Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Bande à part
par François-Xavier Taboni
Paysages arides, soleil écrasant, Scope westernien en diable, sécheresse des scènes de violence : Toril acclimate le meilleur des classiques du cinéma populaire.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Ecrasés par le soleil autant que par un sort contraire, les personnages de ce premier film très prometteur se débattent au gré d’un récit bien agencé, qui recycle avec bonheur les codes du polar, et filmé avec une maîtrise enviable.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Un premier film prometteur, mélange réussi de réalisme social et de thriller sous tension.
Le Figaro
par Nathalie Simon
Un premier long-métrage qui mêle intelligemment polar noir et drame social.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Vincent Rottiers est impeccable dans le rôle de Philippe, qui veut aider son père à garder ses terres.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télérama
par Pierre-Julien Marest
Le toril, c'est le lieu où l'on enferme le taureau, avant qu'on le pousse à combattre. Ce premier long métrage est lui aussi filmé comme une lutte.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
par Eric Libiot
Un polar écrasé par le soleil du Sud qui joue bien la carte du réalisme, mais qui s'empêtre dans une trame prévisible. Excellent Vincent Rottiers (comme d'habitude).
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Malgré des personnages insuffisamment exploités, ce thriller sombre et fataliste se révèle efficace.
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Avec ce premier long métrage, Laurent Teyssier dresse un portrait sombre et ambigu de son Sud d'origine, entre thriller, drame social et western contemporain.
Libération
par Gilles Renault
Implanté dans un décor aride de western méridional où l’autorité ne se conçoit guère qu’au masculin, le modestement calibré "Toril" repose de surcroît sur un casting dominé par Vincent Rottiers (...) qui confirme là un profil adapté aux personnages renfrognés dont la sensibilité à fleur de peau s’épanouit (sic) dans la galère.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Michel Cieutat
Un film bancal, mais fort représentatif d'un certain malaise paysan en France, qui pourrait conduire à des comportements diversement désespérés comme celui-ci.
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Laurent Teyssier (...° signe une mise en scène jsute, mais peine à révéler autre chose qu'une plate histoire d'un jeune homme pris au piège de l'argent facile.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Si le film dégage un sens presque documentaire de l’espace (le marché de gros, l’arène...), les personnages et l’intrigue s’en tiennent aux conventions les plus élémentaires et empêchent de se plonger dans cette équipée méridionale.
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Au lieu de regarder le territoire qu’il a sous les yeux, le film ne cesse de rêver d’un ailleurs trop grand pour lui. Et ce ne sont pas ses invocations, au détour d’un dialogue, du Mississippi ou du Mexique qui lui permettent de dépasser son statut de téléfilm dopé à la taurine.
Bande à part
Paysages arides, soleil écrasant, Scope westernien en diable, sécheresse des scènes de violence : Toril acclimate le meilleur des classiques du cinéma populaire.
L'Obs
Ecrasés par le soleil autant que par un sort contraire, les personnages de ce premier film très prometteur se débattent au gré d’un récit bien agencé, qui recycle avec bonheur les codes du polar, et filmé avec une maîtrise enviable.
Le Dauphiné Libéré
Un premier film prometteur, mélange réussi de réalisme social et de thriller sous tension.
Le Figaro
Un premier long-métrage qui mêle intelligemment polar noir et drame social.
Le Parisien
Vincent Rottiers est impeccable dans le rôle de Philippe, qui veut aider son père à garder ses terres.
Télérama
Le toril, c'est le lieu où l'on enferme le taureau, avant qu'on le pousse à combattre. Ce premier long métrage est lui aussi filmé comme une lutte.
L'Express
Un polar écrasé par le soleil du Sud qui joue bien la carte du réalisme, mais qui s'empêtre dans une trame prévisible. Excellent Vincent Rottiers (comme d'habitude).
Le Journal du Dimanche
Malgré des personnages insuffisamment exploités, ce thriller sombre et fataliste se révèle efficace.
Les Fiches du Cinéma
Avec ce premier long métrage, Laurent Teyssier dresse un portrait sombre et ambigu de son Sud d'origine, entre thriller, drame social et western contemporain.
Libération
Implanté dans un décor aride de western méridional où l’autorité ne se conçoit guère qu’au masculin, le modestement calibré "Toril" repose de surcroît sur un casting dominé par Vincent Rottiers (...) qui confirme là un profil adapté aux personnages renfrognés dont la sensibilité à fleur de peau s’épanouit (sic) dans la galère.
Positif
Un film bancal, mais fort représentatif d'un certain malaise paysan en France, qui pourrait conduire à des comportements diversement désespérés comme celui-ci.
Studio Ciné Live
Laurent Teyssier (...° signe une mise en scène jsute, mais peine à révéler autre chose qu'une plate histoire d'un jeune homme pris au piège de l'argent facile.
Le Monde
Si le film dégage un sens presque documentaire de l’espace (le marché de gros, l’arène...), les personnages et l’intrigue s’en tiennent aux conventions les plus élémentaires et empêchent de se plonger dans cette équipée méridionale.
Cahiers du Cinéma
Au lieu de regarder le territoire qu’il a sous les yeux, le film ne cesse de rêver d’un ailleurs trop grand pour lui. Et ce ne sont pas ses invocations, au détour d’un dialogue, du Mississippi ou du Mexique qui lui permettent de dépasser son statut de téléfilm dopé à la taurine.