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Ciné2909
69 abonnés
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3,0
Publiée le 1 août 2014
Ce qu’on apprécie tout particulièrement dans Les drôles de poissons-chats, ce sont ses personnages hautement authentiques. Qu’il s’agisse du lien Mère / Fille qui se tisse entre Ximena Ayala & Lisa Owen ou encore de la solidarité et du courage dont font preuve les enfants ; on s’attache véritablement à eux. Surtout la réalisatrice Claudia Sainte-Luce a le bon gout de ne pas transformer son film en un mélodrame cherchant absolument à tirer à tout prix les larmes du spectateur. Il faut dire que l’histoire qui est présentée ici lui tient à cœur puisqu’il s’agit tout simplement de la sienne. On tient là un film mexicain assez discret mais qui constitue une jolie découverte en nous réservant quelques beaux moments d’émotion.
Je me suis fait avoir sur le packaging, il ne s'agit pas d'un road movie, ni d'un film comédie dramatique comme annoncé et ni d'une aventure humaine. Les drôles de poissons chats ne commencent jamais réellement d'ailleurs, les scènes se ressemblent un peu toutes, il y a juste un montée dans l'affectif entre la jeune fille et les enfants mais rien de plus. Je ne recommande pas !
Une belle histoire touchante dans laquelle on meurt encore du VIH. Aucun jugement n'est porté sur les personnages. Chacun vit et s'inquiète avec pudeur, mais sans complaisance. Les enfants ne se font pas de cadeaux, ils font des remarques, questionnent aussi sans détour cette étrange jeune femme rencontrée par leur mère au cours d'une de ses nombreuses hospitalisations. Elle ne se dérobe pas, mais ne répond qu'à minima. L'infraverbal occupe une place non négligeable dans ce film, personne n'a la bonne réponse, chacun bricole comme il peut avec ce qu'il est et ce qu'il souhaite. J'ai aimé aussi le bruit du moteur de la coccinelle. Voilà la poésie dont sont dépourvues les voitures électriques aujourd'hui. Une jolie fable sur la fin de vie, l'éducation déléguée à la soeur ainée et une belle esthétique dans ce film.
Malheureusement je n'ai pas réussi à entrer dans l'univers de ce film !! Je n'ai rien à lui reprocher réellement, c'est juste que ça ne décolle jamais vraiment !! Les scènes se suivent et se ressemblent et voilà tout !! Certaines sont émouvantes, d'autres drôles et d'autres inintéressantes à souhait et je me suis ennuyé pendant 1h30 !! Rien de mémorable !
Autour d’une mère atteinte du sida, une famille tente de résister, quand une jeune fille arrive par bonheur à leur procurer le lien qui leur faisait défaut. C’est gentiment raconté par une réalisatrice très proche de ses personnages à qui elle confère toujours un trait de sympathie. A l’image de ce film qui ne chamboulera pas l’existence du 7 ème art, ajoutant à son registre, une nouvelle version de la mère tutélaire. Pour en savoir plus
Une jeune femme très isolée, orpheline, rencontre à l’hôpital, alors qu’elle se fait opérer de l’appendicite, une mère de famille atteinte du SIDA, pourtant rayonnante d’amour à partager. Celle-ci a 4 enfants de 3 pères différents et les élève seule. Cette famille un peu bohème va faire de la place à la jeune femme et le film raconte comment ils s’apprivoisent les uns les autres.
Le film est assez morcelé, ouvert, avec peu de dialogues ou de grands discours. Cela reflète l’ouverture de cette famille, l’absence de préjugés, sa capacité de donner de l’amour sans condition. Le pivot en est cette mère dont la vie va finir par s’éteindre.
trop triste...Même si les personnages sont sincères et authentiques, même si la situation est émouvante et réelle, je ne suis pas du tout entrée dans l'action.