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    Night Call
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    4,1
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    874 critiques spectateurs

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    119 critiques
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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 25 février 2015
    Excellent interprétation de jake personnage flippant et semi psychopathe sur un scénario intéressant et très bien réaliser
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 25 février 2015
    Une atmosphère sombre et malsaine dominée par cet anti-heros à la recherche du scoop et de l'exclusivité même dans des situations vraiment critiques! Une mise en scène soignée et rythmée et une interprétation superbe de Jake Gyllenhaal.
    robinou20
    robinou20

    2 abonnés 199 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 février 2015
    J'ai bien aimé ce film qui se laisse voir et s'admire pour la performance de J. Gyllenhaal. Incroyable, il fait froid dans le dos et confirme qu'il fait partie de mes acteurs préférés devant le surcoté mais doué B. Cooper. Néanmoins, le scénario est assez prévisible.
    Dee D
    Dee D

    10 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 février 2015
    Une morale inquiétante mais un film intriguant avec pleins de suspens. L'acteur est au top... Nous avons été tenu grâce à cette ambiance "dark" et humoriste à la fois pour la folie du personnage.. Bref super !
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 23 février 2015
    Jake G. est super dans ce rôle, ça c'est sûr. Jeux d'acteur impressionnant ! Sinon l'histoire est intéressante sans plus. Je n'ai pas passé un mauvais moment, je ne me suis pas ennuyée c'est l'essentiel ! Mais ce n'est pas non plus un scénario passionnant.
    defleppard
    defleppard

    393 abonnés 3 393 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 février 2015
    Dialogues pointus et pertinents. Intrigue de qualité, cynisme du personnage principal à la hauteur de cet opus. Je conseille. A voir sans attendre. 3 étoiles et demie.
    mehdi2610
    mehdi2610

    35 abonnés 925 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 février 2015
    Même si l'on cerne très vite les personnages et le scénario, il règne une ambiance particulière dans ce film où Jake Gyllenhall excelle comme toujours, mais cette fois ci dans un rôle profond et précis. Une vraie réussite.
    DeSaintJean
    DeSaintJean

    4 abonnés 431 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 février 2015
    Très stylisé et légèrement auteurisant sans être pompant ou compliqué. Les scènes de dialogues sont fascinants. Les enjeux médiatico-sanguignolant de ce métier méconnu sont saisissants. L'action demeure soutenue. L'interprétation est magistrale. Brillant.
    Guillaume
    Guillaume

    115 abonnés 1 583 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 février 2015
    Intéressante histoire, dénonçant une dérive du système américain, la force de l'image comme indigeste nourriture jetée en pâture aux personnes en carence de recul sur le monde qui l'entoure. L’ensemble manque parfois de finesse, mais le message en devient particulièrement compréhensible pour le spectateur lambda.
    A noter une performance remarquable de l'acteur principal, qui m'était jusqu'alors particulièrement inconnu.
    Jadeliro
    Jadeliro

    24 abonnés 750 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 février 2015
    Pour son premier long-métrage, Dan Gilroy signe un thriller captivant sur le cynisme des médias, manipulateurs sans scrupule et sans morale pour faire de l’audimat. Plus de place à l’investigation, seul compte la primeur du scoop à sensation, la banalisation du mal par le déferlement d’images « chocs ». Jake Gyllenhaal incarne ainsi magistralement un « charognard de l’info», effroyable quand il déblatère ses théories sur le management et les conditions de la réussite. Car Night Call est plus qu’une féroce condamnation de la perversité de la télévision, c’est un aussi un subtil pamphlet sur l’amoralité de la société américaine dont les principaux moteurs ne sont plus que le pouvoir et l’argent. Dans un Los Angeles nocturne magnifiquement filmé, cadre d’une époustouflante poursuite en voitures qui fera certainement référence dans le genre, Dan Gilroy nous emporte entre fascination pour l’intensité des scènes d’action, et stupéfaction pour la déchéance morale des principaux personnages. Night Call s'impose comme un polar contemporain de référence, audacieux et virtuose.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 février 2015
    souvent quand je regarde un film qui retrace l'histoire d'un personnage hautement antipathique je m'ennuie au plus haut point, n'arrivant pas à me raccrocher à quoi que ce soit pour donner de l'intérêt à l'oeuvre.

    C'était sans compter sur le talent du réalisateur de Nightcall qui, dès l'instant où le héros prends sa caméra, réussit à nous faire oublier toutes les répliques salées et le calculs diaboliques qu'il fait pour grappiller toujours plus de temps pour être le premier arrivé sur les sinistres, et d'argent vendre ses scoops à une chaîne locale. Et là le stress commence, on est plongé dans l'écran et on vis les scènes les plus intenses à la première personne bien qu'elles ne soient pas filmées ainsi, puis on se rend compte que deux heures sont passées quand le générique apparait.

    On sort du cinéma avec le goût amer que nous laisse la fin du film lié à la sensation d'avoir vu un chef d'oeuvre, ce que ce film est incontestablement
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 20 février 2015
    Je ne partage pas l'euphorie générale de mes amis, je ne dirais pas que l'année 2015 est pliée maintenant que "Nightcall" est entré dans le game, ce qui n'empêche que j'ai beaucoup aimé. Je dois dire que j'étais dedans dès les premières images et jusqu'au bout de l'intrigue, bien rythmée et dont la progression se sent. Il faut dire que le déroulement de l'histoire est très académique (ce qui n'est pas forcément un défaut), on a notamment le droit au cliché très cool du train-train quotidien en accéléré, sur fond de musique entraînante, gimmick hérité de "Un Jour Sans Fin" et vu depuis dans je ne sais quels "Lord of War", "Breaking Bad" et autres "Loup de Wall Street", preuve qu'il n'y a pas que du mauvais dans les clichés puisque ces œuvres sont géniales. C'est plutôt par l'univers qu'il créé que le film sait se montrer original. C'est une plongée aussi fascinante que dérangeante dans un tableau de L.A. de nuit qui n'est pas sans rappeler celui dépeint dans "Collatéral" et autres bébés de Michael Mann (le film sait au moins de qui s'inspirer), mais qui cache un milieu régi par le trash, ou la dignité humaine s'écrase face à la recherche de sensations toujours plus fortes. Un milieu absurde qui recherche l'image la plus ignoble mais se refuse à diffuser la moindre grossièreté". Tout en questionnant directement nos rapports aux médias, le film réussit parfaitement à communiquer cette addiction à l'adrénaline et cette progression dans le sensationnalisme. En toute première loge des actions de Lou et en rentrant dans l'intimité du personnage, Gilroy nous place à la fois comme spectateur et comme complice, ça fait mal mais c'est très fort. Le pire étant que comme dans "Gone Girl", même pas besoin de regarder un film pour trouver un milieu et des personnes aussi aliénées par le sensationnalisme, il suffit de regarder le journal TV. Certains diront que le film gâche son message en choisissant comme protagoniste un type complètement fou, la critique sociale s'annulant toute seule. Je dirais que d'une part Lou n'est pas aussi fou que l'on peut l'entendre, ce n'est qu'un sociopathe comme il en existe tout autour de nous et que s'il en est amené à devenir ce qu'il devient, c'est évidemment un pur produit de sa société: nourrit aux médias à sensations, à la vulgarisation de la violence à la TV et qui veut sa part du gâteau comme tout le monde. Et puis c'est la seule explication que j'ai trouvé à la citation qui ouvre le film Il n'est pas nécessaire d'être Hannibal Lecter pour franchir cette ligne, Lou a simplement un sens de l'éthique particulièrement élastique. Comme à son habitude, Jake Gyllenhaal s'abandonne à son personnage. Pas seulement son jeu mais aussi sa perte de poids Christianbalesque et les yeux exorbités qu'il en retire, lui donnant l'allure d'une bestiole nocturne dont les yeux se seraient adapté à l'obscurité style Gollum, ce qui va de paire avec les lunettes de soleil qu'il arbore à chaque rayon de soleil. Quelques symboles de ce genre parsèment la réalisation, ni bêtes ni encombrants. Le film est plutôt doué pour ce qui est de montrer et non de dire. Je dirais que le seul bémol, qui n'en est pas vraiment un, vient de mes attentes de spectateur (assez paradoxal, au vu du discours du film). Comme je l'ai dit le déroulement de l'intrigue a tout d'un "Lord of War", "Breaking Bad", et autres portraits de criminels: ça commence avec un protagoniste naïf et novice en la matière, puis celui-ci grimpe les échelons, acquiert la connaissance, la technique, le matériel et la main d'oeuvre, est confronté à son principal rival dont il vient à bout pour finalement bâtir son empire et dominer le marché...sauf que là où 99% des histoires de criminels se concluent sur la chute de ceux-ci du fait de leur réussite, il se trouve qu'à la conclusion de "Nightcall" son antihéros en est à l'apogée de sa réussite, et n'a d'ailleurs rien perdu du tout pour en arriver là. Ce n'est pas un défaut, c'est simplement différent, et ça conclue correctement le discours cynique du film, il faut dire que "Nightcall" se concentre davantage sur son message que sur son personnage. Mais du coup j'ai quelque part l'impression de rester sur ma faim, comme si je n'avais vu un des films que j'ai cité qu'aux deux tiers. Tout ça me rappelle que comme disait je-sais-plus-qui: ce qui détermine une happy end, c'est l'endroit où l'on choisit de couper.
    Frédéric M
    Frédéric M

    19 abonnés 323 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 février 2015
    Une vraie pépite ce film, avec un Jake Gyllenhaal métamorphosé et dément. Du suspense, une belle photographie, le pied total. Dan Gilroy a parfaitement réussi ses premiers pas comme réalisateur. À voir absolument.
    Matthieu Srmlt
    Matthieu Srmlt

    4 abonnés 16 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 février 2015
    Jake Gillenhal devient un monstre ! Il est encore une fois excellent et inquiétant dans ce film.
    Pauline G.
    Pauline G.

    40 abonnés 561 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 février 2015
    Le côté dépassé de Nightcrawler, bien représenté par cette affiche d'ailleurs, l'empêche de se hisser au rang d'incontournable. Pour autant, Jake Gyllenhaal en bonhomme repoussant et dénué de morale joue bien le jeu de la critique sociale acerbe à l'encontre d'un système informationnel qui semble s'être perdu dans les méandres du commerce au détriment de son utilité première, celle de la transmission d'informations pure. Et, à l'image de ce qu'il dénonce, il manque à ce film comme à son acteur principal la subtilité humaine qui l'aurait vraiment rendu crédible. En insistant autant sur le point qui fait mal, on finit par se dire que c'est trop grossier pour être réaliste, à l'image de pas mal de productions américaines ces derniers temps, qui semblent chercher à dénoncer le "too much" qui les baigne tout en se servant de lui, comme si les réalisateurs ne connaissaient finalement pas d'autres mots pour faire passer leur message. Mais entre victime et bourreau, il faut choisir. Dommage, l'intention de départ était bonne. Au final, Nightcrawler se laisse regarder pour son intensité plus que pour son originalité, en attendant l'éclosion d'un nouveau langage qui s'engagerait concrètement à l'encontre de ce qu'il dénonce.
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