Métabolisme (ou Quand le soir tombe sur Bucarest) : Critique presse
Métabolisme (ou Quand le soir tombe sur Bucarest)
Note moyenne
3,6
11 titres de presse
Cahiers du Cinéma
Critikat.com
Le Monde
Libération
Transfuge
TéléCinéObs
Les Fiches du Cinéma
Positif
Première
Studio Ciné Live
Télérama
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Mathieu Macheret
Corneliu Porumboiu s’est discrètement imposé comme le cinéaste le plus original de la nouvelle vague roumaine. Quand d’autres se sont occupés à donner des gages de sérieux et d’autorité, il a su éviter la dictature du sujet et les démonstrations de force en changeant de braquet à chaque film, quitte à paraître insaisissable.
Critikat.com
par Adrien Dénouette
Rares sont les auteurs en activité capable d’opérer la dialyse de leur travail avec humour et subtilité, sans verser dans la complaisance et la fausse modestie.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Un voyage ultime vers l'envers du décor, pourtant entaché de suspicion aussitôt que rendu visible. Quel curieux cinéaste que ce Porumboiu !
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Julien Gester
Une farce au comique si insidieux et coupant qu’il tétanise le rire plutôt qu’il ne le fait éclater.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Transfuge
par Frédéric Mercier
"Métabolisme ou quand le soir tombe sur Bucarest" est d'abord une plongée dans les entrailles du cinéma. Porumboiu réussit le plus saisissant portrait contemporain qui soit : celui d'une nation, entre deux temps, en train de se réaliser (...). Un pays comme un cinéma en état transitoire.
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Derrière son austérité en trompe l’œil et un goût pour le faux anecdotique, le cinéaste déploie, au contraire de son héros, une force narrative et une conviction formelle qui finissent par passionner.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Les Fiches du Cinéma
par Pierre-Julien Marest
“Métabolisme” est un étrange exercice de style laborieux, évocation de la création artistique et tentative de faire un cinéma moderne avec les débris d'œuvres anciennes.
Positif
par Pierre Eisenreich
Porumbiou dépeint un marivaudage où la sexualité partagée et consentie fait partie du plaisir de la découverte professionnelle de l'un et l'autre (...) En bon cinéaste, il aura falsifié le montage médical et éradiqué de l'écran la pathologie.
Première
par Damien Leblanc
[...] cette démonstration théorique s'avère d'une sécheresse inédite dans la carrière du cinéaste roumain, qui nous avait habitués à des personnages plus vibrants et farfelus.
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Samuel Douhaire
Le réalisateur prend un plaisir masochiste à souligner le décalage entre les ambitions artistiques et la réalité, triviale et forcément frustrante, de la production. [...] la dimension hautement théorique de son cinéma peine ici à s'incarner dans les personnages et leurs doutes. La sécheresse guette...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
Corneliu Porumboiu s’est discrètement imposé comme le cinéaste le plus original de la nouvelle vague roumaine. Quand d’autres se sont occupés à donner des gages de sérieux et d’autorité, il a su éviter la dictature du sujet et les démonstrations de force en changeant de braquet à chaque film, quitte à paraître insaisissable.
Critikat.com
Rares sont les auteurs en activité capable d’opérer la dialyse de leur travail avec humour et subtilité, sans verser dans la complaisance et la fausse modestie.
Le Monde
Un voyage ultime vers l'envers du décor, pourtant entaché de suspicion aussitôt que rendu visible. Quel curieux cinéaste que ce Porumboiu !
Libération
Une farce au comique si insidieux et coupant qu’il tétanise le rire plutôt qu’il ne le fait éclater.
Transfuge
"Métabolisme ou quand le soir tombe sur Bucarest" est d'abord une plongée dans les entrailles du cinéma. Porumboiu réussit le plus saisissant portrait contemporain qui soit : celui d'une nation, entre deux temps, en train de se réaliser (...). Un pays comme un cinéma en état transitoire.
TéléCinéObs
Derrière son austérité en trompe l’œil et un goût pour le faux anecdotique, le cinéaste déploie, au contraire de son héros, une force narrative et une conviction formelle qui finissent par passionner.
Les Fiches du Cinéma
“Métabolisme” est un étrange exercice de style laborieux, évocation de la création artistique et tentative de faire un cinéma moderne avec les débris d'œuvres anciennes.
Positif
Porumbiou dépeint un marivaudage où la sexualité partagée et consentie fait partie du plaisir de la découverte professionnelle de l'un et l'autre (...) En bon cinéaste, il aura falsifié le montage médical et éradiqué de l'écran la pathologie.
Première
[...] cette démonstration théorique s'avère d'une sécheresse inédite dans la carrière du cinéaste roumain, qui nous avait habitués à des personnages plus vibrants et farfelus.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Télérama
Le réalisateur prend un plaisir masochiste à souligner le décalage entre les ambitions artistiques et la réalité, triviale et forcément frustrante, de la production. [...] la dimension hautement théorique de son cinéma peine ici à s'incarner dans les personnages et leurs doutes. La sécheresse guette...