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    Spotlight
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    eleonora
    eleonora

    21 abonnés 314 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 mars 2016
    Spotlight est une escroquerie: ce n'est pas parce que c'est une histoire vraie que cela suffit en faire un grand film comme le dit la pub.Le film s'apparente à un documentaire, et ne s'attache jamais à montrer la psychologie des journalistes investigateurs ni même celle des victimes.C'est plat et ennuyeux au possible , le plus grand suspense réside dans la scène où Mark Ruffalo cherche à photocopier des documents , c'est dire...
    Extremagic
    Extremagic

    73 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 31 janvier 2016
    Je suis d'avantage allé voir le film parce que tout le monde en parlait en bien que par réelle conviction. Le fait est que j'étais un peu dubitatif quand à sa qualité. Disons que jusqu'au dernier tiers j'étais là à me dire que c'était pas brillant mais que ça se laissait voir. Mais voilà que le film est déjà peu subtil tout du long mais qu'en plus il vient se faire le porte-étendard de la morale du ressentiment. C'est juste exécrable. Sérieusement je me suis barré lorsqu'ils ont commencé à balancer tous les lieux où ça s'était passé. Bon alors d'un point de vue cinématographique c'est déjà pas la joie. Autant aller se voir un bon petit Pakula ou se refaire Zodiac pour la énième fois, au moins dans ce dernier on te laissait juger. Parce que Spotlight niveau mise-en-scène c'est déjà niet, on mise tout sur les acteurs et le sujet (au traitement dégueulasse j'y reviendrai), l'écriture est inintéressante, on te balance deux ou trois vannes de-ci de-là mais on ne développe aucun personnage, rien dans leurs affaires privées, ce sont des personnages fonction qui ne servent qu'à faire avance l'intrigue en blablatant sans cesse avec un verbiage didactique insupportable. Et quant au propos du film ça enfonce des portes ouvertes. Sérieusement qui a cru apprendre quelque chose sur les affaires de pédophilie dans l'Eglise avec ce film ? Tout ça ne sert qu'à contribuer à la morale du ressentiment, on nous dit quoi penser, on nous indigne, le tout sans une once d'objectivité servant un manichéisme indigeste (on va chercher le mal caché derrière l'apparence du bien), ce film n'est que vengeance, il se prend pour un justicier, un redresseur de torts qui va faire un procès de ceux qui ont échappé à la justice. Mais on se croit où ? Le cinéma il est où là-dedans ? Cette chose en plus d'être insipide et sans relief corrobore un nihilisme passif à base d'indignation et de morale bienpensante derrière laquelle se cache le non-lieu du cinéma.
    tixou0
    tixou0

    711 abonnés 2 003 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 3 février 2016
    "Une enquête captivante, un grand film", proclame l'affiche...... Vraiment ?... Sur la forme, du classique amidonné, du linéaire - on se croirait visionnant une réalisation des années 80, au maximum. Sur le fond... Une charge très univoque sur l'Eglise....Porter sur la place publique, médias aidant (ici, cette cellule "Spotlight" d'investigation du "Boston Globe") le scandale (le silence des autorités ecclésiastiques - tout spécialement en Amérique du Nord - amplifiant l'ignominie des abus sexuels) est salutaire. Mais l'écho, cinématographique ici, aurait gagné en crédibilité, en profondeur, en sérieux, avec certaines informations "oubliées", au moins en conclusion ! Choisir les années 2001/2002 de cette "enquête" pour parler de la question n'a évidemment rien d'innocent - quand la question est loin d'avoir été épuisée ! Une petite impression de lynchage médiatique (le cinéma relayant la presse).... quand on ne vise qu'un aspect des choses... Benoît XVI, le pape émérite, a su "faire le ménage". On aimerait que les responsables politiques aient le même courage et la même dignité, quand les pédophiles sont enseignants laïcs, encadrants sportifs..... catégories (même en proportion) infiniment plus fournies en abuseurs sexuels que le clergé catholique ! Lors de son voyage aux Etats-Unis, en 2008, Benoît XVI reçut une délégation de victimes de prêtres pédophiles. En Australie, en Allemagne, en Belgique, aux Pays-Bas, l'onde de choc se propagea, déliant les langues, exhumant des affaires anciennes, et d'autres, beaucoup plus récentes, après le rapport Murphy, aux E-U... En 2010, dans une lettre aux évêques irlandais, Benoît XVI reconnaissait les fautes du clergé, intimait l'ordre aux coupables de comparaître devant les tribunaux séculiers et condamnait les évêques pour leur silence complice. Du jamais-vu. Cette lettre fut suivie d'une autre envoyée aux évêques du monde entier, précisant le dispositif antipédophile (meilleur recrutement des prêtres - quand on sait qu'à 83 % ce sont des jeunes garçons les victimes.... collaboration avec la justice, etc.), puis d'un symposium l'année suivante, à Rome. 400 prêtres ont été défroqués par le Vatican, pour abus sexuels sur mineurs, sous le pontificat de Benoît XVI. Voilà ce que les auteurs de ce "Spotlight" (Tom McCarthy, le metteur en scène, et son coscénariste, Josh Singer) auraient dû, par honnêteté intellectuelle, faire (au moins...) figurer en fin de film.... Quant au réalisateur qui aurait le courage d'entreprendre le pendant de cette dénonciation du clergé catholique, ou plutôt les pendants, côté "autres confessions chrétiennes" (beaucoup plus d'affaires de pasteurs pédophiles aux E-U que d'affaires mettant en cause prêtres ou frères catholiques...), et plus encore côté "confessions non-chrétiennes".... celui-là n'est pas né..... La solide distribution de ce "Spotlight" compense (un peu) sa partialité et son peu d'intérêt cinématographique (une étoile pour cela).
    1008cent99
    1008cent99

    49 abonnés 180 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 2 mars 2016
    En voyant des films comme celui ci, il est vrai que je suis curieux d'en apprendre un peu plus sur le barème de notations des oscars... Pour commencer, le scénario le plus originale... Certes, un équipe de journalistes jouant le rôle des Experts c'est différent de ce qu'ont à l'habitude de voir et cela peut être plaisant pour certaines personnes, mais j'insiste, si vous n'êtes pas du milieu, difficile de suivre sur la première demi-heure du film et pas que ! Le vocabulaire employé est assez compliqué, les présentations sont bâclés et j'ai remarqué tout au long du film qu'ils mentionnent des noms de tel ou tel personne à tout vas, ont s'y perd clairement... Rappelons que c'est un film, pas une saga, ni une série... Plus synthétique donc. Le rythme est d'une lenteur... J'avoue m’être presque assoupie 1 ou 2 fois. C'est surtout que pour un "Thriller" il n'y a pas de REBONDISSEMENTS ! Ce qui rend l'ambiance du film très plate, fade... Ne dégage pas grand chose. Tout cela accompagné d'une seul et même musique soporifique, que du bonheur ! D'un autre coté, notons quand même que le casting est très intéressants, les acteurs se donne à fond, j'ai particulièrement apprécié Mark Ruffalo. De plus l'histoire est tout de même intéressante au niveau de la profondeur surtout, le rapport au système qui peut se permettre de faire disparaître ou non certaines choses ou rendre muet le monde malgré que la vérité se sache. Mis à part sa, rien de bien positif... La réalisation est de mèche avec toutes les choses négatives déjà cités. Un film pouvant fait office de berceuse.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 10 février 2016
    Bien qu’étant sûrement animé des meilleures intentions du monde, SPOTLIGHT est de ces longs métrages insupportables qui affichent fièrement leur sujet « polémique » comme si cela suffisait pour les dédouaner de leurs incommensurables imperfections et de leurs innombrables défauts de conception. Le genre d’œuvre cinématographique qui croit qu’il suffit de parler – sommairement et sans trop se mouiller – d’actes pédophiles pour que l’on se doive de leur tresser des lauriers parce qu’il condamne quelque chose qu’à peu près tout le monde s’accorde déjà à condamner. SPOTLIGHT, le long métrage qui se contente de mettre en lumière ce qu’une enquête avait révélé de façon tonitruante et à l’échelle internationale dix ans plus tôt. Autant dire que la démarche laissait de prime abord assez dubitatif puisque le long métrage ne pouvait jouer sur le choc de la révélation finale puisqu’elle était déjà connue de tout le monde. Mais ce serait oublier que ce qui importe le plus dans un voyage n’est pas la destination mais la façon dont on y parvient ; on connait tous la fin de TITANIC, mais cela n’empêche pas ce chef d’œuvre de nous prendre à la gorge pendant plus de trois heures. Sauf qu’en guise de chemin, le réalisateur Tom McCarthy ne nous propose rien de plus qu’un illustré du compte rendu Wikipédia de l’affaire en ne suivant que les journalistes ayant dévoilé le scandale. Dans SPOTLIGHT, les victimes n’ont droit qu’à deux ou trois séquences pendant lesquelles elles ont juste le temps de raconter ce qu’elles ont vécu, sans entrer dans les détails ni s’attarder sur les conséquences. Quant aux accusés, il n’y a bien qu’une courte scène avortée lors de laquelle un prêtre est coupé juste après avoir fait mention qu’il avait lui-aussi subi un viol dans sa jeunesse. La faute revient en premier lieu au scénario. Celui-ci est indéniablement documenté, et c’est justement par cet aspect-là qu’il pèche. Bien qu’étant nommé aux oscars dans la catégorie de la meilleur histoire originale (?!?), le script est engoncé dans un tel respect maladif de ces faits réels qu’il se refuse le moindre artifice de fiction, exclut l’usage de tout dispositif cinématographique autre que le champ contre champ le plus basique, et interdit à ses personnages une simple ébauche d’évolution ou l’expression de la moindre émotion face à la noirceur de leur investigation. De toute façon, la grammaire visuelle de SPOTLIGHT est honteusement limitée, au point que l’on pourrait aller jusqu’à qualifier McCarthy de réalisateur « cinématographiquement analphabète ». Le montage est à l’avenant de la monotonie lénifiante du long métrage, conservant scrupuleusement le même rythme pendant deux heures, sans qu’il y ait une seule accélération ou décélération afin de marquer un rebondissement majeur. Tout se fait (et se dit surtout) sur un ton monocorde. Cette absence de rupture stylistique et dynamique se ressent aussi sur l’éclairage des décors, les rendant incroyablement impersonnels et ne jouant jamais avec la silhouette des personnages pour souligner leurs états d’âme et leur questionnement. Idem pour la musique d’Howard Shore qui est à l’avenant en se contentant d’être un enchainement de notes plutôt similaires agencée sur une cadence identique, peu importe ce que la scène raconte ou les nouveaux enjeux qu’elle apporte. Quel aveu d’échec cinglant lorsqu’un film dévoile sans fard son incapacité à transmettre et à traduire n’importe quelle idée ou émotion par la seule force de son cadrage, du mouvement de sa caméra, de la lumière de ses décors et de l’enchainement de ses plans, c’est-à-dire tout ce qui compose la base même du langage cinématographique ! SPOTLIGHT est un film qui ne mise son impact que sur ses dialogues alors que ceux-ci ne sont supposés être que des appuis secondaires pour un réalisateur de cinéma afin de rendre évident ce qu’il souhaite raconter et (par-dessus tout) montrer. Mais il est tout bonnement hallucinant qu’un film portant sur une affaire aussi sordide, qui devrait par conséquent mettre à mal notre intellect, nos aprioris et notre panoplie d’émotions, soit aussi froid et désincarné, comme si cela avait été une parade de la part de McCarthy pour contourner les aspects les plus désagréables de son sujet. Cette raideur piège le long métrage dans un didactisme effroyablement démonstratif. SPOTLIGHT enquille ainsi les déclarations outrées déclamées par des acteurs à la mine effaré parce qu’il est trop froussard pour braver frontalement les aspects glauques, écœurants, vertigineux et terrifiants de cette réalité dont il entendait pourtant faire une retranscription détaillée. Car malgré l’important travail de recherche pour préparer le long métrage, ce dernier est une œuvre finalement paresseuse. SPOTLIGHT se satisfait d’un seul angle d’attaque et ne fait qu’illustrer platement des faits en ne les prenant que par le petit bout de la lorgnette. Jamais on ne quitte les pas des journalistes et il faut attendre cent minutes pour voir une séquence où l’un d’entre eux exprime enfin ouvertement la colère que lui inspire ce qu’il découvre. SPOTLIGHT c’est donc JFK filmé par le réalisateur de MISS DAISY ET SON CHAUFFEUR. Une enquête indignée relatée de façon à ce qu’elle soit toujours très convenable pour le spectateur, que ce soit sur le plan thématique ou sur le plan graphique. C’est un produit à récompenses qui affiche son intention de s’attaquer à un sujet sulfureux comme si ce dernier n’était qu’un vulgaire appât à l’intention d’un public d’un autre âge ayant fait l’impasse sur tous les films et documentaires procéduriers, journalistiques et criminels de ces trente dernières années.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 1 mars 2016
    je ne comprends pa l'engouement autour de ce film ni même l'Oscar qu'il a décroché. Enquête journalistique dans un quotidien de Boston menée par l'équipe d'investigation de la rédaction. C'est lent, c'est long, c'est sans surprise. Le jeu d'acteur est plat comme la mise en scène, je me suis ennuyé à mourir. C'est sans saveur. C'est du vu et revu, la recherche à la bibliothèque d'indices, l'approche de la justice, des avaocats des victimes, interrogations de ces dernières etc... On a déjà vu ça des milliers de fois. Franchement évitez ce film, vous risqueriez d'être déçu autrement.
    Doloresdu92
    Doloresdu92

    4 abonnés 29 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 16 novembre 2016
    Un film dont le contexte se base sur le combat de journalistes à dénoncer la pédophilie au sein du clergé, ... Je n'ai pas aimer ce film car il était long et à aucun moment je me suis senti en connexion avec les personnages. Je sais qu'il s'agit d'une histoire vrai, cependant,.... l'oscariser en tant que meilleur film de l'année... c'est abuser. Un documentaire à ce sujet aurait été mieux qu'un film.
    aldelannoy
    aldelannoy

    40 abonnés 346 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 mars 2017
    Le problème avec ce film, c'est que ce n'est pas un film. Il y a un scénario très bavard - mauvais signe pour un film - censé raconter un fait réel (je n'ai pas vérifié à quel point ce serait exact ou pas, ce qui n'a aucun intérêt cinématographique) et il n'y a rien d'autre. Ca cause, ça cause, ça cause... ça ressemble à une fiction radiophonique tandis que l'image, la matière même du cinéma, est sans le moindre intérêt. Tout au plus le réalisateur copie, avec une maladresse consternante, Les Trois Jours du Condor, mais ça ne marche pas, c'est poussif et, de toute façon, déplacé. On se demande comment on a pu récompenser pour sa qualité cinématographique ce qui n'en a aucune ! Quant à la trame, elle est cousue de fil blanc. Avec une telle histoire, il aurait été possible de faire quelque chose ! là, il n'y a rien, c'est le néant.
    ferdinand75
    ferdinand75

    567 abonnés 3 930 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 28 septembre 2016
    Un film d'un grand ennui, il ne se passe rien , beaucoup de dialogues inintéressants, pas de fonds, juste des enquêteurs, des journalistes , qui font leur enquête dans leur petit coin. Mais tout cela manque de rythme, des plans inutiles, on a l'impression de remplissage. Difficile de comprendre le succès de ce film. On comprend bien qu ' Hollywood a trouvé un sujet bien "politiquement correct" , et qui permet de taper sur l' église. Bien sûr tout le monde sera d'accord avec l'argument du film et l'on peut que rentrer en empathie avec les enfants agressés, mais d'un point de vue cinématographique, le film est très fade, très barbant.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 14 février 2016
    une histoire relevant davantage du documentaire que du thriller, un casting mal exploite et des scènes qui manquent grandement d'action, de suspense.
    c chanel.
    c chanel.

    4 abonnés 58 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 22 février 2016
    jamais j'ai eu autant voulu sortir d'une salle de ciné a ce point la, ce film est lent spoiler faux une enquête captivante un grand film.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 22 février 2016
    Belle déception. Franchement l'histoire ne passionne pas on préfère 1000 fois une réalisation comme Mystic River de Eastwood que cette laborieuse histoire 40 ans après les hommes du Président.
    Fredegra
    Fredegra

    6 abonnés 156 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 2 mai 2016
    L'affiche est plutôt vendeuse. Le casting de qualité. Quant au film : long, ennuyeux, prévisible malgré le sujet porteur et à la mode (de chez nous).
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 12 mars 2016
    Sous la forme d'une investigation de deux heures plus académique que les séries télés foisonnantes suivants le principe, le film tend à aboutir à une révélation-choc historique, c'est-à-dire déjà connue du public. Ainsi il cherche à renouveler le choc en donnant les informations au compte-goutte face aux réactions d'une suite de stars dont un Mark Ruffalo en roue libre ou une Rachel McAdams transparente. Pour arriver à ses fins, il n'hésite pas non plus à empoisonner des images de l'Eglise, et par association d'idées, de l'Amérique. En dehors de la perversité et mauvaise foi de ses techniques, le film n'a même pas l'audace d'aller au bout de sa démarche et finalement que ce produit insipide à oscars.
    DAVID MOREAU
    DAVID MOREAU

    136 abonnés 2 241 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 18 janvier 2021
    CAPRICE DES DIEUX. Une éclaircie qui cache l'orage. Un jour on crut, un jour toujours, la honte du secret pontifical. La mascarade de Dieu pour une parole libérée dans des scènes pitoyables. Le pouvoir magique de l'église, on s'alarme pour l'exemple alors qu'on va droit dans le précipice. Hypocrisie.
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