Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
L’acteur Salim Kechiouche, épaulé par des pointures comme Hichem Yacoubi et Abel Jafri, est tout autant une révélation que les cinéastes.
CNews
par La rédaction
Avec "Voyoucratie", FGKO offre une mise en scène puissante et à la réalité exacerbée.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Le Parisien
par Nathalie Revenu
La Haine, puissance 10.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
L'Obs
par Nicolas Schaller
Un petit thriller porté par une niaque qui fait oublier les à-peu-près d'un script somme toute convenu et par une urgence qui sert la peinture, d'une rare noirceur, de la violence en banlieue. Dans le rôle de Sam, Salim Kechiouche (vu dans " la Vie d'Adèle ", de Kechiche) électrise l'écran.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par E.M.
Si le scénario est assez basique, le film séduit par son atmosphère ultraréa- liste et léchée, mais aussi par la partition magnétique de Salim Kechiouche.
Transfuge
par Nathalie Dassa
La mise en scène est immersive, la musique électro bien rythmée, la texture visuelle plutôt soigneuse.
Télérama
par Jérémie Couston
Le film n’esquive rien, non plus, de la misère sexuelle, des amours et des amitiés impossibles qui sont aussi le lot des truands. Avec un réalisme et une noirceur rarement atteints, sinon par le Danois Nicholas Winding Refn à ses débuts.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Alain Zind
L'effet-choc recherché est amenuisé par un sentiment d’excès de gratuité, généré par une construction narrative maladroite et rebattue.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Fiches du Cinéma
par Corentin Lê Note
Petite crapule deviendra grande dans ce film de gangsters parisiens où les stéréotypes en tout genre se bousculent. Flics voyous, mafieux sanguinaires et surtout jeunes “rookies” arrogants garnissent un tableau au goût amer de déàj vu.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Le Monde
par Thomas Sotinel
La caméra à l’épaule et l’absence d’éclairage ne suffisent pas à insuffler un peu de modernité à ces péripéties prévisibles.
Les Inrockuptibles
par Léo Moser
"Voyoucratie" se contente de dérouler les poncifs du genre, recensant poussivement les éternelles étapes de l'engrenage de la violence.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Christophe Narbonne
Dans Voyoucratie, on jure tout le temps, on saigne beaucoup mais ce n’est pas suffisant pour faire passer des vessies pour des lanternes.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par La Rédaction
(…) la vraie faiblesse de Voyoucratie, bien plus que ses références américaines mal digérées, apparait dans (…) l’interprétation bancale de ses jeunes acteurs.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
L’acteur Salim Kechiouche, épaulé par des pointures comme Hichem Yacoubi et Abel Jafri, est tout autant une révélation que les cinéastes.
CNews
Avec "Voyoucratie", FGKO offre une mise en scène puissante et à la réalité exacerbée.
Le Parisien
La Haine, puissance 10.
L'Obs
Un petit thriller porté par une niaque qui fait oublier les à-peu-près d'un script somme toute convenu et par une urgence qui sert la peinture, d'une rare noirceur, de la violence en banlieue. Dans le rôle de Sam, Salim Kechiouche (vu dans " la Vie d'Adèle ", de Kechiche) électrise l'écran.
Le Journal du Dimanche
Si le scénario est assez basique, le film séduit par son atmosphère ultraréa- liste et léchée, mais aussi par la partition magnétique de Salim Kechiouche.
Transfuge
La mise en scène est immersive, la musique électro bien rythmée, la texture visuelle plutôt soigneuse.
Télérama
Le film n’esquive rien, non plus, de la misère sexuelle, des amours et des amitiés impossibles qui sont aussi le lot des truands. Avec un réalisme et une noirceur rarement atteints, sinon par le Danois Nicholas Winding Refn à ses débuts.
Critikat.com
L'effet-choc recherché est amenuisé par un sentiment d’excès de gratuité, généré par une construction narrative maladroite et rebattue.
Les Fiches du Cinéma
Petite crapule deviendra grande dans ce film de gangsters parisiens où les stéréotypes en tout genre se bousculent. Flics voyous, mafieux sanguinaires et surtout jeunes “rookies” arrogants garnissent un tableau au goût amer de déàj vu.
Le Monde
La caméra à l’épaule et l’absence d’éclairage ne suffisent pas à insuffler un peu de modernité à ces péripéties prévisibles.
Les Inrockuptibles
"Voyoucratie" se contente de dérouler les poncifs du genre, recensant poussivement les éternelles étapes de l'engrenage de la violence.
Première
Dans Voyoucratie, on jure tout le temps, on saigne beaucoup mais ce n’est pas suffisant pour faire passer des vessies pour des lanternes.
aVoir-aLire.com
(…) la vraie faiblesse de Voyoucratie, bien plus que ses références américaines mal digérées, apparait dans (…) l’interprétation bancale de ses jeunes acteurs.