire, l’agent immobilier, leurs femmes et rejetons sont dépeints de façon un peu caricaturale comme des gens grossiers voire ridicule et plein de préjugés et de mépris pour tout sauf l’argent et leur mode de vie. Mais, le film ne critique pas que la bourgeoisie, mais tous ceux qui courent après l’argent comme cet homme des quartiers populaires qui en a après l’héritage de son neveu. C’est d’ailleurs ce neveu et son amoureuse qui sont les seuls à échapper à ce pamphlet contre l’argent et être un brin sympathiques, à défaut d’être plus subtiles. Je passe sur les informations qui concluent le film et qui font également peu preuve de finesse dans leur dénonciation à peine voilée de la marchandisation de la vie humaine. En somme, on a un film qui se laisse regarder, mais dont le paradigme sous-jacent de critique de l’argent roi amène à une histoire et des personnages un peu lourdement dénonciateurs et donc parfois un peu risibles. Pas désagréable donc, mais franchement lourd parfois.
    traversay1
    traversay1

    3 572 abonnés 4 861 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 novembre 2014
    Récompensé à plusieurs reprises en juin dernier aux David di Donatello (les César transalpins), notamment dans les catégories Meilleur film, scénario et actrice (Valeria Bruni Tedeschi), Les opportunistes représentera l'Italie aux Oscars 2015. Cette adaptation d'un roman américain (The Human Capital) est signée Paolo Virzi, cinéaste assez mal distribué en France (Catarina va en ville, La prima cosa bella, Chaque jour que Dieu fait), que l'on peut considérer comme une sorte d'émule de Nanni Moretti, avec un peu de talent en moins. Les opportunistes adopte une construction à la Rashomon, soit trois chapitres qui dévoilent comment plusieurs protagonistes vivent une situation tragique (un accident de voiture aux graves conséquences) dans le même laps de temps. Le film joue sur plusieurs niveaux : thriller, comédie sociale, drame. Tout est un peu trop appuyé, même si le résultat est loin d'être indigne. Le portrait de deux familles, l'une riche, l'autre qui voudrait l'être, alors que le pays sombre dans la crise, manque véritablement de subtilité pour que Virzi atteigne son but : montrer comment, aujourd'hui avoir est bien plus important qu'être. Pas assez de mordant, trop de personnages qui frisent le stéréotype et une mise en scène sans imagination : on a envie d'être sévère avec un film pourtant assez agréable à regarder et pertinent, au moins dans ses intentions.
    ninilechat
    ninilechat

    71 abonnés 564 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 novembre 2014
    Le cinéma italien se meurt, le cinéma italien est mort(e) comme dirait ce bon vieux Bossuet.... Bien sûr, il reste des individualités fortes et passionnantes, Nanni Moretti, Paolo Sorrentino..... Mais ce qui faisait le charme du cinéma italien, cette façon de narrer la tragédie en l'accommodant à la sauce du grotesque, qu'est elle devenue? Qui réaliserait, maintenant, Profumo di donna? On y pense en voyant ces médiocrissimes Opportunistes (quel drôle de titre!) qui sont comme une mauvaise copie des chefs d'œuvre de la grande époque.

    Le film, composé de trois chapitres vus à travers l'œil de trois des personnages principaux, précédés d'une courte introduction et suivis d'une conclusion, a aussi un côté thriller qui, lui, n'est pas désagréable. Car, dès l'introduction, on sait qu'un cycliste a été renversé et tué, la nuit, par un puissant 4 X 4, qui a pris la fuite. Mais qui le conduisait? That is the question.

    Un richissime financier milanais, Giovanni Bernaschi (Fabrizio Gifuni) a un fils, plutôt brillant élève de terminale, Massimiliano (Guglielmo Pinelli), qui a lui même une petite amie tout à fait officielle, Serena, (Matilde Gioli) que chacun chez les Bernaschi considère comme une fiancée, bien qu'elle soit issue d'un milieu tout à fait différent. Le père de Serena, Dino (Fabrizio Bentivoglio) est en effet un petit agent immobilier miteux et combinard, qui va chercher à tirer profit de cette riche famille où sa fille a ses entrées. Il est remarié à la psychologue Roberta (Valeria Golino), et là, j'émets une protestation officielle! C'est honteux, dans un film où tous jouent plus mal les uns que les autres, d'avoir une bonne actrice et de la sous-employer à ce point, car le rôle de Roberta reste secondaire, et il est tout à fait impossible qu'une jolie fille comme la Golino soit amoureuse du hideux et grotesque Dino! Enfin, pout terminer par, presque le pire, Giovanni est marié à Carla (Valeria Bruni-Tedeschi). Je me suis toujours demandé ce qui valait des commentaires aussi élogieux à cette exécrable actrice. J'ai peur de connaître la réponse: parce qu'elle fait partie du petit monde bobo-chic parisien. Sœur de qui vous savez, compagne (je suppose qu'elle l'est toujours car ces gens là ça va ça vient....) d'un jeune acteur qui est, à n'en pas douter, le pire de sa génération, elle doit être incontournable!

    Premier chapitre: Dino. Ou comment ce miteux, cauteleux, collant arrive à se faufiler dans l'intimité de la famille grâce à quelques beaux restes en tant que tennisman, et à entrer dans le capital de la société Bernaschi en engageant un argent qu'il n'a pas et qu'il doit évidemment emprunter. Le personnage est ridicule. L'acteur est exécrable. On pense à ce que Mastroiani, qui adorait, justement, se ridiculiser, aurait fait de Dino..... on l'imagine très bien, génial, lui, dans ce rôle.

    Deuxième chapitre: Carla. La richissime épouse est dépressive, emmerdeuse, persuadée qu'elle serait devenue une grande actrice si elle n'avait pas eu un mari et un enfant, et elle se met en tête de racheter un petit théâtre, de monter une troupe. La Tedeschi ne donne vraiment aucune chance au personnage qui est une véritable tête à claque......

    Troisième chapitre: Serena, c'est assurément celui qui sauve le film, en partie parce que le côté thriller refait surface -on s'aperçoit que ce que l'on avait cru voir dans les chapitres précédents n'était pas nécessairement ce qu'il fallait voir-, en partie parce que la jeune actrice, elle, est une comédienne intéressante.

    Tout ça pour ça. Je ne connaissais pas ce réalisateur, Paolo Virzi; je n'ai pas vraiment envie de le mieux connaître. Tout le monde est pourri, en Italie? D'autres l'ont déjà montré, et autrement mieux....

    A voir si vous n'avez vraiment rien de mieux à faire, mais en cette période pré -fêtes, vous avez sûrement mieux à faire...
    PaulGe G
    PaulGe G

    108 abonnés 607 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 décembre 2014
    très bon film surprenant captivant cynique a souhait drôle et méchant la société bourgeoise mise a mal avec un bonheur jubilatoire 4 étoiles
    Redzing
    Redzing

    1 115 abonnés 4 469 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 février 2024
    Un récit choral où deux familles s’entrecroisent, l’une petite bourgeoise, l’autre richissime. L’occasion de dresser un portrait peu flatteur d’une galerie de personnages. Dino, agent immobilier lourdaud qui croit pouvoir intégrer l’univers des riches avec son bagou. Carla, épouse trophée qui prend conscience de la froideur de son mari millionnaire, et de la vacuité de sa propre existence. Serena, la fille qui met ces deux mondes de côté pour autre chose.
    Il n’y a rien de foncièrement original ou imprévisible dans la construction éclatée du récit. Ni dans la critique des riches superficiels, ou des petits bourgeois aux dents longues. D’autant plus que le film est sorti en 2014, alors que pléthore d’œuvres sortaient sur ces sujets, dans le sillage de la crise économique de 2008.
    Mais, si ce n’est quelques sous-intrigues délaissées, c’est bien construit, bien emmené, et même drôle à l’occasion. Et il y a toujours un petit côté réjouissant à voir des arrivistes en prendre plein la figure…
    Je noterai aussi des actrices talentueuses. Valeria Golino, malheureusement dans un second rôle. Valera Bruni Tedeschi, que c’est la première fois que je vois jouer en italien (!). Ou la jeune Matilde Gioli, qui a un troublant air de ressemblance avec Eva Green (!!).
    Hotinhere
    Hotinhere

    551 abonnés 4 958 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 février 2023
    Porté par un casting impeccable, un thriller social prenant s’appuyant sur un récit choral astucieux vu sous trois angles différents, qui dresse un tableau désabusé des mœurs italiennes d'aujourd'hui.
    Sylvain P
    Sylvain P

    336 abonnés 1 356 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 novembre 2014
    Construit en 3 parties racontant la même histoire à travers les yeux de 3 personnages, ce récit cynique sur l'inhumanité des capitalistes primaires, l'absence d'empathie des égoïstes et l'inconscience des simples d'esprit est captivant. L'atmosphère lourde, le jeu d'acteur et la musique concourt à l'immersion dans ce monde de brutes.
    DAVID MOREAU
    DAVID MOREAU

    130 abonnés 2 230 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 août 2017
    FEMME DE L'ETRE. Compétences, expériences, savoirs, le prix à payer du capital humain. Film habile sous tous les angles. Une des meilleures chose que fait le cinéma italien. Le dernier venu ferme la porte.
    mazou31
    mazou31

    94 abonnés 1 281 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 janvier 2015
    Après des années de populisme à la Berlusconi, l’Italie conserve la vision critique de sa société, même si les nouveaux réalisateurs n’ont pas (encore) la précision et la cruauté des grands d’il y a quarante ans, Scola ou Risi par exemple. Sur un fond d’enquête dont l’histoire découpée en chapitres est remarquablement imbriquée, Paolo Virzi décrit la grande bourgeoisie italienne –mais elle pourrait être de partout–, désespérément creuse, obsédée par l’argent, vaniteuse et pourrie. Des hommes cupides, prêts à tout pour un coup qui rapporte, des femmes potiches, des enfants pleutres qui noient leur détresse dans l’alcool, la drogue et les voitures. Seul touche d’espoir, deux jeunes amoureux malmenés, les seuls à “en avoir” malgré les galères. Outre l’histoire, je le répète, admirablement démontée, le rythme est soutenu, la mise en scène très soignée et la direction d’acteurs impeccable. Tous tiennent leur rôle parfaitement, avec la jeune Matilde Gioli qui crève l’écran et les deux Valeria (Bruni Tedeschi et Golino) magnifiques, la première, désespérément consciente de la vacuité de sa vie, s’accrochant en vain à un projet artistique… qui capote, au nom du dieu profit.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 713 abonnés 12 426 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 septembre 2018
    Librement adaptè du roman « Human Capital » de Stephen Amidon, "Il capitale umano" n'est pas forcèment la rèussite attendue! Pourtant on y retrouve intactes les qualitès de Paolo Virzì! il n'est d'ailleurs pas exagèrè de dire qu'il compose ce film comme il agencerait une voiture! La mise en scène est souvent remarquable et Valeria Bruni Tedeschi trouve là un beau personnage de bourgeoise nèvrosèe qui semble lui convenir! Si "Il capitale umano" se prètend être brillant dans sa rèalisation, force est de constater que ses ambitions sont quand même loin d'être remplies! il y manque pour être au diapason du sujet, la fascination, l'èmotion et surtout l'originalitè d'un Sam Mendès ("American Beauty"). C'est souvent lisse, convenu, prèvisible (le final) avec pas mal de clichès à l'arrivèe! Qu'il est difficile de renouer avec le cinèma populaire italien du siècle dernier! Reste que "Il capitale umano" fut à sa sortie un gros succès en Italie avec sept Donatello à la clè dont le meilleur film et la meilleure actrice...
    FaRem
    FaRem

    8 647 abonnés 9 528 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 avril 2015
    Un film qui comporte 3 chapitres avec chaque fois la vision d'un des personnages sur l'histoire qui sert de fil rouge, mais aussi une petite histoire personnelle pas toujours indispensable. Le film est pas mal, mais je trouve la construction maladroite avec ce système de chapitre qui n'apporte rien de plus qu'une construction directe la preuve avec le Chapitre 2 sur la mère qui ne sert à rien pour l'histoire fil rouge. Le chapitre 1 est bien, il pose bien les bases et le caractère des personnages même si pour moi, je pense que rien qu'en regardant le dernier chapitre, on ne serait pas pour autant perdu pour la compréhension de l'histoire. Un petit mot sur le titre et sa traduction pour une fois, je trouve la VF légitime, car le terme prend tout son sens avec le caractère opportuniste de certains personnages alors que le titre VO prend lui son sens lors de la conclusion. Pour résumer, un film agréable à suivre, mais une histoire un peu gâchée par ce choix de mise en scène.
    Christoblog
    Christoblog

    827 abonnés 1 674 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 novembre 2014
    Le grand succès italien de l'année (7 Donatello, l'équivalent de nos Césars, le film a battu La grande belleza) arrive une fois n'est pas coutume sur les écrans français.

    Le film est basé sur l'effet que j'appelle habituellement "Rashomon" (car le film de Kurosawa en est la plus belle expression) : une même histoire racontée suivant trois points de vue différents. Ce procédé est toujours excitant : les mêmes scène revues sous un angle différent provoquent la curiosité, on est captivé par les jeux de résonance d'une séquence à l'autre, découvrant tout à coup le pourquoi du comportement bizarre d'un personnage ou faisant le lien entre plusieurs éléments disparates.

    L'utilisation de l'effet "Rashomon", très efficace intrinsèquement, n'est parfois qu'un cache-misère. C'est presque le cas ici. La trame de fond est ici en effet archi-rebattue : il s'agit du thème très à la mode ces dernières années du conducteur d'un véhicule qui s'enfuit après avoir renversé un cycliste.

    Les opportunistes veut embrasser autour de ce sujet une collection de thèmes survolés mais de bon aloi : la dénonciation d'un capitalisme inhumain qui parie sur la crise, le racisme ordinaire d'italiens moyens, le mépris de la bourgeoisie vis à vis de la culture...

    Tout cela est bel et bon, mais un peu creux, et il faut une palette d'interprétation hors norme pour sauver le film d'une médiocrité annoncée. Valéria Bruni Tedeschi est en particulier parfaite, dans un rôle d'ingénue sous domination au décolleté ravageur.

    A voir éventuellement.

    1000 critiques sur :
    Michel C.
    Michel C.

    272 abonnés 1 462 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 janvier 2024
    Publiée le 24 novembre 2014 ( par Michel Crotti )
    Film original où on retrouve des paysages Italiens et Valeria Bruni Tedeschi (Carla Bernaschi). Bonne idée de décrire la même histoire à travers des regards et des angles bien entendu différents, c'est amusant de croire approcher de la Vérité par couches successives, bien qu'on reste su sa faim. J'attendais bien plus pour la chute, et le "capiltal humain" n'apporte rien ! Fabrizio Bentivoglio (Dino) est fatiguant dans ce film, tandis qu'on revoit avec plaisir Valeria Golino (Roberto) - souvenez vous "Rain Man" ou encore "36 quai des Orfèvres" - Sans plus donc.... !!**
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