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Aucun intérêt. Un soupçon de Da Vinci Code, des images angoissantes qu'au début bref de belles promesses pour une fin démago et très prévisible... Nul.
Après avoir vu Le Da Vinci Code, puis Ange et Démons, la suite logique était ce film... enfin, je croyais. Tom Hanks a quand même pris un bon coup de vieux (comme tout le monde, hein), mais il semble carrément manquer d'air ou d'inspiration. Fatigue, usure du job ou pas convaincu par le film ? Niveau scénario, le teste semble assez brouillon et chercher son sens presque tout au long de ce film bourré d’invraisemblances... tout comme les acteurs d'ailleurs. Et de ne parlons d'Omar Sy qui à chaque apparition dans un film US semble aussi à l'aise dans son rôle qu'une poule avec une boule de pétanque... il traîne son rôle comme un poids sans pouvoir jouer avec. Je croyais vraiment que cet acteur passerait au delà des rôles du frenchy typé AB Prod tellement inspiré qu'un basset artésien paraîtrait plus impliqué devant une feuille de salade, mais à chaque fois, c'est le flop (souvenez nous de Jurrasic Park...).Quel dommage...
Bref, en dehors des belles images en Italie et à Istanbul, j'avoue ne rien avoir trouvé de fascinant dans ce film...
Next !
Bref, en dehors des belles images en Italie et à Istanbul, j'avoue ne rien avoir trouvé de fascinant dans ce film...
Next !
Entre montage inégal et récit bancal, Inferno plonge dans les travers type de l'œuvre sans grande saveur.
J'ai décidé de revoir les trois opus de Ron Howard (Da Vinci Code, Anges et démons et Inferno) avant d'écrire mes avis, afin d'avoir une vision d'ensemble. Et mon sentiment général, comme bien souvent dans les séries, c'est que le premier est excellent, mais que les deux autres souffrent un peu la comparaison. Et j'irais même jusqu'à dire que plus on progresse dans le temps, et moins ça va. Inferno, que j'ai vu hier soir, est assez décevant, notamment parce qu'il est assez prévisible, en tout cas beaucoup plus que les 2 autres. Tom Hanks est beaucoup moins convainquant, probablement car dans cet opus, son personnage est frappé d'amnésie et souffre de traumatismes dès le début du film. Mais globalement, je l'ai trouvé plutôt moyen, peut-être est-ce dû à une lassitude de sa part... Je parlais de la prévisibilité du scénario : j'avais deviné assez vite que Sienna Brooks n'était pas claire... Même si la scène de l’hôpital nous pousse à penser qu'elle s’est trouvée à son chevet par hasard et qu'elle se retrouve malgré elle embarquée dans cette aventure périlleuse, je l'ai soupçonnée dès le départ du fait de sa connaissance de Robert Langdon, de son expertise sur Dante, et sur le fait qu'il fallait bien soupçonner quelqu'un. Hé oui, dans les deux premiers opus, l'un des personnages principaux, qui semble donner un coup de main à Langdon, se révèle être l'instigateur du plan machiavélique menaçant Langdon. Donc dans cet opus aussi, je me suis rapidement demandé qui jouait un double jeu. Alors évidemment, j'avais aussi deviné, ou du moins très fortement soupçonné, Christoph Bouchard (Omar Sy) de ne pas être tout blanc non plus (sans mauvais jeu de mot). Mais ce n'était pas suffisant car dès le début, la voix off du milliardaire Zobrist (Ben Foster) indique à un proche qu'il lui appartient de poursuivre son œuvre et de résoudre le jeu de piste qu'il laisse après sa mort. J’ai donc naturellement pensé à une femme, plutôt belle et jeune (quand on est milliardaire, c'est l'usage, non ?) et il n'y en avait qu'une dans le scénario. Voilà, pas compliqué et trop prévisible. Au niveau des acteurs, si Tom Hanks est moins convainquant que dans les deux premiers, que dire des trois autres (Felicity Jones, Omar Sy et Ben Foster) qui sont franchement mauvais. Omar Sy, je regrette de devoir écrire cela car je l'aime beaucoup, mais il est nullissime dans ce film. Et puis je trouve qu'on lui a donné un rôle particulièrement inintéressant. Bref, comme je le disais au début, plus ça va, et moins ça va. Il est temps que ça s’arrête. Ou alors il faudrait peut-être renouveler le réalisateur et l’acteur principal qui semble être un peu à court d’idée et de motivation…
que (incarnée moyennement par la belle Felicity Jones)
que (incarnée moyennement par la belle Felicity Jones)
3e volet des aventures de R. Langdon au cinéma, Inferno est un très mauvais film (dont on espère qu'il clôturera cette série).
Facilités scenaristiques, réalisation lourde, pataud, direction d'acteurs approximative (seul T. Hanks semble -un peu- y croire), le résultat de cet opus est ridicule, voire grotesque.
Affligeant !
Facilités scenaristiques, réalisation lourde, pataud, direction d'acteurs approximative (seul T. Hanks semble -un peu- y croire), le résultat de cet opus est ridicule, voire grotesque.
Affligeant !
Inferno est une suite plutôt convaincante aux aventures de Robert Langdon.
N'ayant pas lu les livres de Dan Brown, je ne saurais m'exprimer sur la fidélité du film par rapport à l'oeuvre originale, mais j'ai trouvé l'intrigue franchement palpitante. Certes, en regardant à froid le synopsis, les incohérences scénaristiques seront sans doute assez frappantes mais le rythme de l'histoire a permis de ne pas vraiment s'en rendre compte (là où il m'est arrivé une ou deux fois de lever les yeux au ciel devant Anges et Démons). Les quelques scènes d'action fonctionnent très bien. La résolution progressive de l’énigme est extrêmement convaincante.
Tom Hanks toujours très bon dans le rôle principal (même s'il commence un peu à accuser l'âge lors des scènes d'action). Les acteurs secondaires sont convaincants eux aussi et on peut dire que le film ne mise pas que Tom Hanks comme tête d'affiche (Felicity Jones, Omar Sy, Sidse Babett Knudsen, Irrfan Khan ou encore Ben Foster).
Les décors sont absolument sublimes, ça donne vraiment envie de visiter la ville de Dante (l'office du tourisme de Florence ne saurait faire mieux pour inciter les tourisme à venir).
Ce n'est peut-être pas le film policier du siècle (tout deux comme les deux autres films ne l'étaient pas) et la saga aura sans doute un impact culturelle bien plus important à l'écrit qu'à l'écran, mais le film fait très bien son rôle de divertissement policier.
N'ayant pas lu les livres de Dan Brown, je ne saurais m'exprimer sur la fidélité du film par rapport à l'oeuvre originale, mais j'ai trouvé l'intrigue franchement palpitante. Certes, en regardant à froid le synopsis, les incohérences scénaristiques seront sans doute assez frappantes mais le rythme de l'histoire a permis de ne pas vraiment s'en rendre compte (là où il m'est arrivé une ou deux fois de lever les yeux au ciel devant Anges et Démons). Les quelques scènes d'action fonctionnent très bien. La résolution progressive de l’énigme est extrêmement convaincante.
Tom Hanks toujours très bon dans le rôle principal (même s'il commence un peu à accuser l'âge lors des scènes d'action). Les acteurs secondaires sont convaincants eux aussi et on peut dire que le film ne mise pas que Tom Hanks comme tête d'affiche (Felicity Jones, Omar Sy, Sidse Babett Knudsen, Irrfan Khan ou encore Ben Foster).
Les décors sont absolument sublimes, ça donne vraiment envie de visiter la ville de Dante (l'office du tourisme de Florence ne saurait faire mieux pour inciter les tourisme à venir).
Ce n'est peut-être pas le film policier du siècle (tout deux comme les deux autres films ne l'étaient pas) et la saga aura sans doute un impact culturelle bien plus important à l'écrit qu'à l'écran, mais le film fait très bien son rôle de divertissement policier.
Un savoureux mélange de thriller et de chasse aux énigmes. Cet opus est moins sulfureux que le "Da Vinci Code" mais les fans d'histoire seront conquis.
shindu77
Clairement, c'est le film de trop dans cette saga. Déjà qu'avant ce n'était pas extraordinaire mais là, il semble être arrivé au bout du bout. Et ce, malgré un casting sur le papier de qualité. Il y a un vrai problème dans la mise en place de l'histoire et surtout dans la réalisation qui n'est pas de qualité malheureusement.
Bon, j'avoue je n'ai pas lu le livre... Mais je n'en suis pas à ma première lecture de Dan Brown, et dans l'ensemble on y retrouve les schémas!
Je ne sais donc pas ce que vaut le livre, mais le film est excellent! Action, suspens, énigmes, courses poursuites... du Dan Brown tout craché. On alterne scènes d'actions avec des énigmes à caractère historiques ou scientifiques, et ce en traversant tous les grands sites archéologiques de notre histoire.
Il faut aimer le genre. Pour cette histoire, tout tourne autour de Dante.... Chaque histoire à son puzzle central.
Perso j'ai apprécié l'intrigue même si quand on connait l'auteur on connait le genre de fin...
A voir pour le plaisir et sans prise de tête.
Je ne sais donc pas ce que vaut le livre, mais le film est excellent! Action, suspens, énigmes, courses poursuites... du Dan Brown tout craché. On alterne scènes d'actions avec des énigmes à caractère historiques ou scientifiques, et ce en traversant tous les grands sites archéologiques de notre histoire.
Il faut aimer le genre. Pour cette histoire, tout tourne autour de Dante.... Chaque histoire à son puzzle central.
Perso j'ai apprécié l'intrigue même si quand on connait l'auteur on connait le genre de fin...
A voir pour le plaisir et sans prise de tête.
Très déçue, le film ne reflète pas le livre. Le réalisateur n a rien compris au livre. Il manque énormément d élément important et les personnages ne correspondent pas à la description que Dan Brown en fait dans le livre.
Cette adaptation des aventures de Robert Langdon est vraiment pas mal, l'histoire est plutôt bien réalisé, les acteurs sont excellents,
L action plutôt réussi.
L action plutôt réussi.
Caine78
Troisième et a priori dernière aventure de Robert Langdon au cinéma après « Da Vinci Code » et « Anges et Démons » : ce n'est probablement pas un drame... Pourtant, le premier tiers a suscité une vraie curiosité chez moi. Beaucoup de mystères, d'interrogations, un début (trop?) sur les chapeaux de roue nous plongeant immédiatement dans l'action : malgré les nombreux tics visuels habituels chez Ron Howard dans la saga, on a envie de savoir de quoi il retourne. Malheureusement, tout en restant plutôt divertissant jusqu'au bout, une fois les grandes lignes du scénario comprises et connues, l'intérêt diminue fortement, le réalisateur ayant au moins l'habileté de ne pas tout révéler d'un coup, sans parvenir à rendre ces rebondissements suffisamment excitants pour susciter une réelle adhésion. Pour un « twist » vraiment inattendu (et réussi), les autres apparaissent nettement plus mineurs, d'autant que si l'on comprend l'essentiel, le scénario apparaît inutilement embrouillé, voire boursouflé, Tom Hanks et Felicity Jones composant un duo peu mémorable, éclipsés par la classe folle de Sidse Babett Knudsen (quelle femme!), pourtant beaucoup moins présente à l'écran. Bref, une plongée artistique et « touristique » (c'est parfois l'impression qu'elle donne) pas déplaisante, initialement intrigante puis beaucoup plus routinière voire moralisatrice
spoiler:
(tous ceux ayant fauté seront tués)
, loin d'exploiter tout son potentiel (une réflexion sur la surpopulation actuelle eut pourtant été bienvenue) : pas si infernal, ce voyage « dantesque ».
, loin d'exploiter tout son potentiel (une réflexion sur la surpopulation actuelle eut pourtant été bienvenue) : pas si infernal, ce voyage « dantesque ».
Ce dernier épisode de la trilogie sent clairement le sapin. Le bilan n’est guère glorieux puisque seul le deuxième vaut le détour. Ici, Ron Howard confond efficacité et précipitation en signant une réalisation agitée, inepte et vraiment peu inspirée. Tom Hanks n’a jamais été aussi mal dirigé, tandis que tous les personnages semblent des accessoires dépourvus de psychologie. Très vite, on se désintéresse de cette histoire cousue de fil blanc pour s’ennuyer ferme. Un ratage complet.
Sans génie,sans saveur bref pas très convaincant.Et entre autres avatars, le personnage qu'incarne Omar Sy ne lui va pas du tout et c'est même à la limite du ridicule.
Fêtons le cinéma
La force d’Inferno vient de sa capacité à peindre en creux tous les travers dans lesquels les deux précédents volets ne tombaient pas. Ron Howard affichait précédemment une foi dans le divertissement, changeant le jeu de piste en construction cinématographique ludique et sans autre prétention que de revisiter la mythologie vaticane avec panache. Or, Inferno plaide contre ce postulat et semble tellement terrifié à l’idée d’ennuyer qu’il surcoupe, surexpose, surcharge. Une sensation de trop-plein est vite atteinte, et c’est la saturation qui achève un ensemble aux fragilités décuplées par le procédé d’ultra-réalisme appliqué à une fable apocalyptique. En résulte une infernale nausée que le compositeur Hans Zimmer accompagne avec du bruit électronique vraiment déplaisant, dans laquelle les acteurs souffrent plus qu’ils ne jouent. Mention spéciale au pauvre Tom Hanks qui passe son temps à promouvoir les bienfaits de la course de vitesse. Pas de chance pour lui comme pour nous, la course s’avère bien plus épuisante que revigorante.
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