Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
CNews
par La Rédaction
Pourvu d’un suspense implacable, le film use en outre d’un humour noir mordant pour accrocher le spectateur.
La critique complète est disponible sur le site CNews
CinemaTeaser
par Julien Munoz
"Big Bad Wolves" sème un humor détaché et méchant, volontairement inconfortable...
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Première
par Gérard Delorme
Une vraie révélation pour ceux qui n’avaient pas vu "Rabies", le précédent (et premier) film de ce duo très dynamique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Critikat.com
par Ursula Michel
"Big Bad Wolves" et son finale tragique prouvent que les contes de fées ne finissent pas toujours en "happy end".
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Fiches du Cinéma
par Pierre-Julien Marest
Thriller sans concession, “Big Bad Wolves” ne témoigne d'aucune sorte d'espoir. Malgré quelques scènes inspirées et une pointe d'humour noir, le film peine à surprendre.
Positif
par Fabien Baumann
Ni farce macabre ni joutes verbales subtiles ne s'ensuivent. Le suspense (...) se tend seulement entre la mise en scène et le spectateur.
aVoir-aLire.com
par Virgile Dumez
La charge n’est assurément pas légère, mais le brio de la mise en scène et la puissance d’un humour décidément très noir compensent largement les menus défauts d’une œuvre galvanisante, à ne pas mettre devant tous les yeux.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ecran Large
par Simon Riaux
« Le meilleur film de l'année » de Quentin Tarantino est un patchwork poussif d'influences mal digérées.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Trop répétitif, l'ennui s'installe et le suspense se délite.
Ouest France
par La Rédaction
(...) un enchaînement de séquences répétitives et insistantes alourdit trop le propos sans pouvoir distancier le regard.
TF1 News
par Romain Le Vern
Tout a été conçu pour taper dans l'œil de Quentin Tarantino qui, par réflexe Pavlovien, est tombé dans ce piège facile, s'empressant d'estampiller Big Bad Wolves «film de l'année».
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
Les cinéastes s’amusent des figures du conte, manient la violence et l’humour noir, lorgnent sur les frères Coen, Tarantino et le cinéma sud-coréen. Mais dieu qu’ils ont la main lourde, la musique facile et la rupture de ton inégalement inspirée !
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Chronic'art.com
par Frédéric Gendarme
Comme effrayé par son propre postulat, "Big Bad Wolves" entreprend alors de se perdre dans des circonvolutions narratives peu heureuses, finissant de faire tiédir le brûlot qu'il avait fait semblant d'annoncer.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Monde
par Jean-François Rauger
Susciter un rire particulier produit par l'intrusion dans des scènes de violence de notations humoristiques familières semble être le projet du film. C'est assez pénible à regarder.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Julien Gester
Soit un thriller horrifique et une sordide histoire de vrais-faux coupables et de vendetta contre un serial-killer pédophile, pavé de séquences de tortures vernies d'un humour noir qui ne nous inspire qu'un profond dégoût.
Mad Movies
par Laurent Duroche
Un beau gâchis, parasité par de grosses ficelles scénaristiques[...] et un twist final ringard,...
Télérama
par Jérémie Couston
On appelle « torture porn » ces films d'horreur aux sévices hyperréalistes, type Saw ou Hostel. Celui-ci, des réalisateurs Aharon Keshales et Navot Papushado, est d'autant plus douteux que les tortures infligées à la victime (un pédophile présumé) se voient légitimées par sa culpabilité...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CNews
Pourvu d’un suspense implacable, le film use en outre d’un humour noir mordant pour accrocher le spectateur.
CinemaTeaser
"Big Bad Wolves" sème un humor détaché et méchant, volontairement inconfortable...
Première
Une vraie révélation pour ceux qui n’avaient pas vu "Rabies", le précédent (et premier) film de ce duo très dynamique.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Critikat.com
"Big Bad Wolves" et son finale tragique prouvent que les contes de fées ne finissent pas toujours en "happy end".
Les Fiches du Cinéma
Thriller sans concession, “Big Bad Wolves” ne témoigne d'aucune sorte d'espoir. Malgré quelques scènes inspirées et une pointe d'humour noir, le film peine à surprendre.
Positif
Ni farce macabre ni joutes verbales subtiles ne s'ensuivent. Le suspense (...) se tend seulement entre la mise en scène et le spectateur.
aVoir-aLire.com
La charge n’est assurément pas légère, mais le brio de la mise en scène et la puissance d’un humour décidément très noir compensent largement les menus défauts d’une œuvre galvanisante, à ne pas mettre devant tous les yeux.
Ecran Large
« Le meilleur film de l'année » de Quentin Tarantino est un patchwork poussif d'influences mal digérées.
Le Journal du Dimanche
Trop répétitif, l'ennui s'installe et le suspense se délite.
Ouest France
(...) un enchaînement de séquences répétitives et insistantes alourdit trop le propos sans pouvoir distancier le regard.
TF1 News
Tout a été conçu pour taper dans l'œil de Quentin Tarantino qui, par réflexe Pavlovien, est tombé dans ce piège facile, s'empressant d'estampiller Big Bad Wolves «film de l'année».
TéléCinéObs
Les cinéastes s’amusent des figures du conte, manient la violence et l’humour noir, lorgnent sur les frères Coen, Tarantino et le cinéma sud-coréen. Mais dieu qu’ils ont la main lourde, la musique facile et la rupture de ton inégalement inspirée !
Chronic'art.com
Comme effrayé par son propre postulat, "Big Bad Wolves" entreprend alors de se perdre dans des circonvolutions narratives peu heureuses, finissant de faire tiédir le brûlot qu'il avait fait semblant d'annoncer.
Le Monde
Susciter un rire particulier produit par l'intrusion dans des scènes de violence de notations humoristiques familières semble être le projet du film. C'est assez pénible à regarder.
Libération
Soit un thriller horrifique et une sordide histoire de vrais-faux coupables et de vendetta contre un serial-killer pédophile, pavé de séquences de tortures vernies d'un humour noir qui ne nous inspire qu'un profond dégoût.
Mad Movies
Un beau gâchis, parasité par de grosses ficelles scénaristiques[...] et un twist final ringard,...
Télérama
On appelle « torture porn » ces films d'horreur aux sévices hyperréalistes, type Saw ou Hostel. Celui-ci, des réalisateurs Aharon Keshales et Navot Papushado, est d'autant plus douteux que les tortures infligées à la victime (un pédophile présumé) se voient légitimées par sa culpabilité...