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Croissant S
8 abonnés
14 critiques
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3,5
Publiée le 28 novembre 2016
Hyper fidèle au roman de Dan Brown, on voit les scènes qu'on s'était imaginées en lisant... top ! Et final génial dans ce lieu magique qu'est la citerne-basilique d'Istanbul.
Zéro pointe du début à la fin ! Grosse déception, ont ils au moins perdus quelques kilos à force de courir après quoi ? Ah mince j'avais pas capté c'est un Remake de Forrest Gump Version Dark !!!
Un thriller pas très folichon. Ce n’est jamais crédible, on sait d’avance comment cela se termine, les énigmes sont vites expédiées, il y a une romance sortie de nulle part au milieu du film dont on se contrefiche. Reste la beauté des villes visitées (ou plutôt traversées). Ça se laisse regarder mais sera aussi vite oublié.
Troisième et a priori dernière aventure de Robert Langdon au cinéma après « Da Vinci Code » et « Anges et Démons » : ce n'est probablement pas un drame... Pourtant, le premier tiers a suscité une vraie curiosité chez moi. Beaucoup de mystères, d'interrogations, un début (trop?) sur les chapeaux de roue nous plongeant immédiatement dans l'action : malgré les nombreux tics visuels habituels chez Ron Howard dans la saga, on a envie de savoir de quoi il retourne. Malheureusement, tout en restant plutôt divertissant jusqu'au bout, une fois les grandes lignes du scénario comprises et connues, l'intérêt diminue fortement, le réalisateur ayant au moins l'habileté de ne pas tout révéler d'un coup, sans parvenir à rendre ces rebondissements suffisamment excitants pour susciter une réelle adhésion. Pour un « twist » vraiment inattendu (et réussi), les autres apparaissent nettement plus mineurs, d'autant que si l'on comprend l'essentiel, le scénario apparaît inutilement embrouillé, voire boursouflé, Tom Hanks et Felicity Jones composant un duo peu mémorable, éclipsés par la classe folle de Sidse Babett Knudsen (quelle femme!), pourtant beaucoup moins présente à l'écran. Bref, une plongée artistique et « touristique » (c'est parfois l'impression qu'elle donne) pas déplaisante, initialement intrigante puis beaucoup plus routinière voire moralisatrice spoiler: (tous ceux ayant fauté seront tués) , loin d'exploiter tout son potentiel (une réflexion sur la surpopulation actuelle eut pourtant été bienvenue) : pas si infernal, ce voyage « dantesque ».
Après "Da Vinci Code" et "Anges et Démons", revoilà notre professeur Robert Langdon embarqué dans une aventure dans laquelle le monde que l'on connait est tout simplement menacé d'extinction ! J'avais bien aimé le premier volet cinématographique de cette saga littéraire de Dan Brown "Da Vinci Code", mais je m'étais un peu ennuyé dans la suite "Anges et Démons". J'abordais donc ce nouvel opus sur la défensive et finalement, c'est plutôt une bonne surprise ! Si Tom Hanks est toujours brillant, on découvre un Omar Sy percutant et une Sidse Babett Knudsen vraiment excellente ! Quelques longueurs de-ci de-là mais l'histoire tient globalement la route avec quelques rebondissements et certains moments de tension bien sympas. Vraiment pas mal !
Les thrillers de Dan Brown sont souvent moqués par les élites pour leur côté ésotérique et leurs approximations historiques, mais force est de constater qu'elles sont bien écrites, addictives, distrayantes et qu'elles savent ménager leur suspense. Malgré quelques facilités et raccourcis, malgré une réalisation assez quelconque et trop démonstrative, malgré un Tom Hanks un peu bouffi, on se laisse prendre au jeu de cette intrigue pleine de faux semblants et de rebondissements.
Comme d'habitude, Ron Howard s'effrite dans un film compliqué au scénario qui donne plutôt mal au crâne. Encore une fois, Tom Hanks accepte ce rôle, et encore une fois on n'y comprend pas grand chose. Seules les images des différentes villes sont intéressantes. Mais, rien n'est véritablement prenant. Et donc pendant 2 heures, c'esrt une course poursuite longue et lente qui vous attend.
"Inferno" a beau être plus rythmé que les autres films issus de Dan Brown et moins garni en bondieuseries gonflantes (comme le mauvais "Anges et démons"), j'ai plusieurs fois piqué du nez lors du visionnage. Démarrage poussif, visions épileptiques, flashbacks lourds, montage épuisant, scènes ridicules spoiler: (à l'hôpital au début, le masque dans le musée) , thématique banale mille fois traitée spoiler: (surpopulation, virus tueur, ça fait très Mission Impossible 2) , énigmes classiques spoiler: (tableaux, églises, lettres cachées, devinettes) et fin complètement bâclée, pas grand-chose ne fonctionne. Le pire reste l'utilisation des personnages secondaires, déjà trop nombreux à la base: entre révélations prévisibles, inintéressantes ou insistantes, ils naviguent de manière très bordélique dans une intrigue qui défie régulièrement les lois de la cohérence. Le seul vrai atout du film c'est Florence (l'un de mes meilleurs souvenirs de touriste, tant cette ville est magnifique), dont on voit de nombreux plans somptueux lui rendant bien hommage. Par contre, les virées à Venise et Istanbul sont très expéditives. Enfin, le casting est moyen, Tom Hanks faisant le job sans génie alors qu'Omar Sy n'est pas très à l'aise en anglais, que Felicity Jones manque de charisme et que les autres font avec le grand n'importe quoi de leur rôle. Au final, "Inferno" est une purge harassante.
Pas un moment de répits dans cet opus, bande son inexistante ou totalement insipide, personnages inexpressifs. On a le sentiment que tout le monde courre le plus vite possible pour arriver à la fin du film dans les meilleurs temps....
Un film énigme pas très réussi, qui part dans tous les sens, avec un héro pas très perspicace. On a du mal à pénétré dans cette histoire qu'on tente de suivre malgré la lenteur de progression malgré ses raccourcis pas très crédibles. Ne laissera aucun souvenir ...
La rechute ! L’adaptation du 4ème livre de Dan Brown projette son Robert Langdon dans une aventure qui ne tente même pas de se convaincre lui-même, avant de s’adresser à nous…
« Da Vinci Code » se plantait totalement, « Anges et Démons » recherchait le pardon et ce dernier volet n’a pas trouvé le juste équilibre. On retrouve les mêmes problèmes que précédemment et le postulat de départ ne s’éloigne pas de cet élan trop Hollywoodien sur le coup. La dimension mondiale est de rigueur et les divers plans larges en témoignent. L’ampleur de la culture de l’Art est encore plus récurrente mais reste obstinée dans le cadre qu’est « Inferno ». Le scénario, a priori, se permet des libertés que l’on ne reconnait pas à la patte de Brown. La mécanique rythmique est saccadée à l’image de la maladie viral que l’on combat ici. La juxtaposition des plans fait que la forme du projet est bien travaillée.
Tom Hanks n’a plus rien à se reprocher, mais la mise en scène qui l’accompagne l’oblige à entrer dans la bêtise du rôle. La cohérence même de l’intrigue se met en cause. Le fait de ne pas y croire et nous faire douter d’hypothèses, à mon goût, trop grandes à avaler n’est pas l’idéal lorsque l’on s’adresse à une majorité de non lecteurs. Bien entendu, on comprend succinctement la trame de cette aventure, avec l’effort nécessaire. Si on se concentrait un minimum, cela gâcherait tout le plaisir dès les premières minutes et c’est fatal pour une œuvre aussi riche en rebondissements. Le plaisir de retrouver Felicity Jones ou Omar Sy, pour nous autres francophones, est précipité dans l’escapade contre la montre. On pose le contexte et on innove, le tout en même temps que l’intrigue accélère. Cette mauvaise coordination a de quoi faire perdre de l’émotion et notre foi au pragmatisme de Ron Howard. Le souci réside encore dans l’acquisition de la morale finale. Elle est moins évidente et percutante, sans doute allégée par un dénouement trop propre, où l’échec n’a jamais été envisagé. Le flou nous guette, faute de quoi la compréhension des personnages est d’un puzzle désagréable à résoudre. Les « twist » sont utilisés à tort et à travers, tout comme certains effets spéciaux qui auraient certainement mérités un meilleur traitement. Au même titre que ses prédécesseurs, « Inferno » ne décolle pas ses défauts sur le fond. On reste sur du divertissement brut, où le religieux est quelque peu délaissé en dépit d’une course qui sonne en action plutôt qu’en réelle réflexion.
Du grand n'importe quoi avec un scénario en forme de jeu de piste incompréhensible, des facilités de scénario "en veux-tu en voilà" ! Des acteurs aussi charismatiques que des bulots, avec un Tom Hanks pas convainquant du tout et pour lequel on éprouve aucune empathie, Omar Sy est pitoyable et ne parlons pas des autres, (quoique Ana Ularu dans le rôle de la méchante Vayentha soit amusante). Le réalisateur n'a su créer aucune tension dans cette histoire sans intérêt dont la fin constitue le coup de grâce en forme du pub ahurissante pour la souris à grandes oreilles.
Un début haletant, et des effets éprouvants qui portent ce dernier volet dans une noirceur dantesque et puis plus grand chose. On traverse le Palazzo vecchio à Florence, Venise, Istanbul. Des énigmes toutes faites, un réel manque de souffle et d'innovation si bien que Benjamin Gates nous manquerait d'évidence plus qu'un professeur Robert Langdon.
Voici l'adaptation du quatrième roman avec le héro R.Langdon. Le troisième à l'écran. Très franchement, rien de surprenant. C'est toujours les mêmes codes. Toujours beaucoup de raccourcies entre le roman et le film, et toujours un rythme élevé. Niveau casting, Tom Hanks et Omar Sy sont assez quelquonque, tandis que Félicity Jones apporte une fraîcheur très appréciable. La célèbre BO est quand à elle massacrée par un remix de mauvais gout. Côté image, les villes de Florence et de Venise sont magnifiquement filmées. Donc à voir si on est fan des films, et à ne pas voir si on est fan des livres !
Après le raté "Da Vinci code", le regardable "Anges & démons", Robert Langdon revient dans cet "Inferno" où cela commence mal pour lui car il a une légère amnésie et est recherché par des gens pas gentils ! En plus, il est à Florence, Italie, et il ne sait même plus pourquoi ! Aidé par une médecin, il devra ENCORE reconstruire le puzzle et trouvé un par un les indices qui le mèneront à la solution... enfin ici, c'est surtout à éviter une catastrophe humanitaire planétaire (rien que ça !!). Bon ne tournons pas autour du pot, ça se regarde mieux que "Da Vinci" ! (y a pas de mal) Et bien qu'il y ait quelques doutes sur les intentions des personnages secondaires pendant les 3/4 du film, tout s'imbrique au fur et à mesure dans le dernier quart. Ce n'est pas encore le thriller de l'année, mais ici l'histoire a la bonne idée d'abandonner les bondieuseries pour s' intéresser à l'art et l'enfer de Dante. Au final, on a le droit à un bon film, même si ce n'est pas le meilleur de Tom Hanks et Ron Howard (encore en mode je fais le moins possible). A voir tout de même.