Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Entre film de genre et dénonciation, "Au nom du fils" trouve un ton original et séduisant. Son dénouement d’une cruauté incroyable est l’un des plus surprenants qu’on a vu depuis longtemps.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
L'Humanité
par Dominique Widemann
Le cinéaste belge Vincent Lannoo signe avec son comparse du Québec Philippe Falardeau une charge implacable et décalée contre l’aveuglement de la foi.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
"Au nom du fils" se situe dans le sillage d'un "C'est arrivé près de chez vous" et ne mérite pas d'être la cible d'une poignée de réactionnaires qui agitent le goupillon dès que l'on gratte là où ça fait mal.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Sandra Benedetti
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Noémie Luciani
Le film, qui reste imparfait à plus d'un égard, souvent plus maladroit que ses intentions, ne tient pas moins son engagement avec un souffle inattendu au regard des difficultés de l'entreprise : il pose les bonnes questions, ou du moins repose avec des mots nouveaux les questions qu'on est peut-être las de se poser.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Gilles Renault
Mais, de bonne facture et fort bien épaulé par la composition d’Astrid Whettnall, tour à tour stoïque et déterminée, il se révèle aussi plus subtil qu’il pourrait y paraître dans sa façon de faire tomber tout son petit monde de Charybde en Scylla.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Jean-Baptiste Herment
Trop rigolard pour fonctionner au premier degré (le jeu inégal de certains comédiens n'arrange pas les choses), pas assez délirant pour virer à la série B jouissive, "Au nom du fils" finit par brader la crise de foi de son héroïne au détriment d'un pamphlet anticlérical un brin convenu.
Metro
par Marilyne Letertre
Politiquement incorrect, délectable (malgré une baisse de régime à mi-parcours), le film est porté par une sublime justicière vengeresse (Astrid Whettnall) à qui l’on donnerait volontiers le bon dieu sans confession.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Paris Match
par Yannick Vely
Dans ce cauchemar en soutane qui a atteint son but – agacer les intégristes qui ont protesté contre la sortie du film dans les salles françaises, démontrant ainsi l'utilité de son propos -, l’actrice Astrid Whettnall tire son épingle du jeu en mère aimante et déterminée.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par François Forestier
Vincent Lannoo, réalisateur bruxellois, ne recule pas, et traite le sujet de front. Servi par une actrice inspirée, Astrid Whettnall, le film ne se perd pas en recherche de style ou en fioritures : il va à l’essentiel. C’est du cinéma de combat, efficace et poignant.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Jérémie Couston
Sous le vernis de la farce acide, le film dénonce un tabou et un fléau : la pédophilie dans l'Eglise et l'omerta qui l'accompagne. En prêtre opportuniste, vivant aux crochets de ses ouailles fortunées, Philippe Nahon est, comme souvent, effrayant de bonhomie perverse.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Ursula Michel
Vincent Lannoo se situe indéniablement dans la veine réaliste trash d’un Rémy Belvaux, mais il manque de souffle et d’autodérision dans son traitement.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Elle
par Francoise Delbecq
On pense à "Kill Bill", bien sûr, mais malheureusement sans le panache et la fluidité qui font les grands réalisateurs. Dommage, on aimerait tellement que ce génie aussi arrive près de chez nous...
La Croix
par Arnaud Schwartz
Au-delà des scènes granguignolesques, « Au nom du fils » laisse filtrer une gravité et un propos plus intéressants que sa forme ne le suggère.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Autant le confesser, ce film très allumé qui emprunte à tous les genres, du western à la tragédie, laisse pensif. Seule la qualité de jeu des acteurs empêche de faire totalement une croix dessus.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Sylvestre Picard
Une mère flingue des curés pédophiles par vengeance. Sans être dépourvu d'ambition, ce film belge est bien caricatural et finalement de très mauvais goût.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
(...) une hyperviolence radicale et malaisée, qui paraît totalement déplacée dans le contexte d’une comédie déjà verbalement fortement audacieuse.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Entre drame et parodie, le film ne trouve pas le ton juste et enchaîne les invraisemblances.
20 Minutes
Entre film de genre et dénonciation, "Au nom du fils" trouve un ton original et séduisant. Son dénouement d’une cruauté incroyable est l’un des plus surprenants qu’on a vu depuis longtemps.
L'Humanité
Le cinéaste belge Vincent Lannoo signe avec son comparse du Québec Philippe Falardeau une charge implacable et décalée contre l’aveuglement de la foi.
Franceinfo Culture
"Au nom du fils" se situe dans le sillage d'un "C'est arrivé près de chez vous" et ne mérite pas d'être la cible d'une poignée de réactionnaires qui agitent le goupillon dès que l'on gratte là où ça fait mal.
L'Express
Voir le site de L'Express.
Le Monde
Le film, qui reste imparfait à plus d'un égard, souvent plus maladroit que ses intentions, ne tient pas moins son engagement avec un souffle inattendu au regard des difficultés de l'entreprise : il pose les bonnes questions, ou du moins repose avec des mots nouveaux les questions qu'on est peut-être las de se poser.
Libération
Mais, de bonne facture et fort bien épaulé par la composition d’Astrid Whettnall, tour à tour stoïque et déterminée, il se révèle aussi plus subtil qu’il pourrait y paraître dans sa façon de faire tomber tout son petit monde de Charybde en Scylla.
Mad Movies
Trop rigolard pour fonctionner au premier degré (le jeu inégal de certains comédiens n'arrange pas les choses), pas assez délirant pour virer à la série B jouissive, "Au nom du fils" finit par brader la crise de foi de son héroïne au détriment d'un pamphlet anticlérical un brin convenu.
Metro
Politiquement incorrect, délectable (malgré une baisse de régime à mi-parcours), le film est porté par une sublime justicière vengeresse (Astrid Whettnall) à qui l’on donnerait volontiers le bon dieu sans confession.
Paris Match
Dans ce cauchemar en soutane qui a atteint son but – agacer les intégristes qui ont protesté contre la sortie du film dans les salles françaises, démontrant ainsi l'utilité de son propos -, l’actrice Astrid Whettnall tire son épingle du jeu en mère aimante et déterminée.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Vincent Lannoo, réalisateur bruxellois, ne recule pas, et traite le sujet de front. Servi par une actrice inspirée, Astrid Whettnall, le film ne se perd pas en recherche de style ou en fioritures : il va à l’essentiel. C’est du cinéma de combat, efficace et poignant.
Télérama
Sous le vernis de la farce acide, le film dénonce un tabou et un fléau : la pédophilie dans l'Eglise et l'omerta qui l'accompagne. En prêtre opportuniste, vivant aux crochets de ses ouailles fortunées, Philippe Nahon est, comme souvent, effrayant de bonhomie perverse.
Critikat.com
Vincent Lannoo se situe indéniablement dans la veine réaliste trash d’un Rémy Belvaux, mais il manque de souffle et d’autodérision dans son traitement.
Elle
On pense à "Kill Bill", bien sûr, mais malheureusement sans le panache et la fluidité qui font les grands réalisateurs. Dommage, on aimerait tellement que ce génie aussi arrive près de chez nous...
La Croix
Au-delà des scènes granguignolesques, « Au nom du fils » laisse filtrer une gravité et un propos plus intéressants que sa forme ne le suggère.
Le Parisien
Autant le confesser, ce film très allumé qui emprunte à tous les genres, du western à la tragédie, laisse pensif. Seule la qualité de jeu des acteurs empêche de faire totalement une croix dessus.
Première
Une mère flingue des curés pédophiles par vengeance. Sans être dépourvu d'ambition, ce film belge est bien caricatural et finalement de très mauvais goût.
aVoir-aLire.com
(...) une hyperviolence radicale et malaisée, qui paraît totalement déplacée dans le contexte d’une comédie déjà verbalement fortement audacieuse.
Les Fiches du Cinéma
Entre drame et parodie, le film ne trouve pas le ton juste et enchaîne les invraisemblances.