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    Week-ends
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    1,9
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    83 critiques spectateurs

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    defleppard
    defleppard

    379 abonnés 3 373 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 octobre 2014
    Un homme quitte sa femme, un film qui tourne en rond. 2 étoiles.
    Pasthen
    Pasthen

    57 abonnés 1 028 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 octobre 2014
    Une histoire banale d'un homme (Jacques Gamblain plus insipide que jamais) qui quitte sa femme (Karine Viard plus hystérique que jamais), le tout sur une voix off post puber, probablement choisie par une personne malentendante. Rien, rien à dire, rien à voir dans ce Week-ends aux scènes répétitives à l'intérêt fort limité.
    Max Rss
    Max Rss

    198 abonnés 1 767 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 5 octobre 2014
    Je ne sais pas si ça vient de moi ou si c’est tout simplement une réalité, mais j’ai trouvé que ce film était d’une prétention tout simplement incroyable ! Prétention qui est d’ailleurs doublée d’une vacuité des feux de Dieu. Malheureusement pour lui, ce film ne peut se résumer que d’une seule et unique manière: une heure et demi de vide absolu qui essaie de se faire passer pour une œuvre d’auteur. Mais faut pas prendre le spectateur pour un canard sauvage. Filmer la mer, le brouillard, les arbres ou les cailloux sur la plage, ça sert à que dalle. Il n’y a rien. Le scénario est complètement inexistant. Les dialogues sont d’une platitude exaspérante. En ce qui concerne les acteurs, qui d’habitude sont très bons, c’est pas mieux. Noémie Lvovsky et Jacques Gamblin semblent s’ennuyer profondément. Lvovsky semblant même mal à l’aise. Quant à Karin Viard (actrice que j’aime beaucoup au passage), elle est la seule à croire un tant soi peu à l’entreprise. Le constat est sans appel: c’est un échec complet, et ce, à tous les points de vue. A part les paysages de la Haute-Normandie, il n’y a rien à conserver.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 29 septembre 2014
    D'une nullité consternante, atmosphère creuse avec de longs blancs aussi déprimants que les falaises. A moins d'être d'aussi mauvaise foi qu'un avocat , comment légitimer le temps et l'énergie perdu à cette oeuvre totalement inutile et sans attrait.
    On ressent même une curiosité malsaine a vérifier que rien ne se passe jusqu'à la fin.
    C'est impensable , c'est irréel et malheureusement, pas le seul film français depuis 5 ans où on s'ennuie ferme, sans histoires..
    Film totalement INUTILE.
    Seule excuse : La réalisatrice et les acteurs sont sous un redressement fiscal imminent.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 29 septembre 2014
    Ce film... n'a AUCUN sens ! Voici une belle représentation de ce que le cinéma Français peut faire de pire. Tout y est lourd, long, sans relief, la lumière est vide et les costumes désastreux. On se demande vraiment comment des producteurs peuvent investir 1 centime d'euro dans de tel désastre...
    Francois_C
    Francois_C

    9 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 septembre 2014
    Je souscris à peu près à la critique qui conclut :
    « Pas marrant comme histoire mais très intéressant. »
    La morale contemporaine qui dit « on n'a qu'une vie », ne se trompe pas en constatant cette évidence, mais elle comprend trop tard : on n'a pas le temps d'en vivre une deuxième.
    Je voulais aussi intervenir sur la question de la musique, qui a arrêté certains spectateurs : le film est construit sur les trois mouvements d'un concerto dont l'original est le quatre violons de Vivaldi op. 3 n°10 en si mineur, transcrit par Bach en la mineur (pour gagner un ton) pour quatre clavecins. La version entendue ici, dont je n'ai pas reconnu les interprètes, est une transcription pour quatre pianos, longtemps la seule qu'on pouvait entendre, et qui garde ses charmes.
    labellejardinière
    labellejardinière

    85 abonnés 274 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 septembre 2014
    Cela se revendique "auteuriste" (avec le commentaire "off" ad hoc), cela se veut sans doute chronique légère (mais avec "sens") sur la vie de couple et le temps qui passe.... C'est décousu, d'un ennui profond, avec des dialogues creux, et le casting, pourtant trois étoiles (Viard, Tukur, Gamblin...), ne donne rien de probant (les 2 acteurs ayant même droit à une scène à faire, "signifiante", particulièrement grotesque, vers la fin du film) . "Week-ends", ou le grand vide. Prétentieux.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 25 septembre 2014
    Encore un film franco français dans le milieu bourge bobo. Long,plat et ennuyeux.Que de bons gaulois au casting, pas de le moindre signe de la diversité qui a rebâti la France et qui sont autant de chance pour la France!!!!! A quand des quota qui imposerais un minimum de diversité qui représenterais non pas cette France Rassie, repliée sur elle même mais une France ouverte, humaine, républicaine!!!
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 31 août 2014
    Week-ends, le quatrième film d’Anne Villacèque est sorti en semaine. Un film dramatique français au titre évocateur, tel qu’on aime les moquer dans les médias. Un film intello diraient certains, je dirais un film intelligent.

    Christine (Karin Viard)et Jean (Jacques Gamblin), d’un côté, et Sylvette (Noémie Lvovsky) et Ulrich (Ulrich Tukur), de l’autre, forment les deux faces d’une même médaille. Les deux couples, qui se sont rencontrés dans les années 80, ne se sont plus quittés. Et tous les week-ends, ils se retrouvent dans leurs deux maisons qui se font faces, dans la campagne normande. Leur vie, réglée comme du papier à musique, est bouleversée par une fausse note : un matin, Jean quitte Christine. Sans trop d’explications, il veut « vivre ailleurs ». Les rapports changent alors imperceptiblement entre Christine et ses deux amis de toujours, qui doivent concilier l’amitié intacte qu’il porte à Jean, et leur envie d’adoucir la tristesse de leur copine. Ulrich, certainement marxiste, propose à Christine, de faire « du passé, table rase ».

    Week-ends, c’est un peu la douceur de vivre. C’est l’espérance d’un grand nombre, de pouvoir s’établir loin des villes, loin de leur folie. Ne serait-ce que pendant les congés ou les repos. Mais c’est aussi une illusion, car un rien peut faire s’étioler le rêve. Et puis, après tout, c’est aussi, dans le calme, l’occasion de réfléchir sur sa propre existence. Paradoxalement, la villégiature permet de se retrouver face à soi-même aussi sûrement que le travail peut aliéner. Et de là, de terribles constats peuvent surgir. C’est un peu ce qui arrive à Jean, qui se réveille un matin pour fuir ses responsabilités, vit un temps l’illusion de sa jeunesse perdue auprès d’une autre femme, pour finalement, revenir en arrière, dans un autre mirage. Jean n’est pas un mauvais type, Jean est un type perdu, qui réalise qu’il n’a jamais vraiment eu d’amis, et qui, dans sa solitude, affronte des tourments qui hante tous les mortels. Jacques Gamblin, pourtant rude gaillard, se retrouve ainsi, nu, dans la cuisine de ses amis, observant la nuit à travers les carreaux embués, sanglotant et implorant Ulrich de le serrer dans ses bras. Il y a ceux qui nient l’inéluctable, comme Ulrich, et ceux qui ne le supportent pas, comme Jean. Week-ends, au rythme des saisons, nous ramène à notre condition funeste. Nul ne peut échapper à cette vie qui s’écoule lentement entre nos doigts, et que nous berçons d’illusions. Cependant, tels Sylvette et Ulrich, qui écoutent un soir à leur fenêtre Jean jouer la Casta Diva de l’opéra Norma de Bellini, on doit apprécier la beauté de chaque instant. Celle-ci réconforte toujours les cœurs sensibles et mélancoliques. Pendant ce temps, leurs enfants vivent l’innocence de ne pas connaître, encore, ces angoisses que l’on acquit trop vite en vieillissant. Faisant de l’enfance, ce court moment d’éternité où la mort n’existe pas. Charlotte (Iliana Zabeth), la fille d’Ulrich et Sylvette, incarne cette insouciance perdue.

    Week-ends, est une œuvre sensible, illuminée par la froide lumière normande. Des scènes de la vie, simples certes, mais qui en sont l’essence même. Ce cinéma-là a été beaucoup décrié ces dernières années. C’est pourtant, le genre qui se rapproche le plus de nos poètes et le plus fidèle à son grand-frère, le théâtre. Le dénigrer, c’est souvent faire preuve d’insensibilité. Vouloir sa fin, pour des copies de copies formatées, c’est vouloir un cinéma dénué d’amour. Ce cinéma français-là, n’est peut-être pas fabriqué pour battre toutes les audiences, mais je suis convaincu qu’il ne peut pas, ne pas parler au cœur des Hommes.

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    Ciné2909
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    69 abonnés 1 638 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 mai 2014
    Un couple d’amis qui se séparent, ce n’est jamais facile à gérer et Week-ends propose ainsi une vision particulière de ce sujet. On s’installe ainsi dans leurs maisons de campagne où l’on partage volontiers en leur compagnie le café ou un bon gigot devenant ainsi les témoins privilégiés de la séparation entre Jacques Gamblin & Karin Viard. Cette dernière apporte un vrai dynamisme au film à tel point qu’on finit par s’ennuyer durant ses quelques absences à l’écran. Pas toujours évident à appréhender, on reste un peu confus devant ce film d’Anne Villacèque puisqu’on ne sait jamais vraiment s’il vaut mieux rire ou pleurer des situations dans lesquelles sont plongés ces personnages.
    ogerardin
    ogerardin

    15 abonnés 176 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 avril 2014
    Un petit manque sur la fin, même si l'on peut se dire et si cela m'arrivait. Les non dits, les faux semblants nous mettent mal à l'aise dans ce couple à la dérive.
    Pierre A
    Pierre A

    11 abonnés 1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 avril 2014
    Un film magnifique dont le sujet n'est pas le couple mais le malaise existentiel face à la vacuité de la condition humaine.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 28 mars 2014
    Je m'attendais à beaucoup mieux, surtout avec un tel casting. J'ai du mal à saisir la finalité de cette histoire...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 28 mars 2014
    Nul !!! pas de dialogue,des silences trop longs, pas d'histoire réelle enfin le vide complet. Dommage pour les acteurs...
    laure38
    laure38

    4 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 mars 2014
    Un film agréable et juste, Karin Viard et jacques Gamblin excellents comme d'habitude.
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