Derniers Avis : Inferno - Page 24

Mais pourquoi ?! Pourquoi !
Dès le début du film j'ai senti l'escroquerie
J'ai tenu jusqu'à la fin espérant une lumière dans l'ombre mais non

Une escroquerie du début à la fin.

Rien à voir avec le film !
Mais ils se sont perdus quelque part.
Je ne sais où mais ils se sont perdus.
Même la fin n'a rien à voir !
Un happy end qu'il n'y a pas dans le film
Le RoLe de Sienna n'a pas été respecté
Ni le rôle de la directrice de l'OMS
Pourquoi modifier un script qui était si Bien. ???
Ok pour les besoins de l'adaptation quelques changements sont nécessaires
Mais de là à modifier aussi Profondément l'histoire qui ne fini Vraiment pas de la même manière dans le livre que dans le film...
Pour moi c'est juste une Imposture
A tout ceux qui ont Adoré le livre
N'allez pas brouiller votre cerveau avec un film aussi médiocre qui ne respecte en Rien le livre

Le plus mauvais des trois films de la saga du professeur Langdon.
Inferno ne surprend jamais, pire, il donne envie de rire là où il faudrait s'inquiéter. Une longue descente aux enfers.

Dans son genre, Dan Brown est un romancier de génie. A lui seul il a révolutionné l’ésotérisme littéraire, les énigmes à grandes échelle qui passionnent par ce qu’elles induisent. Des trésors dissimulés sous le nez de tous, mais accessibles uniquement par un regard approfondi et une connaissance certaine du sujet. Ron Howard qui en a déjà réalisé deux œuvres, à savoir Da Vinci Code et Anges et Démons, s’attèle à l’avant dernier roman de l’auteur. Inferno, symbolisant l’enfer de Dante, annonce un nouveau jeu de piste palpitant pour Robert Langdon, expert en symbolisme ancien. Au même titre que ses deux prédécesseurs, Inferno est une prouesse scénaristique touchant psychologiquement par son côté sombre et réaliste. Les prévisions quant à l’avenir de l’humanité font froid dans le dos. La surpopulation agissant à l’instar d’une tumeur pour la planète. Le discours avancé est évocateur de bouleversements radicaux, la révision des modes de vie, des mentalités, tout cela nous conduisant sans détour à la sixième extinction, la notre. Les courbes de croissance ne mentent pas, et c’est là que le film devrait sensibiliser, car la réalité rattrape la fiction. Instinct de procréation, production, consommation, est-ce donc uniquement cela qui nous anime, nous, pauvres humains ? Une fiction qui révèle au grand jour un échantillon de vérité crue est forcément controversée, cela a toujours été, et les choses ne changeront sans doute jamais. Ron Howard met une fois encore au grand jour les recherches poussées par Dan Brown, nous entrainant dans les méandres de l’art antique, de Florence à Venise, en passant pas Istanbul, à travers une série d’énigmes complexes. Tom Hanks est depuis le début, encré à son rôle, poussé par la recherche et les découvertes inestimables. Un seul bouton changera inexorablement la face du monde. Voila qui laisse songeur. Cette peste noir qui menace notre monde n’est peut être rien d’autre que la guillotine que chacun d’entre nous porte en lui. Une insouciance qui mène à la déchéance et au point de non retour. Une prise de conscience certes brutale mais nécessaire pour faire évoluer les choses en bien. Un message double-face qui se lit entre les lignes. D’un point de vue plus général, Inferno est très proche de la perfection, esthétiquement et sémantiquement parlant. Il ne laisse pas indemne et pousse profondément à s’interroger, sur nous-mêmes, les autres, et la vie au sens littéral. A quand l’adaptation de Forteresse Digitale ?? 4,5/5

"Inferno" après "Da Vinci Code" et Anges et Démons", ressemble plus à un thriller à l'eau de rose, chic et choc, pseudo historique et mystérieux, mais bourré d'invraisemblances tellement énormes qu'il fait plus sourire que nous tétaniser !
Car même quand on a simplifié l'histoire qui se veut sciemment plus complexe qu'elle n'est réellement sur le fond, cette course poursuite pour récupérer le danger imminent qui terrassera l'humanité ne ressemble vraiment pas à quelque chose de crédible et de sérieux...
Sujet maintes fois déjà vu, l'univers des symboles et l'aspect "dantesque" qu'essaie tant bien que mal d'insuffler Ron Howard sont plutôt abracadabrants, et l'ensemble n'est de fait guère original mais frise par contre souvent la bêtise.
On nous perd en conjectures avec des ficelles tellement grosses qu'on a vite compris qui sont les gentils et les méchants, et Tom Hanks lui-même en professeur Langdon n'y croit pas trop, tout en étant assuré du cachet bien conséquent qu'il aura à gagner dans l'affaire !
Alors un beau voyage en Italie à coup sûr qui donne déjà envie d'y retourner, c'est déjà suffisant rien que pour l'idée (!), mais pas assez pour avoir vraiment peur de cette intrigue en toc, à revoir franchement et sérieusement...

Plaisir de retrouver notre Robert Langdon aux prise de fanatiques. Quelques longueurs par instant mais cela n'enlève rien au film.

dans la Lignée logique de Da vinci Code et de Anges et Démons mais en plus moderne et en moins christique. une course poursuite efficace avec comme dans les deux premiers des rebondissements sur qui est "gentil" qui est "méchant" .... ce film me confirme cependant que je déteste cet acteur : Omar Sy

N'ayant pas lu le livre, je ne peut que parler du film en lui même.
J'ai aimé ce film pour plusieurs raisons: il y a du suspens, pas mal de rebondissements, les énigmes sont vraiment bien. Et il y a ce côté aventures que j'adore.

Passe les quelques premieres minutes prometteuse , la confusion , l'ennui viennent rapidement et meme la fin ou les explications arrivent ne compense pas les longueurs. Pas beaucoup de tension non plus. Encore un livre qui n'aurait pas du etre transposer au cinema.

Se situant qualitativement entre le décevant DA VINCI CODE et l'efficace ANGES ET DEMONS, ce troisième opus de la trilogie inspirée des œuvres de Dan Brown souffle le chaud et le froid. D'un côté, l'aventure est entraînante, et les acteurs sont convaincants. De l'autre, on sent un manque de budget certain et quelques effets de mise en scène sont douteux (l'intro dans l'enfer de Dante revisité, par exemple).

Moyen, voir très moyen.
Le scénario est assez bien, mais de nombreuses invraisemblances et une mise en route pénible.
Moins sympa que les 2 précédents opus

Un film qui ne convainc personne, que ce soit l'intrigue adapte du romain, le jeu d'acteur .. Rien ne donne envie de s'accrocher à fond dans le film. Une idée de ravage mondiale qui pourrait provoqué chez certains de très mauvaises idées. Un film que je ne vous conseillerais pas d'aller voir dans nos salles de cinéma !

Un super film, une superbe mise en scène, une photographie incroyable, une sublime BO d'Hans Zimmer MAIS, car il y a un gros mais. Je m'explique.
Le film est trop différent du livre et ça me gène. (à partir la deuxième moitié du film et surtout la fin qui est complètement différente du livre. Je ne veux pas spoiler quoi que ce soit, mais si vous avez lu le livre, vous serez déçu.
Cependant, je comprend parfaitement que Ron a décidé de changer la fin du film pour ne pas finir sur une note trop sombre (comme c'est le cas dans le livre).
La mise en scène est très bien faite, pour ce genre de film (surtout lors des flashbacks).
J'aime beaucoup la mise en scène de ce film, car elle est bien à l'image du livre, un compte à rebours avant un événement terrible mondial.

La BO d'Hans Zimmer, alors, j'aimerais juste préciser pour ceux qui se sont plaint du "plagiat" avec The Da Vinci Code, c'est un peu normal, vu que c'est une suite de film donc la reprise de certaines musiques et les arrangées, c'est tout à fait normal. Pour comparaison, c'est comme un Harry Potter sans le Hedwige thème etc...
J'avais un peu peur du résultat, car plusieurs jours avant la sortie du film, la BO d'Inferno était déjà disponible et je l'ai bien sûr écouter. Je trouvais les musiques un peu trop hard, mais au final la BO se marie très bien avec le film, donc un succès.

Concernant les acteurs, je l'ai trouve parfait, peut-être juste lorsque spoiler: Sienna trahit Robert
, cela est tellement prévisible et vraiment mal joué pour le coup. D'ailleurs à ce passage, spoiler: Sienna fait tout un discours, alors que dans le livre elle dit juste "je suis désolé Robert"
. Je pense que cette phrase aurait suffit dans le film, afin d'appuyer encore plus la tension.

Omar Sy, notre Omar, j'ai eu un plaisir à le voir dans ce film et nous prouve qu'il peut jouer dans n'importe quel film et je pense sincèrement qu'il a sa place dans Inferno. Il est très convaincant.

Il y a un changement entre le film et le livre qui a vraiment sa place c'est la relation entre Langdon et la directrice de l'OMS. Elle colle plutôt bien et ne m'a pas vraiment déranger.

Donc pour finir:
Si vous avez lu le livre, vous serez sans doute déçu de changements un peu trop gros (et surtout la fin) mais si vous aimez les films thriller polar avec un contre la montre et des mystères, ben vous serez bien servi.
En ce qui me concerne, je mettrais 3/5 pour deux raisons:
Premièrement, le respect du livre est quelque peu bafoué et la conclusion est complètement différente. Cela me déçoit, bien que je le comprenne, mais j'aurai pensé qu'ils auraient au moins respecter fidèlement la fin qui pousse encore plus loin la réflexion.
Deuxièmement, à la sortie de la salle, je n'étais pas emballer, j'étais juste perplexe. Je me posais la question "est-ce que ce film est bien?" Jamais un film m'a fait ceci à la sortie d'une salle de cinéma.
Néanmoins, en ce qui me concerne, j'aurai un grand plaisir à le revoir.

Déçu.
Histoire complètement vidée de son contexte.
Repères historiques et artistiques inexistants ou à peine survolés, et que dire de l'intrigue...
Le film d'Anges et Demon reflètait mieux Le livre et tenait au moins la route.
Là, non seulement le livre n'est pas respecté mais le film relève plutôt du téléfilm de série B.

Note : 11/20
Thriller plutôt moyen avec une mise en scène peu convaincante, une interprétation inégale mais un scénario intéressant ...

Une bonne intrigue bien ficelée avec un montage rapide et nerveux (parfois épileptique) mais un long métrage trop exagérer pour finalement un petit court métrage de bonne qualité