Après avoir lu les critiques spectateurs je me suis dit que ce film devait être merdique. Et bien j'ai été ravie d'avoir vu ce film très sympa, amusant et surtout très drôle. Un film fait pour bien se détendre. Bon ok, ce n'est pas ce que je préfère comme genre de films mais en tout cas je me suis vraiment bien marrée.
Film Drôle et incisif. Les non initié déclarent que les blagues sont un peu limite ou encore les qualifieront de raciste, ceux qui ont déjà regardé le Jamel Comedy Club comprendront l'humour de ce film. Pour son premier film Thomas Njigol a su prendre son envol. On attend le prochain avec impatience. Pour l'avant première en présence de l'équipe du film, on découvre une équipe humaine avec Karole Rocher souriante et épanouie et un grand Thomas Njigol (physiquement et mentalement) toujours aussi "vanneur" avec le public. En passant il y avait du beau monde dans la salle spoiler: (Mac Tyer, Mokobé, Benoît Assou Ekotto)
Fan de Thomas N'Gijol dont je partage pleinement le sens de l'humour, je revois toujours ce film avec plaisir. Comédie au scénario certes très conventionnel, sans aucune surprise, mais porté par un acteur/réalisateur qui trouve toujours le mot où le geste pour rire. N'Gijol à fait le pari de nous créer un looser bien surjoué, sans manquer de lâcher quelques petites piques bien placées. On aime ou on aime pas ce genre d'anti-héros aux traits exagérés, moi j'adhère et j'en redemande. Cette légèreté fait vraiment du bien !
Ce film n'est pas une pure merveille, mais on prend du plaisir à le regarder. On passe un bon moment à suivre un mec un peu superficiel qui a tous les problèmes du monde... La fin m'a bien fait rire, c'est vrai que l'humour est parfois de mauvais goût, mais certaines étapes sont réalistes voir probables donc hilarantes. FastLife est un film à voir ;)
Je pensais voir une comédie mais c'était plus un drame. Le personnage est tellement pathétique qu'il donne envie de pleurer. Il ne vit que des galères catastorphiques et sa vie est juste minable. Il n'y a que deux ou trois moment de léger rire. Certaines scénes sont même émouvantes même si certains passage sont mal joués. Quand on s'attend à une comédie pour rigoler on n'a pas envie de voir une descente aux enfers d'un pauvre type paumé qui ne fait que des mauvais choix. Bref une très très mauvaise comédie mais un drame amère pas trop mauvais si c'est ce qu'on veux voir.
Si Thomas Ngijol n'avait pas participé à l'écriture et à la réalisation du Crocodile du Botswanga, c'est parce qu'il préparait son premier film en solo. Ce film c'est Fastlife que l'on peut découvrir sur les écrans à partir du 16 juillet 2014. Une nouvelle comédie dans lequel l'humoriste donne une nouvelle fois son meilleur.
Il y a sept ans Franklin Ebagé remportait la médaille d'argent aux Jeux Olympiques connaissant ainsi la gloire. Depuis il essaye de vivre de cette notoriété aux crochets de sa copine mais lorsque celle-ci lui annonce qu'elle est enceinte, l'ancien athlète va devoir reprendre sa vie en main et tout faire pour décrocher une nouvelle qualification pour les prochains Jeux.
A force d'apparaître au cinéma en duo avec Fabrice Eboué, on en oubliait presque que les deux hommes n'étaient que deux complices du Jamel Comedy Club et que c'est chacun en solo qu'ils continuaient leurs carrières sur scène. C'est aussi en solo qu'il réalise et tient la tête d'affiche de Fastlife aidé pour le scénario par Mohamed Issolah.
Le personnage principal de Fastlife n'est pas sans rappeler celui que Thomas Ngijol jouait déjà dans Case Départ. Un looser de banlieue comme à l'air de les affectionner tout particulièrement l'humoriste. Le genre de pauvre type trop sur de lui qui pense être un grand athlète alors qu'il doit sa seule victoire à un concours de circonstance bénéfique. Totalement immature, il traîne sa loose en profitant de ses proches à chaque occasion.
Dans la veine des comédies à la Judd Apatow, Thomas Ngijol ne cherche pas à enchaîner les vannes mais propose une histoire dont les situations peuvent prêter à sourire et souvent franchement se marrer. L'histoire suit une trame classique de comédie avec un personnage dont la vie va connaitre un bouleversement qui va le faire toucher le fond avant de remonter. Une quête d'identité qui ramène à nouveau l'acteur en Afrique avec pour un retour aux sources sur les terres du Cameroun pour quelques scènes vraiment très drôles.
Une fois de plus Thomas Ngijol démontre ses talents de comédiens de cinéma, déjà impeccable en dictateur africain dans Le Crocodile Du Bostwanga, son personnage d'athlète raté qui traîne sa loose est une nouvelle fois très amusant. Il s'est également bien entouré avec surtout un Olivier Marchal plus drôle que jamais en exploitant en poulet qui offre son sponsoring. Sa compagne à la ville, Karole Rocher tient le même rôle à l'écran et renvoie bien la balle à l'humoriste dans leurs scènes de disputes.
Si il faut trouver un point noir à ce Fastlife ce serait la présence trop importante du rappeur Kaaris qui se prend au sérieux avec ces chansons aux paroles pourtant ridicules. Ce sont bien malheureusement les vrais titres de l'artiste, un peu d'auto-dérision aurait été la bienvenue pour faire écho au personnage de looser joué par Thomas Ngijol. Au final seuls les fans du rappeur seront content de le voir ici alors que les autres s'en seraient bien passé.
Toujours aussi drôle, Thomas Ngijol est une nouvelle fois impeccable dans cette nouvelle comédie. Dommage que le scénario un peu trop convenu et mou ne donne pas le matériel nécessaire pour faire de Fastlife une comédie inoubliable. Sans égaler l'humour et l'originalité de Case Départ, cette nouvelle histoire saura certainement satisfaire tous les fans de l'humoriste.
FAUX DEPART. Franklin Ngijol sans son ami Eboué ne fait pas un film brillant. Les séquences sportives sont ratées et seulement quelques gags sont bien trouvés. Une mention à Olivier Marchal surprenant.
L'acteur m'a déçu sur beaucoup de point, je penser pas que il y aurais de tels vulgarité de sa part car je suis allez en famille !! Et en plus faire salir l'islam juste pour le fun je trouve pas ça correct !!
Heureusement que la deuxieme partie du film est plus enleve que la premiere car on ne rit pas pendant cette premiere partie. Si encore la denonciation du sport business , du rap bling bling avait était virulente , ca aurait pu passer mais la non , c'est tres gentillet. Un bon point pour olivier marchal pour une fois bon.
Franchement déçue, cette fois-ci vraiment trop caricatural, ce doit être du 250 ème degré, que vient faire Karole Rocher dans cette galère ( même si c'est la compagne de Thomas Ngijol)?
voilà , je le note 1/5 , le 1 c'est pour les quelques scènes bien trouvé comme une parodie du genre de scène de fin à la "Social Network" , mais a part quelques idées bien trouvées le film se répète , c'est long , trop long alors que le film dure 1h30 , j'aurais jamais cru dire ça d'un film qui dure 1h30 , pendant plus d'une heure on regarde juste les caprice d'un adulescent de 35 ans et le film bouge juste pendant les 10 dernières minutes . pendant un moment je me demandais si le film avait un but , j'avais l'impression que c'était un film qui partait d'un point A et qui allait finir au même point A , sans progression quelconque . Bref je le dé-conseil , il n'est pas nul non plus , mais sachez que ce film pouvait se résumer en 15 minutes et donc que les 3/4 du film sont juste du remplissage , il ne se passe rien . bref 4/20