Aaaaah le charme des décors peints, des surimpressions, des studios permanents etc... Une aventure originale que je ne connaissais pas et qui est dans la veine de "20000 lieux sous les mers", "Voyage au centre de la terre" ou encore "La machine à voyager dans le temps" bref, une histoire kitchouille rafraîchissante qui se laisse bien regarder.
Les films de Robert Stevenson sont très souvent des films magnifiques et leurs histoires sont complètement farfelues et poétiques. C'est encore le cas pour celui-ci qui est bourré d'action, de rebondissements, de fantastique et dont l'aventure et la quête restent captivants à suivre. Seul bémol, la fin qui nous laisse sur notre faim!!
L’île sur le toit du monde est un film d’aventures à l’ancienne qui réutilise les ficelles du genre sans surprises. Le scénario va nous emmener dans le grand nord à la rencontre d’une civilisation oubliée. Même si le jeu d’acteur et les petites « calembourgs » made in America lassent un petit peu, le film se montre efficace.
Décidément, les Walt Disney n'ont pas vraiment la côte de mon côté puisque je poursuis "mon aventure" avec le très médiocre "L'île sur le toit du monde", une idée simple qui lorgne du côté des romans d'ouverture de Jules Verne mais qui se termine en un véritable pétard mouillé. Exit, l'aventure grandiose et spectaculaire, nous sommes face à un film où les effets spéciaux et les décors restent minimalistes tout comme la qualité du scénario (la quête d'un père pour retrouvé son fils) et du talent des acteurs. L'ennui pointe alors rapidement le bout de son nez comme vous pouvez le deviner; c'est lent, pas franchement attirant et loin d'être inoubliable même pour les enfants.
En 1907, pour partir à la recherche de son fils disparu en Arctique, un puissant industriel décide d'embarquer dans un ballon dirigeable, en compagnie du capitaine de celui-ci et d'un savant. "The Island at the Top of the World" est un film d'aventure gentillet (production Disney oblige) qui bénéficie d'un côté exploration rétro à la Jules Verne. Les (nombreux) effets visuels n'ont cependant pas toujours bien vieilli, et semblent parfois datés (certaines images semblent sorties des 50's). Néanmoins, l'ensemble demeure sympathique, les idées sont amusantes, et l'on apprécie particulièrement Jacques Marin en franchouillard haut-en-couleur.
J'ai découvert l'existence de l'Île sur le toit du monde dans un livre sur les effets spéciaux. C'était visiblement un film d'aventures à la Jules Verne. Donc, ça m'a aussitôt vivement motivé, d'autant plus qu'il était produit par Disney, à une époque certes peu confortable et reluisante pour la firme mais où on trouvait des oeuvres nettement plus intéressantes par rapport à ce que Disney propose actuellement.
Le film a été réalisé par Robert Stevenson. Un cinéaste tombé dans l'oubli, mais qui a pourtant signé de nombreux films produit par Disney, devenus cultes, comme le Fantôme de Barbe Noire, l'Apprentie Sorcière, Un amour de Coccinelle, mais aussi et surtout le ô combien célèbre Mary Poppins.
Niveau casting, aucune star en vue. Il n'y a seulement que deux acteurs que je connais : Mako (Conan le Barbare, Conan le Destructeur, Highlander 3) et Jacques Marin que vous connaissez tous pour avoir joué l'épicier dans le premier volet de la Septième Compagnie... et qui a aussi était la voix française du Shérif de Nottingham dans le Robin des Bois de Disney.
Il faut le reconnaître, L'Île sur le toit du monde accuse le poids des années, notamment au niveau des effets spéciaux. Les plans composites sont très voyants et les peintures sur verre, servant à habiller les décors, auraient mérités d'être plus soignées. Mais le film reste bien divertissant et dépaysant. C'est un bon film d'aventures old school à la Jules Verne. Du bon vieux cinéma d'aventures comme on n'en fait plus. La musique de Maurice Jarre est agréable à défaut d'être marquante. L'aventure est entraînante et les personnages attachants. Mais pour une fois, je ne serais pas contre l'idée d'un remake, ce qui devrait se produire vu la manie de Disney de faire des remakes de ses propres oeuvres. Dans un tel cas, j'aimerais que dans le remake, on passe plus de temps dans le village des vikings, le méchant soit plus travaillé et l'histoire un peu plus riche.
Peut être qu'il fallait voir ce film à sa sortie mais 30 ans après, il a terriblement vieillit ce qui est normal pour les effets spéciaux mais là on atteint certains points ou le film donne envie de sourire devant certaines situations ( l'attaque des orques épaulard), on n'oubliera pas certains tics à la Disney ( l'animal censé faire rire) toujours un peu énervant.Il n'en reste pas moins un divertissement sympathique.
Un film d'aventure signé Disney dans la veine des adaptations des récits style Jules Verne des voyages extraordinaires presque tardif dans son genre 1974 avec un réalisateur expérimenté R Stevenson (1905-86). Un groupe d'explorateur est dans la recherche du fils d'un potentat parfois arrogant avec sa dose de voyages, de découvertes, de romance, de péripéties et de bravoure. Le style est un peu naïf, un humour présent mais restant limité, des images pas formidables mais du fait que l'on est en arctique aussi le tout a un peu vieilli mais pour les amateurs de voyages extraordinaires de bon ton sans trop de manichéismespoiler: la crainte du "sorcier" et de la population d'être pourri par des envahisseurs est terriblement légitime et sans préjugé de l'ancienneté cela le fait très bien.
Un peu vieillot et très typé, ce film a un air suranné - décors peints, peu d'effets spéciaux, dialogues très années 70/80. Néanmoins, le scénario est sympa, certaines images sont très belles et on se prend à cette histoire un peu étrange qui fait penser à Jules Vernes.
Exellent film, de l' action, remplie d' aventure bref on ne s' ennui pas et ce film montre d' une façon réaliste la vie des vikings, qui à l' éqpoque avait déjà une civilisation, langue, culture, et qui avaient deja dévellopé des moyens de navigation très perfectionnés ainsi que la roue solaire ( découverte des saisons ) et ils ont découverts l'amérique bien avant christophe colomb ne l' oubions pas ou sachez le. Ce peuple était à l' époque déjà bien + avancé que certains autres aujourd' hui qui découvrent seulement l'agriculture et les vikings ont réussis a survivre dans les territoires européens les plus reculés de l'Europe ou il fait le plus froid donc un manque d' intelligence ou réflexion leur aurait été fatale, c' est bien plus facil de se bronzer dans les pays chaud et d' ailleur cette fois-ci aucune civilisation ou quoi n' a été trouvée et d'ailleur elle a commencée il y a 300 ans. Pendant la période qui s'étend de l'an 800 à l'an 1050 après J.C., les peuples du Nord firent leur entrée spectaculaire sur la scène européenne. Ils la prirent d'assaut, terrorisant des sociétés déjà bien organisées qui étaient, certes, habituées à la guerre, mais non à la foudroyante tactique des Vikings. Cependant, les rapports entre la Scandinavie et le reste de l'Europe n'avaient rien de nouveau. Les fouilles archéologiques montrent que le commerce et les contacts culturels remontent à plusieurs millénaires avant J.-C. Néanmoins, les pays nordiques constituaient un avant-poste éloigné ne présentant qu'un intérêt politique et économique limité pour le reste de l'Europe. Des recherches qui seront mises a jour d' ici quelques décenies prouveront que des ossements retrouvés dans l' Indo Europe ( l'Europe d'origine s' étendait en Asie) sont plus vieux que celle qu' on appel berceau du monde retrouvé en éthiopie , ce qui prouverait que chaque peuple est né chacun sur un continent et non tous au même point ou alors une énorme évolution se serait déroulée en allant vers le nord.
Cela commence plutôt bien avec une rapide entrée dans le vif du sujet. On imagine que la suite va être riche en rebondissements même si les premières transparences inquiètent un peu par leur piètre qualité. On déchante très vite une fois qu’on a suivi la première péripétie principale et qu’on arrive en Arctique puis sur la fameuse île. Décors en carton-pâte qui piquent les yeux, transparences catastrophiques, situations ubuesques, rebondissements téléphonés font qu’il est impossible de se laisser vraiment embarquer dans cette histoire invraisemblable et plutôt ennuyeuse. Certains évoquent Jules Verne ou HG Wells, euh oui peut-être vaguement, mais la mise en image est tellement infâme qu’on ne parvient pas à marcher une seule seconde. On est quand même en 1974 (donc à trois ans de « La Guerre des étoiles ») et, visuellement, ce qu’on nous propose date au mieux des années 50. Les icebergs en polystyrène, les volcans en plastique, la lave jaune, les orques en plastique, tout y passe dans cette production qui (et c’est bien le pire) se prend très au sérieux. Avec son pitch qui tient sur une feuille de papier à cigarette, son interprétation très discutable et ses effets spéciaux ridicules, on assiste, non pas à une série B qui joue la débrouille et qui s’assume, mais à un vrai nanar qui se prend pour « Voyage au centre de la Terre ». On finit par en sourire de désespoir (certains plans valent quand même leur pesant de cacahuète, notamment celui des personnages en accéléré poursuivis par la lave) mais c’est une maigre consolation. Le plus ennuyeux là-dedans reste quand même la signature du studio Disney… qui finira par se remettre en question dix ans plus tard.
Enfant le film m'avait impressionné. Aujourd'hui il apparaît désuet même si l'idée de départ est excellente. Les effets speciaux sont assez pauvres et les décors très kitsch. Dommage que le scénario soit trop simpliste. On passe quand même un bon moment grâce aux comédiens (le français Jacques Marin très drôle) et surtout la remarquable partition musicale de Maurice Jarre.
Un film d'aventures qu'on pourrait croire adapté de Jules Verne. On pense à Cinq semaines en ballon ou au Voyage au centre de la Terre, avec des personnages hauts en couleur mais caricaturaux et des péripéties rocambolesques. On peut regretter cependant un scénario très basique et des effets spéciaux fort médiocres. C'est kitsch, mais dépaysant et divertissant.
En 1968, les studios Walt Disney lance la production d'un film d'aventure, très inspiré du monde de Jules Verne : "L'Ile sur le toit du monde" (The Island at the top of the World). Réalisé par Robert Stevenson entre 1972 et 1974, l'histoire est l'adaptation partielle du roman de Ian Cameron "The Lost Ones". Celle-ci raconte les péripéties de Sir Anthony Ross pour retrouver son fils disparu en Arctique, avec l'aide de l'archéologue Ivarsson et du capitaine Brieux. Le groupe sera rejoint par l'esquimau Oomiak, dernier témoin et ami du fils. A bord du dirigeable révolutionnaire Hypérion, l'équipage atteint enfin une île inconnue.
Originale et divertissant, le film rappel quelques histoires de notre enfance : Voyage au centre de la Terre, Robur le Conquérant ou encore 20 Milles lieux sous les mers. Sans compter Le Monde Perdu. Toutes les ficelles, autant scénaristiques que visuels, s'y retrouvent. Or la réalisation pèche par ses effets spéciaux, déjà dépassés au regard de l'époque, et le scénario souffre d'un manque de dialogues et d'actions. Mais les scènes humoristiques ne manquent pas, heureusement ! On retiendra l'aspect romanesque et romantique d'un film plus ancien.