Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Un énergique spectacle de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
La Voix du Nord
par La Rédaction
Les acteurs déclament les vers avec un naturel qu’on leur envie. Les mots coulent, se transforment en musique. Et nous voilà entraînés dans un ballet sensible et unique.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Libération
par Clément Ghys
La Forêt de Quinconces emprunte à la caractéristique du «film d’acteur» (...). Mais tout cela, Leprince-Ringuet l’orchestre d’une façon très singulière, ouvertement théâtralisée, et qui rend ce premier essai d’autant plus attachant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Transfuge
par Ilan Malka
Les réserves que l'on pouvait avoir au départ s'envolent vite, et apparaissent comme des nécessaires phases d'évolution d'un vrai auteur en devenir, que l'on voit éclore au fur et à mesure d'un film dont l'âme nous hante.
Télérama
par Aurélien Ferenczi
La principale réussite du film tient à la façon dont il abandonne de manière fluide et répétée le réalisme pour basculer ailleurs, verbalement et visuellement (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Pascal Mérigeau
La tentative est ambitieuse et ne manque pas de charme, le réalisateur débutant y montre une maîtrise enviable, notamment dans une scène dansée qui fait exploser la musique de Tchaïkovski. Dommage que la magie fasse long feu, car le prétexte est trop maigre. Notre conseil : continuer, s’obstiner, ne pas lâcher.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un objet poétique non identifié, qui brûle du feu des sentiments dans une langue elle-même embrasée. Étrange, et parfois envoûtant.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Inégale mais audacieuse, sa mise en scène combine de purs moments de théâtre avec de bien belles envolées dansées. Une combinaison originale mais c’est surtout le texte qui fait la différence et fascine, fort de sa langue riche, libre, trempée de bout en bout dans un lyrisme fiévreux.
Le Monde
par Isabelle Regnier
Le premier film en tant que réalisateur du jeune acteur et chanteur est une fantaisie romantique en vers qui ne manque pas de souffle.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Les débuts de cinéaste du jeune comédien. Une étrange triangulation amoureuse en alexandrins (...) Par sa BO et une belle scène avec son chanteur, Feu! Chatterton participe à ce film qui brille d'un bel éclat romantique.
Libération
par Didier Péron
Le film paraît souvent plus écrasé par les contraintes qu’il se donne que vraiment porté par elles, sauf lorsque la langue classique est soudain rompue par la danse dans la belle séquence de rencontre avec Camille qui le conduit sur une scène de théâtre.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Éric Libiot
POUR : Oui, le film est foutraque, mais oui, le film regorge de singularités et d'audaces. C'est rare.
Sud Ouest
par Sophie Avon
L'univers de Grégoire Leprince-Ringuet est très loin du réalisme français, résolument du côté de l'onirisme et du théâtre, à cheval entre prose et versification, jour et nuit, violence et naïveté. Il s'en dégage une fraîcheur peu usuelle, quelque que chose qui sent l'artifice, les coulisses, le plateau – mais c'est aussi son charme pour peu qu'on ferme les yeux sur ce qui fonctionne moins bien.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Voici
par La rédaction
Un conte poétique éthéré.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Vouloir conjurer le théâtre filmé par du cinéma filmé, c’est non point s’ouvrir à la possibilité d’une alliance fructueuse, mais plutôt à la garantie de multiplier l’un par l’autre.
Positif
par Alain Masson
D'où bient l'insatisfaction que laisse le film ? C'est que sa forme impérieuse ne parvient pas à transmuter une matière trop banale (...).
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
CONTRE : Devant l'écran, on est gêné. Y avait-il un producteur dans la salle de montage ?
TF1 News
par Matthieu Houriez
Pari risqué, audacieux, pour un résultat qui hélas échoue à nous passionner.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Les Fiches du Cinéma
par Alexis Duval
Ambitieux dans son entreprise, le résultat se révèle être un naufrage.
Le Parisien
Un énergique spectacle de cinéma.
La Voix du Nord
Les acteurs déclament les vers avec un naturel qu’on leur envie. Les mots coulent, se transforment en musique. Et nous voilà entraînés dans un ballet sensible et unique.
Libération
La Forêt de Quinconces emprunte à la caractéristique du «film d’acteur» (...). Mais tout cela, Leprince-Ringuet l’orchestre d’une façon très singulière, ouvertement théâtralisée, et qui rend ce premier essai d’autant plus attachant.
Transfuge
Les réserves que l'on pouvait avoir au départ s'envolent vite, et apparaissent comme des nécessaires phases d'évolution d'un vrai auteur en devenir, que l'on voit éclore au fur et à mesure d'un film dont l'âme nous hante.
Télérama
La principale réussite du film tient à la façon dont il abandonne de manière fluide et répétée le réalisme pour basculer ailleurs, verbalement et visuellement (...).
L'Obs
La tentative est ambitieuse et ne manque pas de charme, le réalisateur débutant y montre une maîtrise enviable, notamment dans une scène dansée qui fait exploser la musique de Tchaïkovski. Dommage que la magie fasse long feu, car le prétexte est trop maigre. Notre conseil : continuer, s’obstiner, ne pas lâcher.
Le Dauphiné Libéré
Un objet poétique non identifié, qui brûle du feu des sentiments dans une langue elle-même embrasée. Étrange, et parfois envoûtant.
Le Journal du Dimanche
Inégale mais audacieuse, sa mise en scène combine de purs moments de théâtre avec de bien belles envolées dansées. Une combinaison originale mais c’est surtout le texte qui fait la différence et fascine, fort de sa langue riche, libre, trempée de bout en bout dans un lyrisme fiévreux.
Le Monde
Le premier film en tant que réalisateur du jeune acteur et chanteur est une fantaisie romantique en vers qui ne manque pas de souffle.
Les Inrockuptibles
Les débuts de cinéaste du jeune comédien. Une étrange triangulation amoureuse en alexandrins (...) Par sa BO et une belle scène avec son chanteur, Feu! Chatterton participe à ce film qui brille d'un bel éclat romantique.
Libération
Le film paraît souvent plus écrasé par les contraintes qu’il se donne que vraiment porté par elles, sauf lorsque la langue classique est soudain rompue par la danse dans la belle séquence de rencontre avec Camille qui le conduit sur une scène de théâtre.
Studio Ciné Live
POUR : Oui, le film est foutraque, mais oui, le film regorge de singularités et d'audaces. C'est rare.
Sud Ouest
L'univers de Grégoire Leprince-Ringuet est très loin du réalisme français, résolument du côté de l'onirisme et du théâtre, à cheval entre prose et versification, jour et nuit, violence et naïveté. Il s'en dégage une fraîcheur peu usuelle, quelque que chose qui sent l'artifice, les coulisses, le plateau – mais c'est aussi son charme pour peu qu'on ferme les yeux sur ce qui fonctionne moins bien.
Voici
Un conte poétique éthéré.
Cahiers du Cinéma
Vouloir conjurer le théâtre filmé par du cinéma filmé, c’est non point s’ouvrir à la possibilité d’une alliance fructueuse, mais plutôt à la garantie de multiplier l’un par l’autre.
Positif
D'où bient l'insatisfaction que laisse le film ? C'est que sa forme impérieuse ne parvient pas à transmuter une matière trop banale (...).
Studio Ciné Live
CONTRE : Devant l'écran, on est gêné. Y avait-il un producteur dans la salle de montage ?
TF1 News
Pari risqué, audacieux, pour un résultat qui hélas échoue à nous passionner.
Les Fiches du Cinéma
Ambitieux dans son entreprise, le résultat se révèle être un naufrage.