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Sadychou
4 abonnés
191 critiques
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4,0
Publiée le 31 juillet 2015
Quand Russe Crowe excel devant et derrière la caméra. Bon senario dans un magnifique pays qui est la Turquie. Superbe ! Vivement une prochaine réalisation.
Si on retrouve Russel Crowe en tant qu’acteur, il signe également avec La promesse d'une vie sa toute première expérience en tant que réalisateur d’un long-métrage. A cette occasion, il revient sur une sombre période de l’histoire avec la Première Guerre Mondiale en s’intéressant plus particulièrement aux victimes tombées dans la Péninsule de Gallipoli. L’histoire de Joshua est inspirée d’une histoire vraie et on ne peut qu’être en empathie avec lui la seule chose c’est son espèce de sixième sens qui nous laisse un peu sceptique. Un premier film globalement plutôt réussi avec notamment des reconstituions de scènes de guerre réalistes et qui sonne comme un bel hommage aux victimes et à ces familles qui n’auront pas pu faire leur deuil.
Un très beau drame, touchant, au long court et de superbes paysages. Tout cela bercé par les vocalises magnifiques de Lisa Gerrard et la troublante Olga Kurylenko. Coté acteurs, çà se tient avec un Russell qui fait du ... Russel Crowe (mimiques, attitudes et se plaisant dans l'émotion plutôt bien transmise); On retiendra une scène réellement dramatique mais shut ! L'histoire en elle-même, si des fois le rythme parfois intimiste casse la découverte, tient en haleine, dense et bien orchestrée. Bref, sans en dévoilée la teneur, près de 2h sans s'ennuyer. A voir ! 4/5 !!!
Pour sa première réalisation, Russell Crowe aborde une belle fresque historique. Il est, en effet, bien difficile de ne pas s'attacher à ce père à la recherche de ses fils disparus. Un travail sérieux et appliqué, qui évite le manichéisme malgré son happy end un peu facile et déplacé.
De et avec Russell Crowe qui, comme tous les acteurs passant derrière la caméra, cherche un sujet à émotion pour son premier long-métrage. Ici, on retrouve les affres de la guerre et un pére qui y a perdu ses 3 fils. Après la mort de sa femme, il se met en quête pour les retrouver ... Du classique donc avec un postulat touchant (forcément) même si l'émotion tant recherchée n'est qu'effleurée ...
La Promesse d'une vie est le premier film réalisé par Russel Crowe, se mettant en scène en père qui va rechercher ses fils à l'autre bout du monde, en Turquie. L'histoire est intéressante (de base) et le contexte historique tourmenté qui accompagne le père dans sa quête est bien retranscrit à l'écran: on comprend toute l'étendue du contexte des années 20 en Turquie. On ressent aussi le drame que vit ce père en recherchant ses fils, interprété néanmoins par un Russel Crowe qui peine à convaincre en restant toujours de marbre face aux évènements. De plus, l'histoire ne laisse pas de place au suspense, et par conséquent se montre trop prévisible au fur et à mesure qu'on comprend le film. Russel Crowe n'arrive pas non plus à créer de vrais moments d'émotion, on a une impression que les scènes ne sont pas finies ou ne sont que des ébauches, ce qui laisse un ressenti très mitigé sur le film.
Un très bon film. Non seulement touchant mais également historique. Ce film nous propulse dans cette période de guerre. Le jeu d'acteur est très bien conçu. Russel Crowe a réalisé qqch de très bien d'alleurs nous ne voyons pas le temps passer. à regarder sans hesiter.
, bon film, bons interprètes (etOlga Kurylenko est très jolie, voire mystérieuse).pour le reste, l'histoire est parfois confuse, on ne sait pas de quelle guerre il s'agit et ce qu'ont fait les Australiens dans ce sanglant conflit que je ne connaissais pas. par contre, les images sont très belles et le petit père russel crowe toujours aussi séduisant dans sa barbe de quelques jours. a VOIR sans plus
il est certain que le premier film de Russel Crowe est aussi académique dans sa réalisation que le premier long-métrage de Ryan Gosling est culotté et ambitieux. Je me permets de faire une comparaison pour avoir vu l'un et l'autre dans la foulée et le contraste est saisissant. Russel Crowe filme à coup de long travellings, de plans larges sur des musiques à la Jarre. Deux styles totalement différents, l'un étonnamment classique et l'autre particulièrement moderne. L'un sans risque pris, l'autre culotté à l’extrême. Chacun appréciera selon ses goûts, j'ai trouvé "the water diviner" (titre tellement plus joli en anglais) pas désagréable mais un peu suranné. le côté factuel un peu trop survolé et Istanbul un peu "images d'Epinal". Bref, pas un mauvais film mais pas non plus un bon...
Beau film, j'ai beaucoup aimé. Bien sur à la base je suis un grand fan de R.Crowe, mais au delà de ça, le film a réussi m'accrocher alors que je n'y croyais pas trop au début. Certaines scènes sont vraiment prenantes et le jeu des acteurs est très bon (olga un peu en retrait peut-être) mais c'est surtout l'histoire qui m'a plu. Bref, j'y suis allé un peu par hasard et au final j'ai passer un très bon moment. :-) P.S: j'ai beaucoup aimer cet échange: spoiler: "pourquoi on devrait aider ce fermier a retrouver ses fils?".... "Parce que c'est le seul qui soit venu les chercher"
Basé sur des faits réel et un scénario solide, le film nous invite à suivre un père parti à la recherche de ses trois fils données pour morts durant la première guerre mondiale. Il retrouve les ennemis d'hier alors qu'un nouveau conflit débute contre les grecs.
Autant de thèmes sous-jacents tels que le manquement du père à ses devoirs de protection, le sens de la guerre pour défendre des idées, un amour rendu impossible par les traditions et le risque de déshonneur familial.
Russell Crowe, réalisateur et acteur du film, nous livre une jolie épopée à travers les paysages magnifiques de la Turquie aux tons ocres et chauds. Un excellent dépaysement.
Malgré quelques embuches, malgré des prises de risques avec le volet historique que l’on ne retrouve pas forcément côté narration, Russel Crowe transforme l’essai. Le film est sincère et reste intéressant. Les décors sont riches et soignés, la B.O. épouse l’image pour quelques superbes séquences emplies de sagesse. Il convient de saluer son réalisateur pour s’être attaqué à un sujet encore aujourd’hui douloureux, à l’heure du centenaire où la communauté internationale espère la...
Après Tintin chez les les Picaros, Indiana Jones chez les Turcs. On ne pleure pas dans nos mouchoirs ou n'a pas les kleenex s'entasser au sol, on devrait pourtant avec tous ces jolis ingredient ! De bien belles images sur de beaux paysages. Russel Crowe en pleine thérapie.
Une bien belle surprise que ce drame à la fois intimiste et grandiose, prenant place après la première guerre mondiale en Turquie, où un père, australien, débarque pour aller chercher les corps de ses 3 fils, morts le même jour sur un champ de bataille. Le scénario est intelligemment construit, amenant de manière efficace l'émotion et quelques rebondissements qui relancent l'intrigue, et ménageant surtout une belle dose d'aventures. Les personnages sont touchants et l'intrigue bien pensée, et aucune fausse note ne vient assombrir l'ensemble, le film étant écrit et réalisé avec grand soin. Tres joli premier essai pour Russel Crowe.