AlloCiné
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Je crois que pour le coup, je me suis fait bêtement avoir par une critique consensuellement trop positive.
Ok, ce n'est pas un navet, quelques bonnes répliques, mais je pense que ce film ne mérite pas autant de succès (par rapport a d'autres moins bien critiqués). J'adore l'humour (je connais des histoires de toto) et , en général, je reste très tolérant avec un des styles les plus difficile du cinéma, mais la.... pas déçu, mais loin d’être enchanté par cette comédie. De plus, en terme de caricature, ils auraient pu se lâcher un peu plus (une fois n'est pas coutume).
A noter, très bonne prestation de Ary Abittan et Frédérique Bel.
A noter aussi que Clavier n'est plus le Clavier des "Bronzés" ou de "Mes meilleurs copains".
Ok, ce n'est pas un navet, quelques bonnes répliques, mais je pense que ce film ne mérite pas autant de succès (par rapport a d'autres moins bien critiqués). J'adore l'humour (je connais des histoires de toto) et , en général, je reste très tolérant avec un des styles les plus difficile du cinéma, mais la.... pas déçu, mais loin d’être enchanté par cette comédie. De plus, en terme de caricature, ils auraient pu se lâcher un peu plus (une fois n'est pas coutume).
A noter, très bonne prestation de Ary Abittan et Frédérique Bel.
A noter aussi que Clavier n'est plus le Clavier des "Bronzés" ou de "Mes meilleurs copains".
Dans l'ensemble c'est plutôt pas mal hormis certains gags qui sont de mauvais gout. C'est pas extrêmement passionnant mais ça se tient, le soufflé ne s'écroule pas. Mention spéciale à Chantal Lauby qui est très bien.
C'est une comédie légére avec des vannes lourdingues par moment, ca se laisse regarder après de là à dire qu'on se marre tout le long du film c'est faux archi faux ...
L'idée est plutot original après suis moins fan des dialogues c'est creux et la fin clairement ennuyeuse ...
Ce film me fait penser à une barbe à papa, c'est léger pas mauvais mais au final on est décu car on a presque rien manger
L'idée est plutot original après suis moins fan des dialogues c'est creux et la fin clairement ennuyeuse ...
Ce film me fait penser à une barbe à papa, c'est léger pas mauvais mais au final on est décu car on a presque rien manger
Un humour facile qui se suffit à des situations improbables. Il manque au film une vraie dynamique. Le jeu des acteurs est un peu faiblard mais tient au fait que l'on est dans une farce. Enfin, se divertir de la connerie humaine reste toujours une chose positive.
je n'est pas aimer dans ce film , remplie de clichés, le scénario est banal et médiocre ...
« T’aurais pu me prévenir que tes parents étaient blancs. »
Si la grande ambition dans la vie de Christian Clavier était d’être Louis de Funès, on peut dire que c’est raté. Tout d’abord parce que Louis de Funès, c’est déjà pris et qu’il est mort. Ensuite parce que ce qui marchait en 1970 ne résonne pas pareillement en 44 ans plus tard. Enfin parce que Louis de Funès, malgré ses auto-plagiats permanents avait un minimum de talent, ce que n’a pas Clavier.
Oscillant entre anti-racisme (à la sauce Rabbi Jacob) et clichés racistes, ce film aurait pu avoir un quelconque intérêt avec un scénario plus burlesque plutôt que la bluette stupide qu’il propose et s’il avait été interprété correctement, ce qui n’est hélas pas le cas. Oh ne blâmons pas les jeunes acteurs·trices, mais bien un Clavier exécrable et une Chantal Lauby qui tarde à trouver son rythme. Les jeunes donc s’en sortent un peu mieux dans ce qui reste une comédie franchouillarde digne des années ‘70, malgré quelques éclairs d’intelligence et de drôlerie. Reconnaissons que le cadre reste bourgeois et que le scénario évite ainsi de plus gros clichés encore (David galère à monter son affaire, Chao est banquier, Rachid avocat et Charles est acteur, ses parents riches). Enfin, les deux personnages les plus racistes sont les pères, ce qui balance un petit kick dans la cheville du patriarcat.
Si la grande ambition dans la vie de Christian Clavier était d’être Louis de Funès, on peut dire que c’est raté. Tout d’abord parce que Louis de Funès, c’est déjà pris et qu’il est mort. Ensuite parce que ce qui marchait en 1970 ne résonne pas pareillement en 44 ans plus tard. Enfin parce que Louis de Funès, malgré ses auto-plagiats permanents avait un minimum de talent, ce que n’a pas Clavier.
Oscillant entre anti-racisme (à la sauce Rabbi Jacob) et clichés racistes, ce film aurait pu avoir un quelconque intérêt avec un scénario plus burlesque plutôt que la bluette stupide qu’il propose et s’il avait été interprété correctement, ce qui n’est hélas pas le cas. Oh ne blâmons pas les jeunes acteurs·trices, mais bien un Clavier exécrable et une Chantal Lauby qui tarde à trouver son rythme. Les jeunes donc s’en sortent un peu mieux dans ce qui reste une comédie franchouillarde digne des années ‘70, malgré quelques éclairs d’intelligence et de drôlerie. Reconnaissons que le cadre reste bourgeois et que le scénario évite ainsi de plus gros clichés encore (David galère à monter son affaire, Chao est banquier, Rachid avocat et Charles est acteur, ses parents riches). Enfin, les deux personnages les plus racistes sont les pères, ce qui balance un petit kick dans la cheville du patriarcat.
Quelques bonnes blagues , mais trop de clichés tue les clichés ! Le jeu des acteur n'est pas mauvais ce film respire la joie de vivre et nous rappel notre propre famille mais: trop de clichés tue les clichés !
defleppard
Comédie sympa, avec quelques gags qui font mouche. 2 étoiles et demie.
PAS TRES CATHOLIQUE. Ca faisait longtemps que Clavier ne m'avais plus fait rire. Chose faite ici, dans cette comédie très, voir trop gentil, ou les vannes fusent. Tout est fait pour distraire un maximum de personnes, sans les faire reflechir. Vivement Cannes.
Je m'attendais à mieux, je n'ai pas franchement rit, plutôt sourit. Un moment de détente, pas plus...
On ne rit pas vraiment, un peu, mais sans plus. Ça ne vaut pas un Dupontel.
Décevant, on s'attendait à mieux car les premières scènes sont lourdes, ça vole vraiment au ras des pâquerettes (blagues clichées de beauf sur les juifs, arabes et chinois) cependant la deuxième moitié du film est beaucoup plus fun et rattrape le tout.
On peut attendre de le voir en dvd.
On peut attendre de le voir en dvd.
Le sujet est bon. Mais çà tourne vite en rond. C'est toujours les mêmes gags pendant toute la durée du film. En 10 minutes, on a vu tout le sujet du film. Les acteurs ne sont pas tous bons. Clavier et Elodie Fontan sont bons.
Film rempli de clichés, ça tourne qu'autour de la religion, des origines et de la couleur de peau... Histoire improbable avec des acteurs qui sur-jouent mais bon une majeure parti de la salle a aimée, il y a même eu des applauds. Je le conseille a ceux qui aiment les comédies légères
🎬 RENGER 📼
Claude et Marie Verneuil, issus de la grande bourgeoisie catholique, sont les parents de 4 filles. Ce couple "vieille France" a dû faire preuve d’une certaine ouverture d’esprit, surtout depuis que 3 d’entre-elles ont épousés chacun, un homme d’une religion différente (un musulman, un juif et un chinois). Mais l’honneur est sauf grâce à la dernière qui s’apprête à épouser… un catholique !
Philippe de Chauveron (L'Élève Ducobu - 2011 & Les Vacances de Ducobu - 2012) délaisse les comédies pour enfants et s’oriente vers la comédie communautariste qui se moque ouvertement de la xénophobie et du racisme… en jouant à fond la carte du racisme. Tous les clichés y passent, black, blanc, beur ou jaune, quel que soit la couleur de la peau ou l’origine ethnique, chacun y prend pour son grade, âmes sensibles à l’humour lourdingue s’abstenir (halal, casher, canard laqué, Kadafi, Arafat, Amin Dada, tête de nègre, arabe = voleur, juif = banquier ou encore chinois = petit bite, aucun cliché ne nous ait épargné).
Le film se moque des préjugés en jouant avec, quitte à banaliser le racisme. Chacun fini par devenir le raciste de l’autre, chacun se renvoyant la balle, se tacle et s’envoie une petite vanne bien antisémite pour faire rire l’auditoire.
En dénonçant et en caricaturant le racisme de cette façon, le réalisateur met les pieds dans le plat et en fait des caisses. C’est rarement drôle, parfois lourdingue (10min rien que sur l’histoire du prépuce !) et malgré ça, cela reste divertissant sans que l’on ait à trouver le temps long. Encore faut-il arriver à rire de tout, des uns comme des autres. Après, allez savoir pourquoi cela a attiré plus de 12 millions de spectateurs en salles, je ne me l’explique pas. Une comédie populaire à l’extrême opposé (mais sur le même thème) du classique & brillant Devine qui vient dîner... (1967) avec Sidney Poitier & Katharine Hepburn.
● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
Philippe de Chauveron (L'Élève Ducobu - 2011 & Les Vacances de Ducobu - 2012) délaisse les comédies pour enfants et s’oriente vers la comédie communautariste qui se moque ouvertement de la xénophobie et du racisme… en jouant à fond la carte du racisme. Tous les clichés y passent, black, blanc, beur ou jaune, quel que soit la couleur de la peau ou l’origine ethnique, chacun y prend pour son grade, âmes sensibles à l’humour lourdingue s’abstenir (halal, casher, canard laqué, Kadafi, Arafat, Amin Dada, tête de nègre, arabe = voleur, juif = banquier ou encore chinois = petit bite, aucun cliché ne nous ait épargné).
Le film se moque des préjugés en jouant avec, quitte à banaliser le racisme. Chacun fini par devenir le raciste de l’autre, chacun se renvoyant la balle, se tacle et s’envoie une petite vanne bien antisémite pour faire rire l’auditoire.
En dénonçant et en caricaturant le racisme de cette façon, le réalisateur met les pieds dans le plat et en fait des caisses. C’est rarement drôle, parfois lourdingue (10min rien que sur l’histoire du prépuce !) et malgré ça, cela reste divertissant sans que l’on ait à trouver le temps long. Encore faut-il arriver à rire de tout, des uns comme des autres. Après, allez savoir pourquoi cela a attiré plus de 12 millions de spectateurs en salles, je ne me l’explique pas. Une comédie populaire à l’extrême opposé (mais sur le même thème) du classique & brillant Devine qui vient dîner... (1967) avec Sidney Poitier & Katharine Hepburn.
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