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    La Forêt de Quinconces
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    velocio
    velocio

    1 319 abonnés 3 151 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 21 juin 2016
    Ce premier film du comédien Grégoire Leprince-Ringuet a été présenté en séance spéciale lors du dernier Festival de Cannes. Une intrigue à la Rohmer et beaucoup de risques au niveau de la réalisation. En effet, la plupart des dialogues se font en alexandrins. Problème : cela fonctionne au théâtre, à la rigueur dans le cadre du théâtre filmé mais cela sonne très, très, trop artificiel au cinéma. Résultat : l'ennui pour de nombreux spectateurs (pas tous : ayons l'honnêteté de le reconnaître !).
    poet75
    poet75

    275 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 juin 2016
    On a déjà eu de nombreuses occasions d'apprécier le talent d'acteur de Grégoire Leprince-Ringuet, aussi à l'aise dans un film de Christophe Honoré que dans un autre de Bertrand Tavernier ou encore de Robert Guégiguian. Or le voici qui non seulement se produit comme acteur mais comme scénariste et réalisateur. Et le moins qu'on puisse dire, c'est que ce premier essai contient beaucoup de promesses.
    C'est un film intrigant, quelque peu déroutant peut-être, mais irrésistiblement séduisant, qu'a écrit et mis en scène Grégoire Leprince-Ringuet. En se basant sur des poèmes qu'il avait écrits il y a longtemps, il a bâti un fil dramatique et des personnages. Les dialogues du film sont donc constitués pour une bonne part de poèmes versifiés de manière très classique (des alexandrins mais aussi des octosyllabes, m'a-t-il semblé) et rimés. Et c'est un des grands plaisirs que procure ce film que de faire entendre ces vers. Ils interviennent de manière très naturelle, sans s'exhiber, mais en imprégnant le long-métrage de leur musicalité. Car, qu'on le veuille ou non, et même si beaucoup de poètes contemporains l'ont laissé choir (ce que je regrette!), il n'y a rien de tel que le vers de forme classique pour faire chanter les mots. L'alexandrin et l'octosyllabe sont naturellement musicaux et ce film en bénéficie extraordinairement. Il donne l'impression d'être chanté en effet.
    Une des autres grandes qualités de « La Forêt de Quinconces », c'est son casting et, en particulier, outre le rôle tenu par le réalisateur lui-même, le choix des deux actrices principales, toutes deux superbes et très talentueuses : Amandine Truffy dans le rôle d'Ondine et Pauline Caupenne dans celui de Camille.
    Enfin, outre l'excellence de son écriture et du choix des acteurs et actrices, il faut louer la mise en scène et la réalisation du film, plein de bonnes idées, parsemé d'indices qui éclairent et déroutent tout à la fois, comme il se doit quand on a affaire à un conte. Car, même si l'intrigue se noue et se dénoue au cœur des réalités les plus ordinaires de notre temps, c'est bien sous ce registre qu'il faut le percevoir. Et comme dans les meilleurs contes, il est ici question d'ensorcellement et d'objets dotés de pouvoirs.
    Il est question aussi d'une forêt, celle qui donne son titre au film, la forêt de quinconces qui est plantée d'arbres si ordonnancés qu'on s'y perd. Autour de soi, quand on s'y trouve, s'ouvre une multitude de chemins. Pour Paul (le personnage joué par Grégoire Leprince-Ringuet lui-même), cela fait écho aux atermoiements du cœur, aux difficultés d'aimer ou d'apprendre à aimer en vérité. Qu'en est-il d'Ondine qui, après qu'il l'ait fait littéralement tomber, décide de le laisser parce qu'elle le trouve trop distant ? Et qu'en est-il de Camille l'ensorceleuse que Paul rencontre un peu plus tard à la faveur de la séquence la plus extraordinairement mise en scène de tout le film ? Après un échange de propos des plus étranges avec un sans-abri qui prend figure d'augure, Paul croise le chemin de Camille dans une voiture de métro, la main du premier s'approchant autant qu'il est possible de la main de la deuxième enserrant une barre. Paul prend ensuite la belle inconnue en filature jusqu'à entrer à sa suite dans une salle de spectacle où tous deux se rejoignent au milieu de danseurs. Et c'est sur les toits que tous deux se retrouvent enfin pour parachever leur alliance. Et pour mettre fin à une séquence dont il faut louer tous les aspects, sans oublier l'extraordinaire bande-son.
    Cela étant dit, même dans ses scènes les plus ordinaires, voire triviales (un échange de propos dans un escalier ou sur un trottoir de Paris), le film n'est jamais banal. Il respire tout entier de son empreinte poétique. Et il s'ouvre, de ce fait, sur de multiples interprétations. Ne peut-on pas voir dans les blessures infligées au coude et aux genoux d'Ondine, du fait de sa chute, et à la joue de Camille qui s'orne d'une balafre d'où s'écoule une goutte de sang qui désenvoûte, ne peut-on pas voir dans ces blessures des ouvertures sur le mystère des êtres, sur les cœurs insondables qui y palpitent ?
    Ce qui est sûr, en tout cas, c'est que ce film gagnera à être revu autant de fois qu'on le voudra. Semblable aux meilleurs recueils de poésies qu'on peut lire et relire tout au long de sa vie sans jamais en épuiser la substance, « La Forêt de Quinconces » également, j'en suis persuadé, fait partie de ces films qu'on n'a jamais fini de redécouvrir et qui n'ont jamais fini de surprendre (parce qu'ils ne se donnent jamais tout entier, comme les poésies). Et ces films-là sont les meilleurs de tous ! 8,5/10
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 386 abonnés 4 208 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 mai 2016
    Grégoire Leprince-Ringuet aime les mots. L’acteur a joué pour Honoré, Téchiné ou encore Guédiguian. Mais il était temps pour lui d’écrire cette poésie cinématographique. La Forêt de Quinconces n’est pas un simple triangle amoureux comme on en voit beaucoup. C’est une œuvre au phrasé particulier, constitué exclusivement de vers, en alexandrins ou en octosyllabes de huit pieds. Cet objet inattendu, qui finalement se rapproche un tant soit peu, à quelques œuvres de Demy, a été présenté en Séance Spéciale au Festival de Cannes 2016. Ce conte rythmé plus par la diction que par la mise en scène, a quelque chose d’attachant. Alors que le cinéma français cherche toujours plus de réalisme, le réalisateur nous bouscule dans une bulle parnassienne, voir même chimérique. Malgré ces efforts incontestablement admirables, La Forêt de Quinconces est laborieuse dans sa construction. Cet insolite lyrisme a, somme toute, peu d’aisance à tenir le cap sur près de deux heures. Grégoire Leprince-Ringuet a pourtant le mérite d’ouvrir la question de l’acceptation du cinéma d’aujourd’hui à s’ouvrir à autre chose à l’intemporalité de la langue de Baudelaire.
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    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 185 abonnés 5 188 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 juin 2016
    Un film bourré d'excès. Un langage ultra châtié et un amour de la démesure. Un kaléidoscope musical assez atroce et quelques scènes vraiment insupportables. Assez prétentieux dans le style et laid dans ses images.
    pierre72
    pierre72

    142 abonnés 367 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 juin 2016
    Aller voir un film dont la moitié des dialogues sont en alexandrins, pour moi, pas vraiment amateur de poésie, c'est une performance. Y prendre un certain plaisir et en sortir en ayant l'impression d'avoir vu un film assez gonflé, en plus d'être réjouissant, mérite d'être noté.
    Sans être le chef d'oeuvre du mois, " La forêt de quinconces", déploie une originalité et une grâce assez étonnantes. Sur le thème rebattu du triangle amoureux, GLR ( Grégoire Leprince-Ringuet) pose une patte littéraire que l'on sent nourrie de poésie ( Paul Valéry entre autre) mais aussi de contes, de théâtre et de cinéma. Bizarrement j'ai pris un plaisir fou à écouter cette langue, ces rimes parfois pauvrettes, mais qu'importe, ces sonorités un peu désuètes, ces mots de moins en moins employés ( sortilège, chimère, ...), cette langue de tragédie apposée à une univers mi moderne, mi fantastique. Les comédiennes surtout y sont pour beaucoup, le texte sortant naturellement de leur bouche, sans emphase, ni déclamation. Et même si l'histoire est cousue de fil blanc, elle est émaillée de moments assez réussies. Ainsi, on avait connu GLR (Grégoire L....) chantant chez Christophe Honoré, on le retrouve ici, dansant, dans une scène de séduction pleine de sentiments et d'énergie. J'ai apprécié aussi les deux apparitions de Thierry Hancisse ( de la Comédie Française), formidable en clochard céleste dans deux séquences pourtant un poil trop appuyées. Le film avance ainsi de petits morceaux de bravoure en scènes plus banales, tissant un portrait de jeune homme qui se brûle les ailes auprès de deux jeunes femmes loin d'être innocentes et qui, hésitera longtemps avant de trouver la direction à donner à sa vie d'adulte.
    La fin sur le blog
    Jean-Patrick Lerendu
    Jean-Patrick Lerendu

    15 abonnés 152 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 juillet 2016
    Paul est tre amoureux et voit sa compagne l'écarter car son amour est trop envahissant.. Il va vouloir retrouver l'amour à travers Camille qui va construire ac ec lui une autre forme d'amour. Beaucoup de poésie à travers ce film plein de lenteur et de charme et des acteurs bien attachants.
    Dom Domi
    Dom Domi

    44 abonnés 306 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 septembre 2016
    Un film entre réalités et rêves, amour et haine, vie et mort. On plonge au plus profond de l'état amoureux qui se termine par la séparation des protagonistes et le deuil de cet amour. Tout prend alors une forme et une tournure particulières et les émotions prennent une force qui peut conduire au pire, au geste ultime et fatal. Ce film retrace le parcours chaotique d'un amour fusionnel qui prend fin au début et donne le ton à l'ensemble du film. Les dialogues sont " ciselés " et mis au service de la langue et des rimes. Les images défilent avec beaucoup de symbiose avec la situation et les mots. Bref un grand film pour celui qui a connu au moins une fois dans sa vie les sentiments et les idées qui prennent le pouvoir dans la tête par le manque issu de la fin d'un amour.

    dom
    Dora M.
    Dora M.

    67 abonnés 501 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 mai 2020
    La 1ère scène de dialogue prend aux tripes, c’est une rupture, les mots choisis sont durs mais c’est très beau, bien dit, intense, bien interprété.
    Ondine vient de quitter Paul. Pour se venger des femmes, celui-ci fait la rencontre de Camille et passe la nuit avec elle. A son réveil, la jeune femme lui jette un sort pour qu’il ne lui appartienne plus qu’à elle.
    Il y a de très belles images, notamment la forêt, géométrique, les plans sont très esthétiques, soignés.
    La musique envahit l’espace mais dans le bon sens du terme, elle donne du sens aux images et permet de faire monter une tension, c’est très beau. Une très belle scène est notamment celle de la rencontre entre Paul et Camille, dansant sur une scène, c’est très poétique et théâtral.
    Le théâtre est d’ailleurs très présent dans la façon de décliner les “répliques” (la plupart du temps les personnages échangent en vers), basés sur des poèmes écrits par Grégoire Leprince-Ringuet. J’ai d’ailleurs cru d’abord à la revisite d’une oeuvre classique que je ne connaissais pas ou à la relecture d’un mythe ancien ou d’un conte.
    On retrouve d’ailleurs tous les ingrédients du conte : le personnage ami, l’élément perturbateur, la magicienne, les objets symboliques donnant du pouvoir à ceux qui les possèdent, ainsi que le fantastique et le merveilleux.
    Les dialogues en vers donnent une dimension classique, tragique et dramatique que j’ai aimée.
    J’ai peut-être regretté que ce côté théâtral soit un peu trop présent, je me demande s’il n’aurait pas pris encore plus de sens uniquement sur les scènes particulièrement importantes, charnières. D’ailleurs, lorsque les personnages de Paul et Ondine discutent entre eux, ce qui n’arrive qu’à certains moments du film, l’utilisation des vers me semble plus naturelle, je ne sais pas si cela vient de l'interprétation des acteurs ou du fait qu’on est sur des scènes très intenses et importantes pour les deux personnages. J’ai en tout cas particulièrement aimé leurs “affrontements”.
    Le film aborde plusieurs thèmes et amène à la réflexion : sur l’amour, la haine, le pardon, la rupture, la continuité de l’amour, la recherche de celui-ci…
    L’histoire est classique mais elle prend une dimension intéressante et originale de par son interprétation en vers qui amène une tension et une dramaturgie, j’ai également aimé le fait que ce conte se déroule dans une période moderne, ce qui crée un décalage entre le fond et la forme.
    Mansford K.
    Mansford K.

    2 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 22 septembre 2020
    D'ordinaire, j'apprécie ce genre de petits films sortis dans l'anonymat, oubliés, d'auteur et avec un petit budget. Souvent, on découvre de petites perles. Alors si en plus on vend ces films comme des hommages à la poésie, alors je me précipite dessus.!.. Bien mal m'en a pris pour "La forêt de quinconces". J'ai dû regarder ce film à trois fois avant de réussir à le terminer. Et pour finir? Pour une "œuvre" que j'ai trouvée d'une prétention et d'un narcissisme rarement vus dans le cinéma. Car ce film suinte le narcissisme, d'un réalisateur qui s'écoute et semble se croire tellement bon qu'il se permet de réaliser des œuvres à la Cocteau sans en avoir le dixième du talent. Tout est à la fois arrogant et maladroit dans "La forêt de quinconces", que ce soit dans l'écriture plate et les vers, autant que la façon dont ceux-ci sont déclamés, que la façon dont les comédiens jouent (là aussi, ils s'y croient alors qu'ils sont pour la plupart mauvais - sauf Thierry Hancisse et Mayline Canto). On ne s'attache à rien dans ce film, car rien n'est à sauver et même pas l'intention qui pouvait être louable. C'est plat, sous-joué, mal réalisé (bonjour les faux-raccords), sans aucune surprise... et pourtant ce film se donne de grands airs. Après l'avoir vu, je me suis renseigné sur le réalisateur dont le nom ne me disait rien et j'ai fait le lien avec quelques films dans lequel il joue et pour lequel il m'avait marqué par son mauvais jeu tels "La princesse de Montpensier", '"Nos années folles" et surtout le très beau "Gloria Mundis"... Mauvais comédien, déjà, et autant mauvais réalisateur.
    zhurricane
    zhurricane

    84 abonnés 1 336 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 9 mai 2018
    Non non c'est juste pas possible de sortir un tel film, c'est du théâtre filmé. Pourtant j'aime plutôt le théâtre filmé, basé sur des dialogues. Ce qui fonctionne dans le théâtre, ne fonctionne pas dans le cinéma, si non c'est non on appel ça le surjeux. Mais là c'est juste pas possible, les dialogues sont jamais naturels, on a l'impression d'entendre des étudiants en théâtre récités leurs textes. Les 3 acteurs principaux sont juste horribles de nullité, en clair il nous offre une leçon de surjeux à vomir. Et en plus de cela, il faut que l'intrigue tombe dans un cliché de l'amour qui fait mal insupportable. Et pourtant je ne donne pas la note minimale à ce film, pour deux raisons. La première étant Thierry Hancisse qui dans le rôle du clochard est magistral, il surjoue mais jamais on ne tombe dans un artifice, ça c'est le talent, dommage qu'il est droit à même pas vingt minute. Et la deuxième raison c'est ses dialogues (en alexandrin et avec des rimes) qui prie séparément, sont supers beaux, mais déclamé par des acteurs aussi mauvais ça donne envie de baffer les acteurs, quel dommage.
    pelu
    pelu

    17 abonnés 1 076 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 19 mai 2019
    Alors là je n’ai pas pu ! Je me force a toujours essayer d’aller au bout des films et peu importe le genre... mais après 45 min de visionnage je n’en pouvais vraiment plus. Un ennuie top niveau ! Une erreur! Le film ne me parait même pas fini on dirait que le montage n’a pas été fait et je ne trouve pas que l’ensemble soit onirique poétique.... plutôt pathétique , voir même on est un peu gêné par le manque de précision de l’ensemble. Du théâtre filmé ??? Désolé mais le résultat n’est pas convaincant à éviter
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    702 abonnés 3 053 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 juin 2019
    On reconnaît de çà de là les plumes de Corneille et de Valéry, revigorées avec talent par Grégoire Leprince-Ringuet en dépit d’une difficulté évidente à mêler le vers d’un autre temps pour chanter les affres de la passion amoureuse, eux éternels. C’est dans ses tentatives que La Forêt de Quinconces fonctionne et intrigue : constamment en hésitation, tirant de son imperfection congénitale une puissance lyrique et poétique, le film s’autorise pauses et digressions, exige du spectateur un effort pour non percer ses secrets mais seulement errer, à l’instar du protagoniste principal, dans l’instabilité d’un cœur qui bat. Et le segment médian, sans raison apparente, constitue à ce titre la partie la plus réussie d’un long-métrage parfois envoûtant mais guère abouti, la faute, certainement, à l’incapacité que rencontre Leprince-Ringuet à se laisser de côté pour, ne serait-ce qu’un temps, accueillir ce hasard pourtant répété par le mendiant sphinxial. Tout le film, de sa construction éclatée aux changements de cadre, donne l’impression d’un hasard trafiqué, d’une œuvre persuadée d’être ventilée et qui, néanmoins, ne supporte pas le lâcher-prise.
    1ou2mo
    1ou2mo

    9 abonnés 468 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 25 juin 2016
    Un galop d'essai , des acteurs déclamant sur la toile en versifiant à tout va. Le côté insolite intéressera certains probablement mais ce décalage en fin de compte est gênant et n’enthousiasme pas trop. Des comédiens sur les planches recueilleraient certainement plus d’adhésion avec les mêmes textes.
    Shiba Otoko
    Shiba Otoko

    48 abonnés 294 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 juin 2021
    Un très grand drame romantique. Le ton et le propos résonnent comme dans la première moitié du XIX., avec des vers rappelant Vigny ou Baudelaire. Il en résulte un très grand charme anachronique pour ce film de l'amour désespéré.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 8 juin 2019
    Il fallait oser un film avec des dialogues en alexandrins, dans un Paris contemporain! Pari reussi, charme des comediens, scenario poetique, situations presque fantastiques. On est embobine, malgre les maladresses: c'est 1er film d'un jeune comedien, soyons indulgents!
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