Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Le Parisien
par Hubert Lizé
S'agissant d'un premier long-métrage, on s'aventure un peu à reculons dans ce road-trip familial farfelu. Puis on se laisse gagner par la justesse de ton des acteurs dont l'irrésistible Vincent Macaigne, la mélancolie joyeuse de l'atmosphère et l'efficacité d'un scénario minimal qui, mine de rien, vous embarque pour de bon.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
(...) un film tout en décalages saugrenus et en drôlerie cocasse.
Le Monde
par Sandrine Marques
Le talent de Vincent Mariette consiste à marier habilement les genres. Brassant le buddy movie, la comédie romantique et le film d'horreur, son audacieux premier long-métrage séduit. La démarche est pleine d'originalité et les acteurs au diapason.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Précédé d'une excellente réputation obtenue dans le court métrage, Vincent Mariette signe un premier long au minimalisme assumé et bourré de charme.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
Un buddy-movie drôle et sensible qui signe la naissance d’un nouvel auteur comique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Alain Spira
(...) Pour son premier long-métrage Vincent Mariette impose son savoir-rire jaune avec cette belle fricassée de fratrie fracassée.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Isabelle Danel
Ce premier long métrage en forme de road movie, sous tendu par de petits mensonges et de grosses révélations, est une réussite.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
CinemaTeaser
par Renan Cros
Wes Anderson et Bertrand Blier, voilà le grand écart que tente le réalisateur Vincent Mariette.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
La Croix
par Arnaud Schwartz
Derrière l’humour et les péripéties, Vincent Mariette glisse un propos plus grave, touchant, sur les aléas de la filiation, les fardeaux que l’on traîne avec soi et les familles que l’on tente de réinventer. Une comédie mystère plutôt réussie.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
On se laisse prendre par le rythme languissant et l'atmosphère mélancolique de ce film inclassable, qui aborde des thèmes douloureux sans jamais tomber dans le pathos et les désamorce grâce à une subtile dose d'absurdité.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Libération
par Bruno Icher
Pour autant, l’empathie contagieuse pour ses personnages dont fait preuve Vincent Mariette, de même que son ambition salutaire à défricher des territoires quasi vierges sur le continent miné de la comédie à la française, appellent à l’évidence à garder un œil sur l’individu.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Jean-Loup Bourget
Vincent Mariette a choisi un point de départ qui a beaucoup servi. Le scénario fait alterner des rencontres inattendues et des renversements de situation et une conclusion qu'on pourrait dire téléphonés. Mention spéciale à la musique décalée et originale signée de Rob.
Télérama
par Jérémie Couston
Laurent Lafitte, en ex-champion de tennis hétéro beauf, et Vincent Macaigne, dans son traditionnel rôle d'amoureux mal dans ses baskets, confirment qu'ils excellent toujours dans le registre doux-amer.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Benoît Smith
"Tristesse Club" aligne-t-il ses scènes comme autant de sketchs s’enfilant l’un à la suite de l’autre, chacun recombinant les accessoires (transition parfois signifiée par le glissement de la caméra circulant entre les personnages) ; mais cette enfilade n’est articulée par aucun liant qui donne à cette succession une évidence autre que la marche forcée du scénario.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Seule une scène nocturne de siphonage d'essence échappe au ronron général. Bref, dialogue pléthorique et mise en scène éthique.
aVoir-aLire.com
par Virginie Morisson
Si le trio d’acteurs permet de mettre en lumière une histoire sans grande originalité, il ne sauve pas pour autant une intrigue prévisible qui manque de suspense.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Gaspard Nectoux
La tiédeur de l’écriture, qui brasse sans vergogne les figures les plus rebattues du scénario français, est bien le problème majeur de cette comédie.
Chronic'art.com
par Murielle Joudet
À trop chercher ce moyen terme et à réconcilier bonne facture de cinéma d'auteur et ambition populaire, "Tristesse Club" finit par s'échouer une sorte de no man's land qui ne fait ni rire ni pleurer.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Parisien
S'agissant d'un premier long-métrage, on s'aventure un peu à reculons dans ce road-trip familial farfelu. Puis on se laisse gagner par la justesse de ton des acteurs dont l'irrésistible Vincent Macaigne, la mélancolie joyeuse de l'atmosphère et l'efficacité d'un scénario minimal qui, mine de rien, vous embarque pour de bon.
Le Dauphiné Libéré
(...) un film tout en décalages saugrenus et en drôlerie cocasse.
Le Monde
Le talent de Vincent Mariette consiste à marier habilement les genres. Brassant le buddy movie, la comédie romantique et le film d'horreur, son audacieux premier long-métrage séduit. La démarche est pleine d'originalité et les acteurs au diapason.
Les Fiches du Cinéma
Précédé d'une excellente réputation obtenue dans le court métrage, Vincent Mariette signe un premier long au minimalisme assumé et bourré de charme.
Les Inrockuptibles
Un buddy-movie drôle et sensible qui signe la naissance d’un nouvel auteur comique.
Paris Match
(...) Pour son premier long-métrage Vincent Mariette impose son savoir-rire jaune avec cette belle fricassée de fratrie fracassée.
Première
Ce premier long métrage en forme de road movie, sous tendu par de petits mensonges et de grosses révélations, est une réussite.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
CinemaTeaser
Wes Anderson et Bertrand Blier, voilà le grand écart que tente le réalisateur Vincent Mariette.
La Croix
Derrière l’humour et les péripéties, Vincent Mariette glisse un propos plus grave, touchant, sur les aléas de la filiation, les fardeaux que l’on traîne avec soi et les familles que l’on tente de réinventer. Une comédie mystère plutôt réussie.
Le Journal du Dimanche
On se laisse prendre par le rythme languissant et l'atmosphère mélancolique de ce film inclassable, qui aborde des thèmes douloureux sans jamais tomber dans le pathos et les désamorce grâce à une subtile dose d'absurdité.
Libération
Pour autant, l’empathie contagieuse pour ses personnages dont fait preuve Vincent Mariette, de même que son ambition salutaire à défricher des territoires quasi vierges sur le continent miné de la comédie à la française, appellent à l’évidence à garder un œil sur l’individu.
Positif
Vincent Mariette a choisi un point de départ qui a beaucoup servi. Le scénario fait alterner des rencontres inattendues et des renversements de situation et une conclusion qu'on pourrait dire téléphonés. Mention spéciale à la musique décalée et originale signée de Rob.
Télérama
Laurent Lafitte, en ex-champion de tennis hétéro beauf, et Vincent Macaigne, dans son traditionnel rôle d'amoureux mal dans ses baskets, confirment qu'ils excellent toujours dans le registre doux-amer.
Critikat.com
"Tristesse Club" aligne-t-il ses scènes comme autant de sketchs s’enfilant l’un à la suite de l’autre, chacun recombinant les accessoires (transition parfois signifiée par le glissement de la caméra circulant entre les personnages) ; mais cette enfilade n’est articulée par aucun liant qui donne à cette succession une évidence autre que la marche forcée du scénario.
L'Humanité
Seule une scène nocturne de siphonage d'essence échappe au ronron général. Bref, dialogue pléthorique et mise en scène éthique.
aVoir-aLire.com
Si le trio d’acteurs permet de mettre en lumière une histoire sans grande originalité, il ne sauve pas pour autant une intrigue prévisible qui manque de suspense.
Cahiers du Cinéma
La tiédeur de l’écriture, qui brasse sans vergogne les figures les plus rebattues du scénario français, est bien le problème majeur de cette comédie.
Chronic'art.com
À trop chercher ce moyen terme et à réconcilier bonne facture de cinéma d'auteur et ambition populaire, "Tristesse Club" finit par s'échouer une sorte de no man's land qui ne fait ni rire ni pleurer.