Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
"Mouton" désarçonne, décevant avec méthode les attentes. Film étonnant donc, qui dédaigne les pistes qu'il a lui-même lancées au profit d'une évocation humaine et maritime oscillant entre quotidienneté, carnaval et mélancolie. Fondamentalement, un film du moment pur, qui s'interdit de rien construire.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Sujet rugueux, caméra neutre, corps irréguliers plantés au milieu de nulle part…Un étonnant premier film qui n’est pas sans rappeler Bruno Dumont.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Olivier Séguret
Ce film, le premier long métrage de Marianne Pistonne et Gilles Deroo, n’est pas simplement très beau, il est aussi très fort. Avec quelques choix simples mais extraordinairement bien tenus, les cinéastes parviennent à fabriquer un ton, une facture, auxquels on ne connaît pas d’équivalent.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir le site de Studio Ciné Live.
Télérama
par Samuel Douhaire
(...) le pseudo-documentaire devient une poignante chronique du manque.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Adrien Dénouette
Vacillant dans l’auto parodie, le film tend un miroir à ses propres géniteurs et flirte avec les écueils d’un cinéma guetté par la prétention snobinarde. Dommage, surtout quand on se remémore, un peu amer, le magnétisme discret de la première heure, juste avant que "Mouton" ne cède à son instinct grégaire : la tentation casse-gueule du dispositif en forme de "bonne idée".
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Un film âpre, rugueux, exigeant, dans la droite ligne du cinéma d’un Bruno Dumont.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Positif
par Nicolas Bauche
Portrait d'un jeune homme à deux doigts de la marginalité, "Mouton" est aussi âpre et ambitieux qu'il tire en longueur. Mais la deuxième partie du film, chapitrée et très littéraire, laisse sceptique, d'autant que l'ensemble ne trouve pas une durée lui permettant d'échapper à l'ennui.
Transfuge
par Louis Séguin
"Mouton" est finalement plus près des misanthropes autrichiens (Haneke et Seidl) qu'autre chose. Le film est à la fois animal et trop conscient de lui-même, sacrifiant le personnage de Mouton, sans le moindre état d'âme, à ses expérimentations formelles.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Tableau d'un quotidien ordinaire en bord de mer, avec parfois trop d'ellipses, d'autres fois des situations qui s'appesantissent trop.
Première
par Damien Leblanc
Si la volonté d’interroger l’absurde dénuement de l’existence est louable, l’expérience ne provoque qu’un trouble limité et ne s’affranchit pas des sensations qu’ont déjà su capter Bruno Dumont ou Maurice Pialat.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
La haute ambition qui porte "Mouton" se heurte à la naïveté des procédés employés : le filmage de faux documentaire évoque les heures les plus sombres de l’émission Strip-tease et substitue à l’horizon littéraire de l’œuvre un suspense flirtant maladroitement avec un sensationnalisme de mauvais reportage.
Le Monde
"Mouton" désarçonne, décevant avec méthode les attentes. Film étonnant donc, qui dédaigne les pistes qu'il a lui-même lancées au profit d'une évocation humaine et maritime oscillant entre quotidienneté, carnaval et mélancolie. Fondamentalement, un film du moment pur, qui s'interdit de rien construire.
Les Inrockuptibles
Sujet rugueux, caméra neutre, corps irréguliers plantés au milieu de nulle part…Un étonnant premier film qui n’est pas sans rappeler Bruno Dumont.
Libération
Ce film, le premier long métrage de Marianne Pistonne et Gilles Deroo, n’est pas simplement très beau, il est aussi très fort. Avec quelques choix simples mais extraordinairement bien tenus, les cinéastes parviennent à fabriquer un ton, une facture, auxquels on ne connaît pas d’équivalent.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Télérama
(...) le pseudo-documentaire devient une poignante chronique du manque.
Critikat.com
Vacillant dans l’auto parodie, le film tend un miroir à ses propres géniteurs et flirte avec les écueils d’un cinéma guetté par la prétention snobinarde. Dommage, surtout quand on se remémore, un peu amer, le magnétisme discret de la première heure, juste avant que "Mouton" ne cède à son instinct grégaire : la tentation casse-gueule du dispositif en forme de "bonne idée".
Franceinfo Culture
Un film âpre, rugueux, exigeant, dans la droite ligne du cinéma d’un Bruno Dumont.
Positif
Portrait d'un jeune homme à deux doigts de la marginalité, "Mouton" est aussi âpre et ambitieux qu'il tire en longueur. Mais la deuxième partie du film, chapitrée et très littéraire, laisse sceptique, d'autant que l'ensemble ne trouve pas une durée lui permettant d'échapper à l'ennui.
Transfuge
"Mouton" est finalement plus près des misanthropes autrichiens (Haneke et Seidl) qu'autre chose. Le film est à la fois animal et trop conscient de lui-même, sacrifiant le personnage de Mouton, sans le moindre état d'âme, à ses expérimentations formelles.
L'Humanité
Tableau d'un quotidien ordinaire en bord de mer, avec parfois trop d'ellipses, d'autres fois des situations qui s'appesantissent trop.
Première
Si la volonté d’interroger l’absurde dénuement de l’existence est louable, l’expérience ne provoque qu’un trouble limité et ne s’affranchit pas des sensations qu’ont déjà su capter Bruno Dumont ou Maurice Pialat.
Cahiers du Cinéma
La haute ambition qui porte "Mouton" se heurte à la naïveté des procédés employés : le filmage de faux documentaire évoque les heures les plus sombres de l’émission Strip-tease et substitue à l’horizon littéraire de l’œuvre un suspense flirtant maladroitement avec un sensationnalisme de mauvais reportage.