L'étrange couleur des larmes de ton corps : Critique presse
L'étrange couleur des larmes de ton corps
Note moyenne
3,1
20 titres de presse
Mad Movies
CinemaTeaser
Le Monde
Les Inrockuptibles
Libération
Positif
TF1 News
Chronic'art.com
Critikat.com
Ecran Large
L'Ecran Fantastique
L'Humanité
Le Journal du Dimanche
Première
Télérama
Cahiers du Cinéma
Les Fiches du Cinéma
TéléCinéObs
aVoir-aLire.com
Studio Ciné Live
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Mad Movies
par Laurent Duroche
(...) "L'Etrange couleur des larmes de ton corps" transcende son modèle transalpin pour élever ses motifs au rang d'art nouveau.
CinemaTeaser
par Renan Cros
Un cauchemar labyrinthique en forme de trip sensoriel dont on peine à trouver la sortie. Fascinant mais éreintant.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Le Monde
par Jean-François Rauger
(Le film) apparaît comme le modèle unique d'une oeuvre qui se réduirait à un symptôme, à la manifestation d'un désordre psychique, une construction qui n'aurait pas besoin de l'ordre confortable de la narration et de la figuration classique pour rendre perceptible le secret caché des âmes.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
"L’Etrange Couleur des larmes de ton corps" n’apporte donc aucune réponse définitive sur l’avenir de ses auteurs, que l’on imagine mal se sortir de leur obsession fétichiste du genre, mais il constitue en l’état une expérience unique réhabilitant la vitalité transgressive et pulsionnelle du cinéma d’horreur.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Guillaume Tion
La signature Cattet & Forzani devient au fil des oeuvres un gage de qualité formelle, l'assurance d'un film à la facture hypersoignée, presque celui d'une grande maison.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Philippe Rouyer
Ce parcours labyrinthique et circulaire cultive jusqu'au bout ses ambiguïtés.
La critique complète est disponible sur le site Positif
TF1 News
par Romain Le Vern
Soit on admire, soit on s'énerve; dans les deux cas de plus en plus. Pour ceux qui sont perdus, sachez toutefois que la dernière image est comme la dernière pièce d'un puzzle qui éclaire l'ensemble du tableau. Et justifie évidemment le titre.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Chronic'art.com
par Yal Sadat
La fièvre psychédélique du film s'avère parfaitement contagieuse quand il s'agit de déconstruire la géométrie, mais quand cet oeil halluciné se détache du papier peint pour regarder des hommes, disons-le franchement: les auteurs ne filment pas des personnages, à peine des corps, mais plutôt des mannequins tristement dépourvus d'étrangeté.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Critikat.com
par Pierre-Edouard Peillon
Minutieusement conçu, comme tracé au compas autour d’un argument minimaliste (une femme disparaît et son mari enquête), "L’Étrange Couleur" n’en demeure pas moins un fiévreux écheveau de visions psychédélisantes (...).
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Christophe Foltzer
Un trip parfois maladroit, un peu trop long, mais terriblement envoûtant et attachant.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Ecran Fantastique
par Yann Lebecque
Pour ce qui concerne l'exercice de style, une fois encore, le duo fait des merveilles esthétiques (...) Hélas. Bientôt, le scénario (...) quitte les sentiers battus, en même temps que le montage et use et abuse de figures de style trop appuyées.
L'Humanité
par Vincent Ostria
C’est idéalement mis en valeur par un travail virtuose sur le cadre, le montage et la couleur, qui fait le lien entre Art nouveau et psychédélisme. Mais l’abstraction poussée de ce polar expérimental risque de laisser l’amateur de frissons sur sa faim.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Kaléidoscopique et hypnotique, ce film, à l'esthétique visuelle presque intimidante, tend vers l'abstraction et exerce son pouvoir de fascination. Rythme lent, narration destructurée, musique d'Ennio Morricone, ce récit angoissant et érotique déroute et donne le vertige.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Première
par Renan Cros
Du cinéma radical qui se vit comme une expérience.
Télérama
par Jacques Morice
On décroche parfois, mais ce formalisme exacerbé n'est pas gratuit. Il abrite l'histoire d'un homme possédé, obsédé, maniaque, qui fait littéralement corps avec une maison hantée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
La rigidité de l’ensemble et l’appréhension toute en surface du genre se retournent contre le film : épinglés comme des papillons, les motifs apparaissent appauvris, déconnectés de tout inconscient.
Les Fiches du Cinéma
par Cyrille Latour
Cauchemar mental de son personnage, “L'Étrange couleur...” est aussi un cauchemar pour le spectateur. Un hommage désincarné au giallo italien qui tourne au pur exercice de style plastique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
Le film s’épuise sur la longueur, le ressassement des mêmes motifs, plutôt que d’éclaircir ou d’étoffer le mystère, laissant apparaître les ficelles d’un imaginaire, à base d’Eros et Thanatos, par trop élémentaire.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
aVoir-aLire.com
par Virgile Dumez
Ce thriller coincé quelque part entre l’univers d’Argento et de David Lynch est un pur exercice de style, aussi brillant sur le plan formel qu’abscons sur le plan thématique. Ou quand le cinéma se regarde le nombril.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Mad Movies
(...) "L'Etrange couleur des larmes de ton corps" transcende son modèle transalpin pour élever ses motifs au rang d'art nouveau.
CinemaTeaser
Un cauchemar labyrinthique en forme de trip sensoriel dont on peine à trouver la sortie. Fascinant mais éreintant.
Le Monde
(Le film) apparaît comme le modèle unique d'une oeuvre qui se réduirait à un symptôme, à la manifestation d'un désordre psychique, une construction qui n'aurait pas besoin de l'ordre confortable de la narration et de la figuration classique pour rendre perceptible le secret caché des âmes.
Les Inrockuptibles
"L’Etrange Couleur des larmes de ton corps" n’apporte donc aucune réponse définitive sur l’avenir de ses auteurs, que l’on imagine mal se sortir de leur obsession fétichiste du genre, mais il constitue en l’état une expérience unique réhabilitant la vitalité transgressive et pulsionnelle du cinéma d’horreur.
Libération
La signature Cattet & Forzani devient au fil des oeuvres un gage de qualité formelle, l'assurance d'un film à la facture hypersoignée, presque celui d'une grande maison.
Positif
Ce parcours labyrinthique et circulaire cultive jusqu'au bout ses ambiguïtés.
TF1 News
Soit on admire, soit on s'énerve; dans les deux cas de plus en plus. Pour ceux qui sont perdus, sachez toutefois que la dernière image est comme la dernière pièce d'un puzzle qui éclaire l'ensemble du tableau. Et justifie évidemment le titre.
Chronic'art.com
La fièvre psychédélique du film s'avère parfaitement contagieuse quand il s'agit de déconstruire la géométrie, mais quand cet oeil halluciné se détache du papier peint pour regarder des hommes, disons-le franchement: les auteurs ne filment pas des personnages, à peine des corps, mais plutôt des mannequins tristement dépourvus d'étrangeté.
Critikat.com
Minutieusement conçu, comme tracé au compas autour d’un argument minimaliste (une femme disparaît et son mari enquête), "L’Étrange Couleur" n’en demeure pas moins un fiévreux écheveau de visions psychédélisantes (...).
Ecran Large
Un trip parfois maladroit, un peu trop long, mais terriblement envoûtant et attachant.
L'Ecran Fantastique
Pour ce qui concerne l'exercice de style, une fois encore, le duo fait des merveilles esthétiques (...) Hélas. Bientôt, le scénario (...) quitte les sentiers battus, en même temps que le montage et use et abuse de figures de style trop appuyées.
L'Humanité
C’est idéalement mis en valeur par un travail virtuose sur le cadre, le montage et la couleur, qui fait le lien entre Art nouveau et psychédélisme. Mais l’abstraction poussée de ce polar expérimental risque de laisser l’amateur de frissons sur sa faim.
Le Journal du Dimanche
Kaléidoscopique et hypnotique, ce film, à l'esthétique visuelle presque intimidante, tend vers l'abstraction et exerce son pouvoir de fascination. Rythme lent, narration destructurée, musique d'Ennio Morricone, ce récit angoissant et érotique déroute et donne le vertige.
Première
Du cinéma radical qui se vit comme une expérience.
Télérama
On décroche parfois, mais ce formalisme exacerbé n'est pas gratuit. Il abrite l'histoire d'un homme possédé, obsédé, maniaque, qui fait littéralement corps avec une maison hantée.
Cahiers du Cinéma
La rigidité de l’ensemble et l’appréhension toute en surface du genre se retournent contre le film : épinglés comme des papillons, les motifs apparaissent appauvris, déconnectés de tout inconscient.
Les Fiches du Cinéma
Cauchemar mental de son personnage, “L'Étrange couleur...” est aussi un cauchemar pour le spectateur. Un hommage désincarné au giallo italien qui tourne au pur exercice de style plastique.
TéléCinéObs
Le film s’épuise sur la longueur, le ressassement des mêmes motifs, plutôt que d’éclaircir ou d’étoffer le mystère, laissant apparaître les ficelles d’un imaginaire, à base d’Eros et Thanatos, par trop élémentaire.
aVoir-aLire.com
Ce thriller coincé quelque part entre l’univers d’Argento et de David Lynch est un pur exercice de style, aussi brillant sur le plan formel qu’abscons sur le plan thématique. Ou quand le cinéma se regarde le nombril.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.