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    Bird Box
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    3,4
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    430 critiques spectateurs

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    Fred M.
    Fred M.

    46 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 décembre 2018
    J'aimais bien l'idée de départ même si elle ressemblait fortement à celle du film Phénomènes sur la méthode de propagation.

    Le problème du film est qu'il n'y a aucune tension, rien pour nous faire peur. On suit les protagonistes sans s'y attacher.

    Au final, après 2 heures de film, on ne sait toujours pas quelles sont ces créatures et pourquoi elles sont là.

    Bref, un film qui n'apporte rien au genre.
    angnaarsai
    angnaarsai

    3 abonnés 48 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 décembre 2018
    Film ni bon ni mauvais... moyen... pas de réelle surprise malgré un beau casting... on s’attend à tout et on est surpris de rien. Voilà pour moi ce sera trois étoiles pas plus (le jeu des acteurs est bon, la réalisation est bonne mais le scénario n’est pas abouti). C’est dommage l’idée de base est bonne dans le genre fin du monde.
    Neo1972
    Neo1972

    3 abonnés 8 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 22 décembre 2018
    Dommage car cela commence bien ,et puis paf du déjà vu, rien d’original, le film est trop long, bref à regarder en accéléré ou si il pleut le dimanche après un repas trop lourd chez mamie car si on s’endort on a arrive comme même à suivre.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 4 janvier 2019
    Fuyez !!!!!!
    Evidemment en vous cachant bien les yeux!
    Mais quelle bouse. Quelle déception! Le seul point positif dans ce navet est la présence (et non performance) de Sandra Bullock.
    Se cacher la vue et faire autant de choses est impossible, le film n'a aucun sens réaliste. Autant voir PHENOMENES de M. Night Shyamalan. Qui est cent, voir mille fois mieux. BIRD BOX n'est d'ailleurs qu'une pale copie de PHENOMENES.
    BIRD BOX film est autant critiquable qu'irréaliste. Il est tout simplement mauvais. Si vous voulez perdre 2h de votre vie: franchissez le pas, vous ne serez pas déçus. A la limite il peut se regarder au 150 ème degré avec 3 litres de Vodka lors d'une soirée mytho.
    Merci netflix
    JD T.
    JD T.

    4 abonnés 19 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 décembre 2018
    Un excellent petit film a suspens fantastique ou Sandra Bullock est resplendissante. Mention speciale a la gamine qui vous fera lacher une larlichette.
    Merci Netflix !
    RedArrow
    RedArrow

    1 658 abonnés 1 527 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 décembre 2018
    L'apocalypse, des créatures mystérieuses, une privation sensorielle, une héroïne enceinte prête à tout pour s'en sortir... Le rapprochement entre cette adaptation du roman de Josh Malerman et "Sans un Bruit", le film à succès écrit et réalisé par John Krasinski, est bien entendu évident (il y a même une rapide scène dans un décor de potager que les deux films semblent partager tant il est similaire) mais, malgré un contexte presque identique, "Bird Box" y raconte tout autre chose en se focalisant sur la question de la maternité et sur ce qui la définit.

    Bâti sur deux lignes temporelles qui s'entrecoupent, le film nous narre, d'une part, les prémices de cette fin du monde où l'héroïne, Malorie, alors enceinte, se réfugie avec un petit groupe de survivants dans une maison pour comprendre le phénomène dont ils sont témoins et, de l'autre, son périple le long d'un fleuve accompagné de deux enfants vers ce qui semble être leur dernière chance de survie cinq ans plus tard. Métaphoriquement, la première nous raconte en réalité les évènements qui vont amener le personnage de Sandra Bullock à devenir biologiquement mère dans un déchaînement de violence et la deuxième à embrasser cette condition de façon aimante et plus spirituelle. Dès le début, Malorie nous est présentée comme quelqu'un avec un sérieux manque d'empathie et incapable d'accepter sa grossesse. Lorsque l'apocalypse éclate et la coupe abruptement de son dernier lien familial (et surtout d'une idée bienveillante de la famille incarnée par Sarah Paulson), le personnage aurait sans doute pu définitivement sombrer mais, en se cachant dans une maison en compagnie d'inconnus, elle va retrouver une certaine idée d'une cellule familiale qui va lui permettre, dans un premier temps, de devenir mère au sens strict du terme, c'est à dire faire tout pour protéger sa progéniture du mal qui évolue au dehors. Par exemple, sa confrontation avec un voisin acariâtre et alcoolique (John Malkovich) la renverra à la sombre figure paternelle avec laquelle elle a grandi, sa rencontre avec une autre femme enceinte (son doppelganger émotionnel) la fera s'ouvrir à la maternité et, bien sûr, le lien amoureux qui va se tisser entre elle et un autre survivant, Tom (Trevante Rhodes), lui apportera un équilibre dont elle avait désespérément besoin pour subsister. Mais, si les événements l'amènent à être mère par la force des choses, il demeurera la question de savoir comment jouer ce rôle dans un monde où les lueurs d'espoir s'amenuisent de jour en jour. Privilégier sans cesse la survie en endurcissant les enfants comme des adultes avant l'heure ou leur offrir tout de même une chance de croire en tous les rêves naïfs propres à cet âge ? Cette dualité se traduit par les regards opposés de Malorie et Tom sur le mode d'éducation à apporter à ces deux enfants. Hélas très rapidement abordées du fait de cette ellipse de cinq ans où il est tout de même bizarre de penser que Malorie n'a pas su évoluer sur une si longue durée, cette parentalité forcée et ces deux différentes approches qui en découlent déboucheront donc sur l'héroïne et les deux enfants en route pour ce qui paraît être un dernier havre de paix au coeur de la forêt. Ce périple prendra des allures de dernière chance tout autant d'un point de vue de la simple survie que celui de la voie à choisir pour Malorie en vue d'enfin comprendre ce qu'être mère signifie réellement...
    Même si "Bird Box" n'est pas le film le plus subtil qu'il soit, force est de constater que son discours sur cette notion de maternité est plutôt bien construit dans sa globalité et qu'il a le mérite d'aller jusqu'au bout de son propos. Portés par une Sandra Bullock convaincante sur toutes les nuances de caractère dessinant les contours d'un portrait de mère en devenir, les développements autour de cette thématique centrale sont probablement le gros point fort de "Bird Box" et surtout ce qui lui donne sa raison d'être.

    Car, du côté du simple film de survie post-apocalytique, "Bird Box" a hélas beaucoup moins d'arguments pour se défendre.
    Alors, oui, bien entendu, l'arrivée de ce cataclysme si particulier fait son petit effet, il est difficile de ne pas se laisser prendre une énième fois au jeu de cette ambiance teintée de mystère et de survie face à la nature étrange de ce mal, le traitement autour de la privation d'un sens primordial sur lequel on pouvait légitimement avoir quelques doutes a priori fonctionne plutôt bien à l'écran (bien moins exploité que celui de "Sans un Bruit", cela dit) et le film a pour lui de conserver un vrai ton réaliste autour de l'incroyable en entretenant sa menace par des pics de violence à l'état brut (pour résumer, on n'est pas dans un film d'apocalypse ado comme dira un personnage en évoquant toutes les adaptations de la littérature SF young adult). Bref, même s'il ne réserve pas de grandes surprises, "Bird Box" fait le job sur ce point... mais c'est tout et bien trop peu.
    Hormis la nature de ses monstres et la cécité volontaire qui va de pair, le long-métrage ne propose pas grand chose d'inédit. En plus de la comparaison inévitable avec "Sans un Bruit", l'arrivée de l'innommable dans un quartier résidentiel nous renvoie à l'ouverture de "L'Armée des Morts" de Zack Snyder (l'ampleur en moins), ce groupe de survivants obligés de cohabiter sous un même toit face à l'inconnu nous ramène à l'adaptation de "The Mist" par Frank Darabont, le côté film de monstres aux origines inconnues lorgne vers les productions de J. J. Abrams & co... Et c'est à peu près cela en permanence, malgré une certaine efficacité, "Bird Box" nous renvoie sans cesse à des oeuvres du genre bien plus importantes par le manque flagrant d'originalité autour de son déroulement. Beaucoup trop mécanique et pas avare en facilités sur le sort de certains personnages une fois ceux-ci ayant apporté leur contribution au groupe ou à l'évolution de l'héroïne (le meilleur étant l'employé de supermarché/écrivain : après avoir dévoilé le contenu de son livre et une solution de ravitaillement, son inutilité est telle qu'elle ne peut que le conduire à sa disparition), "Bird Box" risque aussi de laisser sur leur faim ceux qui aiment qu'on leur tienne la main en matière d'explications. Ne se servant finalement que de la donne de SF post-apocalytique comme d'un simple cadre au portrait de mère qu'il choisit de privilégier, le film reste plus que vague sur la mythologie de ses créatures en se contentant de vagues explications (à consonance religieuse sans trop en dire) et élude même carrément un des points les plus intriguants, ceux qui ont vu et survécu spoiler: (le seul dénominateur commun est qu'ils ont apparemment une case en moins leur permettant d'accepter l'irrationalité de la vision des créatures mais c'est si rapidement évoqué qu'on n'en saura pas plus)
    .

    Ainsi, en tant que pur film de SF, "Bird Box" peine clairement à apporter une pierre inédite à l'édifice du genre par son classicisme ou des références qui le dépassent. S'il n'y avait pas la destinée réussie de son héroïne vers l'acceptation de sa condition de mère, on serait face a une nouvelle production Netflix certes efficace mais lambda et incapable d'affirmer une quelconque identité afin d'exister par elle-même. Heureusement que son regard plutôt juste sur cette thématique lui donne une raison d'être, il s'en est fallu très peu pour que "Bird Box" n'en ait aucune.
    Dik ap Prale
    Dik ap Prale

    204 abonnés 2 839 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 décembre 2018
    Tout comme Phenomenes de M. Night Shyamalan, Bird Box nous met sous le choc avec des images de suicides toutes plus folles les unes que les autres puis s'en vient l'isolement... l'organisation pour la survie et enfin la réalisation propose une alternance avec le premier film qui a déjà beaucoup dit il y a de cela dix ans, la naissance de groupuscules qui répondent à la menace et l'accueil comme une solution alternative positive. Cette idée de secte de l'apocalypse aurait pû aboutir à une production vraiment neuve, mais ça ne va malheureusement jamais vraiment plus loin. Et on s'aperçoit très vite que Shyamalan avait finalement déjà dit l'essentiel.
    FaRem
    FaRem

    8 568 abonnés 9 479 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 décembre 2018
    La perte d'un sens pour amplifier l'horreur, c'est quelque chose que l'on retrouve de plus en plus dans les films de genre. Ici, ce n'est pas réellement une perte, mais plutôt une obligation de se limiter soi-même pour survivre comme on avait pu le voir dans "A Quiet Place" avec les personnages qui ne devaient faire aucun bruit. L'histoire de ce mal invisible qui pousse les gens à faire des choses horribles m'a fait penser au film "The Happening" de M. Night Shyamalan que personnellement j'avais beaucoup aimé. Dans les deux cas, nous avons affaire à des histoires floues et intrigantes au cœur d'un récit qui ne délivre pas beaucoup de réponses. La différence est que le film de Susanne Bier est davantage un survival qui en plus se déroule dans un cadre post-apocalyptique. La réalisatrice met en scène un scénario d'Eric Heisserer qui adapte le roman éponyme de Josh Malerman ce qui n'est pas une première comme on le remarque en regardant son CV avec notamment l'adaptation de "Story of Your Life" mis en scène par Denis Villeneuve dans l'exceptionnel "Arrival". Un habitué donc qui nous livre une histoire solide et haletante, bien que pas dénuée de longueurs. Après une excellente introduction, le récit est partagé entre les moments présents et des flashbacks qui nous montrent comment on en est arrivé là. Malgré le contexte du huis clos, l'histoire ne stagne pas vraiment avec l'ajout de nouveaux personnages et surtout une évolution du "mal" avec des gens qui réagissent différemment, ce qui multiplie les dangers pour les survivants qui doivent être encore plus sur leurs gardes. Si vous êtes obsédés par les réponses, vous pouvez passer votre chemin par contre si vous aimez les films à ambiance qui mettent l'accent sur la paranoïa, la claustrophobie et la peur de l'inconnue, ce film fonctionne bien. La seule chose qui m'a manqué, c'est d'être mis à la place des personnages et de ressentir ce danger lorsqu'ils sont à l'extérieur. Malgré tout, l'ambiance est plutôt bonne et la tension est constante. C'est clairement là où la différence avec le livre se fait sentir, car bien entendu, la puissance de notre imagination dépasse tout ce que l'on pourrait voir à l'écran. Au final, c'est un bon film qui est plutôt original même si certains éléments sont déjà vus, qui est captivant malgré quelques longueurs et qui est très bien interprété avec une Sandra Bullock vraiment convaincante.
    Mac Foof
    Mac Foof

    41 abonnés 195 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 janvier 2019
    Sandra Bullock porte le film sur ses épaules mais malgré certaines bonnes idées (notamment le début du filme), la trame de l'histoire et le montage m'ont laisse quelque peu de marbre et je n'ai pas été transporté par le film
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 1 janvier 2019
    Une bonne petite surprise pour cette fin d'année 2018 qui pourrait se situer entre It Follows et Sans un bruit. Même si on aurait pu aller beaucoup plus loin dans le vice, je recommande !
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