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Ju22
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3,0
Publiée le 27 août 2019
Un très beau film, les images sont toujours aussi magnifiques que dans les précédents et j’avais vraiment hâte de retrouver tous ces personnages que j’adore depuis le premier film surtout Krokmou évidemment. J’ai été en revanche un peu déçue de l’histoire on voit très peu le fameux monde caché et la furie éclair est un peu trop distante des autres elle n’a même pas de nom je trouve ça un peu dommage. Malgré tout c’est un très beau film qui mérite d’être vu, il conclue très bien la fin de cette saga et offre beaucoup d’émotions.
J'ai passé un bon moment... Techniquement très bien fait... Images et son top...
- - - Un monde caché complètement inexploité... quel dommage... Un combat de fin trop mou... Cela aurait pu être bien plus épique pour le dernier volet de la saga !!! Une belle fin mais un peu expédiée à mon gout... Personnages secondaires sous exploités : Valka et Eret
Grand fan de la première heure, je ne peux que rester sur ma faim, tant les premiers épisodes étaient remarquablement construits, beaux, et émotionnellement forts.
On a l'impression d'un film bâclé, trop court, d'une musique pas renouvellée et de personnages ayant perdu leur intérêt. Le seul duo qui semble désormais compter: Harold et Krokmou.
Pour le film bâclé/trop court: spoiler: la pression ne monte pas , le méchant n'est pas approfondi alors que c'est LE chasseur qui a tué tous les Furys Nocturnes. Son armada n'a aucun intérêt puisqu'elle ne joue aucun rôle. Ses pièges d'une grande intelligence sont déjoués avec une facilité déconcertante. Et le peuple de Beurk ne se bat pas !!!!!!
La bande son ne semble pas renouvellée, ce qui était très appréciable dans le 2.
Les personnages sont effacés, vidés de leur substance, parfois grotesque. Le film tente de faire passer tous les jeunes pour des adolescents obsédés et abrutis, alors qu'ils avaient su montrer auparavant du courage et des raisonnements. Certains gags sont drôles spoiler: (Barbe de kognedur) , d'autres très moyennement (spoiler: ego de Rustik ). Pour ce qui est de Valka, elle est effacée egalement.
Alors oui, l'histoire est jolie, on aime toujours Krokmou spoiler: et on adorera ses petits , mais le film manque de piquant, c'est dommage.
J'ai vu un film... qui clôture la saga de la série Dragon. On y retrouve tout le foisonnement des 1er épisodes et aussi une certaine maturité dans la narration. Les questions de fond sont fortes et importantes, car il est démontré que tout est éphémère, gagner, perdre, re-gagner, et peut-être perdre, voilà les défis des la vie. Ensuite ce qui fait la magie de ce film, ce sont les images d'une qualité époustouflante. Certaines scènes sont carrément sublimes, notamment dans le pays des dragons... On y retrouve la patte de Cameron dans Avatar... La limite du film est toutefois que le fil de la narration est totalement prévisible.. Les choix qui s'imposent aux personnages, les réactions des différents personnages et les situations. Donc en conclusion, un bon moment pour les petits et les grands... A voir car très fort...
Un peu déçue par ce dernier volet. Je m'attendais à voir plus de ces magnifiques images du monde caché, d'entrer définitivement dans l'univers des Dragons mais il n'en est rien. Le méchant tombe un peu plat et on a l'impression de suivre 2 histoires en même temps. Dommage
Le premier film nous faisait entrer magnifiquement dans cet univers et nous attachait à Harold et Krokmou, le second approfondissait les liens entre les personnages autour d'une intrigue plus mature. Ce troisième film est la conclusion de l'aventure d'Harold et il n'est, hélas, pas à la hauteur des deux précédents. L'intrigue est terriblement simpliste et mince, à tel point qu'il a fallu greffer une romance pour la gonfler. Le souci, c'est que l'intrigue principale se base sur une poursuite, donc une urgence et la romance vient tout simplement mettre y un gros coup de frein. Ce qui donne également lieu à un lot d'incohérences. Le méchant est intéressant, au moins au même niveau que celui du précédent film et son charisme doit surtout à sa VF qui est celle de Féodor Atkine. Mais là encore, son plan est quelque peu brumeux et ses actions ne sont pas cohérentes avec son idéologie. La musique de John Powell a, quant à elle, bien évoluée, de nombreux nouveaux thèmes, toujours aussi grandioses, bien que moins mélodieux. La BO atteint cette maturité que ce film perd, à regret. J'ai beaucoup moins rigolé, à peine souri, tant l'humour a été pensé pour les plus jeunes exclusivement, contrairement aux autres films qui étaient plus subtils. Ce qui rend les personnages plus agaçants et idiots alors qu'ils sont pourtant devenus des adultes. Reste une animation toujours au top, de très belles images et, bien sûr, la fin inévitablement émouvante...spoiler: mais gâchée dans ses ultimes minutes par ce besoin (dispensable) de ne pas laisser le jeune public en larmes ... L'aventure d'Harold et de Krokmou s'achève donc avec une sensation douce/amère et ma note aurait été plus basse si ce film n'avait pas été la conclusion d'une trilogie qui a su se montrer plus réussie et audacieuse que les derniers Disney sur de nombreux points. Quel dommage.
Suite tant attendue, on espérait que notre furie nocturne célibataire puisse trouver sa compagne ce que l'affiche du film met en fil conducteur. Pour éviter la note à rallonge, he me suis ennuyé malgré les graphismes magnifiques et mon amour pour les précédents volets. Où est le scénario? La trame n'est pas logique, les nouveaux personnages sont pas ou peu fouillés.... un méchant chasseur pas trop charismatique affole notre héro, notre groupe de boyscout fleurent l'amateurisme et on les sents jamais en danger, l'humour est un peu lourd, la trame tourne autour de la famille et de la reproduction, la quête de l'amour. Limite, l'histoire avec ce nouveau chasseur n'a aucun intérêt pas plus que ce monde caché qui apparait de nul part et en contradiction avec la personnalité de Stoïk. Bref, ça tient pas super debout et on appréciera davantage les émotions et les envols du dragon et de sa belle et d'une fin que l'on sent venir depuis le départ.
Le début est bien mais après je trouve qu'il non pas suivi le but qu'il s avait dans le 2 car il voulais reunir tout les a Berk biensûr les dragon a la fin sont reunie mais a l'état sauvage caché des viking groosse déception pour ça dommage il est très bien,amour sinon
Une suite à voir mais très décevante par rapport au 2 premiers. C'est le 3ème volet (de trop) qui n'apporte rien de nouveaux. Un scénario bâclé et pas de bataille final ni de surprise. Je me suis dis "quel gachis d'argent". Toutes les filles de la salle pleuraient mais je n'ai même pas compris à quel moment fallait il être triste.
Ce troisième volet des aventures de Croquemou ne bénéficie pas d’un scénario irréprochable, loin de là. En fait, cette idée de se faire encore poursuivre par des chasseurs de dragons sent quelque peu le réchauffé. De même que cette histoire de monde caché qui a déjà été vue de nombreuses fois dans d’autres franchises en manque d’imagination. Heureusement, le cinéaste peut compter sur des personnages que l’on a appris à aimer et qui font passer le temps agréablement, sans qu’on ne soit jamais époustouflé. Par contre, les quinze dernières minutes finissent par convaincre en achevant pour de bon cette histoire, faisant donc des trois longs-métrages une trilogie tout à fait cohérente et finalement très émouvante sur les derniers instants. C’est ce sentiment d’achèvement qui fait plaisir à voir et qui suppose que l’on devrait enfin voir s’achever une série qui marche, sans réelle possibilité pour rebondir.
Dreamworks Animation boucle ici sa trilogie sur les aventures de ce jeune viking devenu dresseur de dragons. Son ami Krokmou, un dragon noir très rare de la race des furies nocturnes, va trouver une petite amie avec laquelle il va rapidement ressentir le besoin de vivre sa vie de façon indépendante désormais... On retrouve avec grand plaisir tous les habitants du village de Beurk ainsi que cette multitude de dragons plus colorés les uns que les autres, la recherche d'un monde idyllique caché au bout des océans rajoute également du piment à l'ensemble. Le rythme est bon et un nouveau tueur de dragons très méchant fait son apparition. Je dois avouer avoir été très légèrement déçu par ce troisième volet, il manque un je-ne-sais-quoi de la folie des deux premiers films pour en faire un vrai moment cinéma inoubliable. L'énorme point fort de ce numéro 3 est sans conteste la rencontre des deux dragons : séduction, jeux amoureux, parades... Délicieux ! Plutôt bon, mais légèrement en-dessous des 1 & 2. --> Site CINEMADOURG <--
Dragons 3 : le monde caché (How to train your dragon : the hidden world) de Dean DeBlois, avec les voix de Jay Baruchel, America Ferrara, Cate Blanchett (3D computer-animated action fantasy film, USA, 2019, 1h44
Si, au fil des années et des succès, Dreamworks a démontré qu’il pouvait à l’occasion tailler des croupières à Pixar...même si les mauvaises langues jugeront que c’est Pixar qui baisse et non Dreamworks qui monte ! En revanche, il est difficile de ne pas constater que la compagnie a la sale habitude de meubler les périodes de vache maigre avec des productions tout juste fonctionnelles (‘Baby boss’, ‘Les trolls’,...) et que dans le cadre de leurs franchises, ils réalisent toujours l’épisode de trop (‘Madagascar’, ‘Kung fu panda’,...). Aujourd’hui, on peut affirmer qu’il y a au moins une de leurs franchises pour sauver l’honneur et conjurer la malédiction, même si j’avoue que j’avais très peur pour ce troisième volet, systématiquement celui qui sombre dans la répétition et la facilité dans toutes les autres séries. Pas de panique, ‘Dragons 3’ tient largement la route : avec son nouvel antagoniste plus dragonophobe que jamais, le jeune Harold propulsé chef du village et qui doute, lui aussi plus que jamais, de ses capacités et Krokmou en pleine tempête hormonale depuis sa rencontre avec la dernière femelle de son espèce, il ne joue pas forcément la carte de l’originalité pour l’originalité et s’avère sans doute moins sombre et dramatique que le second volet (qui allait tout de même loin dans cette direction) mais il traite toutes ses contingences narratives avec intelligence, en n’oubliant jamais que son coeur de cible sont des enfants et des pré-ados, ménage quelques moments d’humour (pas toujours efficaces ceci dit, du moins quand il concerne les humains) et surtout, conserve l’incontestable panache qui a toujours été le sien lors des scènes d’action ou de voltige aérienne, ces dernières mettant pourtant moins l’accent sur la performance et plus sur la grâce des dragons et la beauté des paysages) Sans temps morts, sans fautes de goût notables, ‘Dragons 3’ n’a pas à rougir de la comparaison avec ses prédécesseurs et la probable conclusion finale apportée par cet épisode aux aventures des habitants de Beurk et de leurs dragons, il s’impose comme la meilleure trilogie jamais sortie des écuries Dreamworks. Il ne faudrait pas qu’un quatrième épisode monté pour raisons financières vienne ternir ce beau parcours sans faute : ce serait réellement dommage !
Etant très attaché à l'univers dépeint dans les deux premiers films, j'attendais avec impatience le troisième opus de la saga dragon. Malheureusement, j'ai été assez déçu par le film...
Pourtant tout commençais très bien. Dès la scène d'introduction, on ressent l'évolution des personnages et de l'univers suite aux événements des deux premiers films. De plus, l'animation est sublime et magnifiée par des décors impressionnants.
Donc jusque là, tout allait bien! C'est à partir de la première demi-heure que le film commence à devenir long et peu intéressant. Et cela dure trois quarts d'heure... On suit simplement l'histoire d'amour de Krokmou(le dragon) mise en parallèle avec l'histoire de Harold(le dragonnier). Tout ce segment casse le rythme du film et manque d'intérêt. Heureusement que Krokmou est drôle et mignon, sinon je me serrais endormi...
J'aurais mis une note bien plus sévère si la conclusion du film, et donc de la trilogie, n'avait pas été aussi bonne. Selon moi c'est la conclusion parfaite. Ils n'auraient pas pût faire mieux.
Donc, pour conclure, je conseil d'aller voir ce film si vous êtes attachés à cet univers. Mais attendez vous à voir un film moins bon que les deux précédents.
Trouvant les deux premiers fabuleux la bande annonce du 3 m’avais laissé dubitatif. Il était difficile, étant donné la qualité générale de la saga, de faire mieux, et sur ce sujet les avis divergerons. Pour ma part: si avec mon regard de garçon j’avais peur que la romance prenne une place trop importante dans le film: en ce qui me concerne ça a finalement été le cas. Le film est magnifique, nos amis toujours aussi divertissants, à la sortie de la séance j’ai passé un super moment: mais. Mais il s’agit d’un « Dragon 3 » et non d’un « La Belle Aux Bois Dormant », mais je l’ai apprécié oui mais à même titre que j’ai apprécié la Reine des Neige pour ses belles images et sa féérie générale, mais je l’ai apprécié oui mais en tant qu’adulte: l’enfant que j’ai été ne l’aurais pas aimé. C’est un film « Dragon » accès rose bonbon et romance, mignon, mais différent des attentes pour cette licence, un point que je pense important à souligner. L’ennemi, bien que vendu plus dangereux que jamais et comme très grosse menace, est bien moins menaçant que Drago, les enjeux moins important et le récit général moins abouti: Krokmou tombe amoureux et devient gaga, Harold ne sait pas comment réagir face à cette nouveauté chez son ami. Vraiment très beau, également très émouvant, les scènes d’actions toujours très bien chorégraphiées, mais bien moins rythmé, une animation et des expressions faciales au poil, une conclusion poignante, pour un très bon pour un film d’animation, mais surprenant pour un « Dragons », faisant penser à un conte Disney.
Presque dix années après avoir été amorcée, une trilogie parmi les plus marquantes du 21ème siècle se clôture enfin. Dragons marquait le passage à l’âge adulte d’Harold et narrait son amitié naissante avec un dragon mythique redouté de tous. Sa suite introduisait une figure maternelle complexe et questionnait une fois de plus les rapports entre l’homme et la nature. Ce dernier épisode, d’une beauté formelle étourdissante, réitère certains enjeux, mais enclenche surtout un processus d’émancipation conçu en miroir, impliquant tant le jeune leader des vikings que sa désormais célèbre Furie nocturne.