Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Positif
par Pascal Binétury
Bron trouve la juste distance, notamment par l'adjonction d'une très ingénieuse voix off grâce à laquelle il s'adresse mentalement à son interlocuteur, puis par un sens aigu du détail révélateur.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
Des moments rares, saisis par un réalisateur qui, jamais, ne se transforme en donneur de leçon, laissant le spectateur se forger son opinion.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Vincent Ostria
M. Blocher pense sans doute que ce film ajoute quelque chose à sa gloire, alors qu'il expose brillamment le danger que l'ère financière représente pour la démocratie.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Arnaud Schwartz
Poussant le genre documentaire dans ses retranchements, le cinéaste joue de l'alternance d'images captées dans le réel ou tirées d'archives avec des instants plus "élaborés" (...).
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Franck Nouchi
Par delà l'homme public dont le film dresse un portrait passionnant, on ne peut s'empêcher de s'interroger sur l'homme Blocher. Il est non seulement un sacré animal politique, mais c'est aussi un acteur-né.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Cyrille Latour
Éminemment cinématographique, parfois ambigu, le documentaire témoigne de ce mélange de fascination et de répulsion qu'inspirent les monstres politiques.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
En scrutant la séduction du diable, non sans crainte et tremblement que son film soit contaminé à son insu, Jean-Stéphane Bron réussit à fusionner pertinence politique et cinématographique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par La Rédaction
Un tribun suisse habile qui décline tout l'art de séduire les foules. Et les caméras.
Première
par Damien Leblanc
L'idée, très réussie, consiste à transformer le documentaire en un film de fantômes inquiétant et à offrir une brillante réflexion sur la santé chancelante des démocraties européennes.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Mathilde Blottière
Filmer l'ennemi sans prendre sa caméra pour un fusil. Sans lui river son clou à l'aide d'un montage ironique. Sans s'assurer le dernier mot à travers la voix off du commentaire. Comment faire ? C'est l'une des questions, passionnantes, qui portent ce portrait documentaire du Suisse Christoph Blocher.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Mathieu Macheret
Jean-Stéphane Bron esquive la confrontation que sa sensibilité (disons « de gauche ») impliquait et se rabat sur l’aura trouble d’un être approché silencieusement, de l’extérieur (…). Ce renoncement déçoit et semble condamner le film à faire du remplissage. C’est pourtant autre chose qui commence avec ces plans résiduels (…) Peu à peu, une inquiétante étrangeté émane de ce quotidien indifférent.
Ecran Large
par Christophe Foltzer
Bras de fer passionnant entre un réalisateur et son sujet, le film est malheureusement parcouru de plusieurs temps morts.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Florence Ben Sadoun
En retraçant à travers des archives le passé trouble de son sujet, Bron réussit à nous tenir en haleine et en respect sans diaboliser à tout prix, mais en soulignant la fragilité de la démocratie.
TéléCinéObs
par Guillaume Loison
Seulement voilà, Blocher verrouille si bien sa communication qu'il laisse des miettes à Bron, lui-même pris au piège de sa posture d'observateur muet - mais qui cède paradoxalement à un formalisme grandiloquent de tragédie politique.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
aVoir-aLire.com
par Virginie Morisson
Comment faire le portrait d’un homme dont on ne partage ni les idées, ni les méthodes, ni les convictions ? Pari à moitié tenu.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Frédéric Caillard
Blocher s’offre une image clémente à bon compte, et l’on a l’impression tenace que le vieil ogre politique n’a fait qu’une bouchée du jeune réalisateur de gauche plein de bonnes intentions.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Pour des profanes, l’effroi du réalisateur ne s’explique guère quand on voit son personnage, ce qui rend le film bancale, voire hermétique.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Positif
Bron trouve la juste distance, notamment par l'adjonction d'une très ingénieuse voix off grâce à laquelle il s'adresse mentalement à son interlocuteur, puis par un sens aigu du détail révélateur.
Franceinfo Culture
Des moments rares, saisis par un réalisateur qui, jamais, ne se transforme en donneur de leçon, laissant le spectateur se forger son opinion.
L'Humanité
M. Blocher pense sans doute que ce film ajoute quelque chose à sa gloire, alors qu'il expose brillamment le danger que l'ère financière représente pour la démocratie.
La Croix
Poussant le genre documentaire dans ses retranchements, le cinéaste joue de l'alternance d'images captées dans le réel ou tirées d'archives avec des instants plus "élaborés" (...).
Le Monde
Par delà l'homme public dont le film dresse un portrait passionnant, on ne peut s'empêcher de s'interroger sur l'homme Blocher. Il est non seulement un sacré animal politique, mais c'est aussi un acteur-né.
Les Fiches du Cinéma
Éminemment cinématographique, parfois ambigu, le documentaire témoigne de ce mélange de fascination et de répulsion qu'inspirent les monstres politiques.
Les Inrockuptibles
En scrutant la séduction du diable, non sans crainte et tremblement que son film soit contaminé à son insu, Jean-Stéphane Bron réussit à fusionner pertinence politique et cinématographique.
Ouest France
Un tribun suisse habile qui décline tout l'art de séduire les foules. Et les caméras.
Première
L'idée, très réussie, consiste à transformer le documentaire en un film de fantômes inquiétant et à offrir une brillante réflexion sur la santé chancelante des démocraties européennes.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Télérama
Filmer l'ennemi sans prendre sa caméra pour un fusil. Sans lui river son clou à l'aide d'un montage ironique. Sans s'assurer le dernier mot à travers la voix off du commentaire. Comment faire ? C'est l'une des questions, passionnantes, qui portent ce portrait documentaire du Suisse Christoph Blocher.
Cahiers du Cinéma
Jean-Stéphane Bron esquive la confrontation que sa sensibilité (disons « de gauche ») impliquait et se rabat sur l’aura trouble d’un être approché silencieusement, de l’extérieur (…). Ce renoncement déçoit et semble condamner le film à faire du remplissage. C’est pourtant autre chose qui commence avec ces plans résiduels (…) Peu à peu, une inquiétante étrangeté émane de ce quotidien indifférent.
Ecran Large
Bras de fer passionnant entre un réalisateur et son sujet, le film est malheureusement parcouru de plusieurs temps morts.
Elle
En retraçant à travers des archives le passé trouble de son sujet, Bron réussit à nous tenir en haleine et en respect sans diaboliser à tout prix, mais en soulignant la fragilité de la démocratie.
TéléCinéObs
Seulement voilà, Blocher verrouille si bien sa communication qu'il laisse des miettes à Bron, lui-même pris au piège de sa posture d'observateur muet - mais qui cède paradoxalement à un formalisme grandiloquent de tragédie politique.
aVoir-aLire.com
Comment faire le portrait d’un homme dont on ne partage ni les idées, ni les méthodes, ni les convictions ? Pari à moitié tenu.
Critikat.com
Blocher s’offre une image clémente à bon compte, et l’on a l’impression tenace que le vieil ogre politique n’a fait qu’une bouchée du jeune réalisateur de gauche plein de bonnes intentions.
Le Figaroscope
Pour des profanes, l’effroi du réalisateur ne s’explique guère quand on voit son personnage, ce qui rend le film bancale, voire hermétique.