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Thomas Ngijol démontre une nouvelle fois son gros potentiel, devant et derrière la caméra. Son grand film est sans doute encore à venir… et c'est une perspective réjouissante.
Comme le scénario ne se soucie guère de vraisemblance sportive, il manque à "Fastlife" la fluidité qui lui aurait permis de retourner tout à fait à son avantage les métaphores sportives. Heureusement, la double pirouette de l'épilogue permet à Thomas Ngijol de se classer parmi les espoirs prometteurs.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Pour son premier film, le comique ne s'épargne rien, mais grossit tant le trait que son personnage est plus désagréable qu'attachant. Reste quelques moments drôles...
(...) un avatar de comédie générationnelle vite consommé, vite oublié, à moins d’avoir l’âge d’en ressasser les dialogues dans les cours de récréation de France, de Navarre et du bled.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Express
Voir le site de L'Express.
Le Parisien
Thomas Ngijol, 35 ans, passe à la réalisation avec cette comédie bien ficelée, fort drôle (...).
Les Inrockuptibles
Ngijol maintient le rythme sous haute tension avec un sens très téméraire du malaise.
Public
Une comédie décalée et désopilante.
Closer
Une comédie sympathique.
Franceinfo Culture
Thomas Ngijol démontre une nouvelle fois son gros potentiel, devant et derrière la caméra. Son grand film est sans doute encore à venir… et c'est une perspective réjouissante.
Le Monde
Comme le scénario ne se soucie guère de vraisemblance sportive, il manque à "Fastlife" la fluidité qui lui aurait permis de retourner tout à fait à son avantage les métaphores sportives. Heureusement, la double pirouette de l'épilogue permet à Thomas Ngijol de se classer parmi les espoirs prometteurs.
Les Fiches du Cinéma
Quelques gags tombent parfois à plat, mais certains font mouche. L'énergie et la sincérité de cette “no success story” aussi.
Metro
Premier film en solo derrière la caméra pour Thomas Ngijol qui signe une comédie dans l’air du temps.
Télérama
Il séduit par son ultracontemporanéité (...) Thomas Ngijol a le potentiel pour n'être pas qu'un acteur comique.
Critikat.com
Ce qui convainc le moins dans "Fastlife" est la posture adoptée par Ngijol comme réalisateur face à ce spectacle de la "lose" auto-centrée.
La Voix du Nord
L'évolution du personnage se révèle bien mince et l'agacement qu'il provoque contamine le film.
Le Journal du Dimanche
Un film fast-food sur la génération Twitter rapidement digéré et oublié.
Première
Le principal problème réside ici dans l'incapacité du scénario à rendre attachant un personnage de pur connard antipathique jusque dans sa rédemption.
Studio Ciné Live
(...) ce film se déploie dans une naïveté confondante, voire gênante, (...).
Voici
Pour son premier film, le comique ne s'épargne rien, mais grossit tant le trait que son personnage est plus désagréable qu'attachant. Reste quelques moments drôles...
aVoir-aLire.com
(...) un avatar de comédie générationnelle vite consommé, vite oublié, à moins d’avoir l’âge d’en ressasser les dialogues dans les cours de récréation de France, de Navarre et du bled.
Le Dauphiné Libéré
Sur un sujet rebattu, une comédie qui peine à trouver son rythme et un comique qui ne parvient pas à faire mouche.