Avis : American Nightmare 2 : Anarchy - Page 5

Une suite qui vise plus haut que son prédécesseur. " The Purge 2 " explore la face cachée de la légende, d'une manière plus ou moins fidèle à l'original. Tout d'abord, le casting change complètement mais justement ça change des films qui veulent garder les mêmes protagonistes. A vrai dire , il n'y a pas de personnages secondaires, il y a 5 protagonistes qui ( pour moi ) ont les mêmes valeurs, après leur caractères sont différents et c'est ça qui fait la diversité du film. Et puis, au niveau dramatique, il y a les relations et les causes de chaque personnages, mais contrairement à ce que l'on peut croire le côté horrifique est bien présent. Le scénario n'a rien à voir avec le premier volet, celui là a totalement un autre point de vue, le parcours de ces personnages parsemé de fous furieux nous garde en haleine pendant plus d'une heure et demi. L'intrigue est quelque peu prévisible, mais je crois qu'on ne peut pas faire mieux. Pour les normes horrifiques, je dirais que James DeMonaco les respecte 80%, car ce film n'est pas juste une boîte à flippe mais bien un film qui nous fait réfléchir. Mais bien sûr les jumpscares sont aux rendez-vous, sans oublier l'ambiance hostile et angoissante. La bande originale joue aussi un grand rôle dans le film, toujours plus intrigante et encore plus flippante. La mise en scène très recherché de James DeMonaco est juste excellente au point de vue visuel, surtout la scène des deux camions qui se séparent sur deux routes différentes. En conclusion, " American Nightmare 2 : Anarchy " est autant réussi que son chapitre précédant, quitte à complètement passer à côté de sa spécialité ; la tension des séquences.

Un second film beaucoup mieux et plus exploité que le premier. Un scénario original et bien pensé avec de supers idées de situation. Un casting pas mal. Comme le premier, on sent la peur d'être dans les rues pour affronter une nuit, particulièrement qu'on entends la sirène et cela nous fait coller sur nos sièges. Un début un peu ennuyeux mais quand la purge commence, le film reste intense jusqu'à la fin du film. On est servi par les scènes d'actions super bien films et cadrés et cela change par rapport au premier qui se passe seulement dans une grande maison. Les décors, les costumes et les armes nous terrifient qu'on aimerait pas être à la place des personnages. Un film que je vous conseille vivement par son scénario et il nous montre une nouvelle définition de la violence.

Complètement fan de cette license!L'ambiance malsaine et anarchique dans celui ci est encore plus palpable…Beaucoup de métaphore sur notre système actuel et des purgeurs encore plus déjantés les uns que les autres le premier je maintiens la classification de ce film dans horreur thriller!donc bien sur l'idée du réalisateur est de pousser à l'extrême le coté vicelard et l'avidité pour le pouvoir de l'être humain avec je souligne une très bonne morale à la fin! :) 4,5/5.

N'ayant pas vu le premier volet, mon avis ne sera porté que sur ce American Nightmare 2 : Anarchy. Tout d'abord, et je doit le dire, grosse et belle surprise. Je m'attendais absolument pas à apprécier tant ce thriller d'épouvante conçu sur une histoire originale et angoissante. Globalement ce n'est pas vraiment un film d'horreur, malgré plusieurs scènes effrayantes, mais plus un bon thriller comme on les aime. 1h45 d'angoisse et de suspense, une histoire qui mêle plusieurs destins pour un même but, c'est assez bien construit. Les acteurs se débrouillent à merveilles et jouent vraiment bien. Le scénario, bon, comme très souvent, un peu répétitif, bien solide mais banal. Je doit m'attendre à être déçu si je regarde le premier opus étant donné de la note sur Allociné, très basse comparé à ce deuxième volet. Excellente intrigue, beaucoup de suspense, bons acteurs, scénario banal mais qui tient la route, assez bonne mise en scène, mais je trouve que des moments sont légèrement exagérés comme la cérémonie des riches vers la fin qui donne de l'argent pour tuer dans un terrain de chasse. Malgré sa, j'ai passé un très bon moment et je recommande ce thriller haletant et angoissant du début à la fin, pour les fans du genre et même pour ceux qui n'ont pas vu le premier volet.

James DeMonaco revient à la réalisation après le succès d’estime d’American Nightmare pour un second volet sous-titré Anarchy. Avec Michael Bay à la production, on pouvait s’attendre au pire. Le réalisateur américain, au nom de paradis fiscal, tire pourtant son épingle du jeu, et justement décrit une satyre de l’Amérique de la finance féodale. Peut-être parce que le pouvoir décisionnel doit s’étioler avec cinq co-producteurs. Tant mieux.

En 2023, les États-Unis sont dirigé par les nouveaux pères fondateurs, une oligarchie qui n’a jamais quitté le pouvoir depuis qu’elle a été élue, il y a 9 ans. Ce gouvernement autocratique a mis en place une nuit annuelle où les services de l’État sont mis en sommeil. Cette nuit-là, appelé la purge, les citoyens américains peuvent laisser place à leur instincts de morts, tuer et massacrer qui bon leur semble. Shane (Zach Gilford)et Liz (Kiele Sanchez), un jeune couple en pleine séparation se retrouve isolé après une panne de voiture. Ils rencontrent Leo (Frank Grillo), un homme qui veut venger la mort de son fils, et qui vient de sauver une mère et sa fille, Eva (Carmen Ejogo) et Cali (Zoe Soul), d’une mort certaine. Le quintet va s’unir pour survivre à cette nuit cauchemardesque.

American Nightmare 2 condense en une nuit, tout ce qui fait que l’Amérique peut devenir, pour les classes laborieuses, un cauchemar à l’année. Si, dans le film, la violence culmine lors de la purge organisée par les nouveaux pères fondateurs, dans l ‘Amérique en vraie, l’absence d’interdiction des armes à feux permet à n’importe quel américain de faire justice lui-même tout au long du calendrier. Comme l’on montrait les militants contre le lobby des armes, tel Michael Moore dans Bowling for Columbine, il faut moins chercher, dans les massacres perpétrés aux États-Unis, défrayant avec une monotone régularité les chroniques, le signe de quelques déséquilibrés asociaux et gamers que ceux d’une société malade qui confond droit à la sécurité et vengeance personnelle. Pendant que les masses se sentent protégées par les dieux Smith et Wesson, elles sont néanmoins bien dépourvus face à la crise des surprimes. Paraît-il qu’au plus fort de la crise des traders venait à Wall Street avec des gilets pare-balles. Si ce n’est pas une légende urbaine, ils avaient bien raison. On se demande bien ce qui a pu protéger d’un incident mortel quand on tue, à travers le pays, pour moins que ça… C’est ce qu’avance, Carmelo (Michael K. Williams, vu dans The Wire), sorte de Malcom X bien décidé à profiter de la purge pour donner une leçon à quelques puissants. Autrement dit, reprendre l’avantage sur un système, qui par finalité capitaliste, se sépare des plus vulnérables. Ce sont évidemment les SDF, les malades, les femmes et les vieux qui trinquent le plus lors de la purge. Univers de science-fiction fantasmé, American Nightmare 2 n’expose pas moins une réalité bien vivante, nous ne sommes que de la chair à capitaux, et si notre travail rapporte, nous coûtons trop cher. Le système des nouveaux pères fondateurs n’est qu’une extrapolation expéditive de nos politiques publiques. Pour la première fois depuis la première révolution industrielle, cette décennie, alors que nous devrons travailler plus longtemps, notre espérance de vie a diminué. James DeMonaco répond à cet état de fait, non pas par l’indignation proprette, mais par la résistance civique d’un peuple qui devra mettre en œuvre la déclaration des droits de l’homme de 1789 : « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs. »

Dans ce système incroyablement favorable aux riches, violent comme peut l’être le capitalisme financier, Carmelo et ses acolytes rendent justice aux plus faibles, et la révolution ne se fait pas avec des roses. Au détour d’une rue, un banquier est pendu avec un message d’avertissement aux fonds de pensions qui jouent avec les retraites. James DeMonaco rend hommage à la filmographie de John Carpenter en filmant une violence contenue, planante comme une ombre. Les groupes armés qui terrorise la ville prennent des allures fantasmatiques. À l’image d’un système qui ne dit pas son nom. Parmi ces fantômes, certains sont des militaires aux ordres, sans libre arbitre, chargeait d’aider un peu la chance à nettoyer le pays des plus pauvres. Une solution radicale au chômage de masse. Autre allusion sans équivoque à la véritable Amérique, la télévision ainsi que de nombreux participant à la purge récite une litanie louant les bienfaits de la purge et des nouveaux pères fondateurs. Ou comment, le patriotisme exacerbé devient fanatisme. Un instant, cela donne un effet sectaire, l’instant d’après on se dit qu’après tout, ce n’est pas plus malsain que l’hommage rendu au drapeau dans toutes les écoles américaines. Dans un dernier acte explosif, la ressemblance avec Les Chasses du comte Zaroff de Ernest B. Schoedsack est flagrante. Déjà d’actualité en 1932, à l’époque le fait d’un aristocrate qui s’ennuie, la chasse aux pauvres est aujourd’hui celle d’actionnaire sans âmes qui se paient le luxe d’organiser un dîner de gala pour un massacre. Sur le même thème, nous vous conseillons au passage, l’excellente série Chosen.

American Nightmare 2 : Anarchy ne parle pas d’anarchie, si ce n’est celle qui prend place l’unique nuit annuelle de la purge. Le thème du film est bien plus, la révolution à venir face à un système unique et cynique, organisant petit à petit, l’embrigadement et le contrôle des travailleurs. D’abord victime, ces derniers deviennent, par la lutte, les vainqueurs, et franchement, on aimerait que cette capacité de se révolter soit plus réelle que ne l’est ce cauchemar américain.

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un très bon film d'action, le stresse est présent tout le long du film. Cette purge est tout aussi bien construite que la précédente, bien que celle ci à le petit plus d'être dans les rues. On attend le troisième !

Dans le genre survivor... C'est sanglant sans trop d'explosion d'excès de ketchup. bonne relève de new York 97

Apres le huis clos voici un film un peu plus ouvert qui nous montre les "dessous" de cette purge ! Les scénaristes qui ont inventés cette histoire ont su nous donner une moralité à cette nuit de terreur! J'ai rarement l'occasion de le dire mais ce second volet est de loin meilleur que le 1 même si le 1 etait déjà très bien et très sombre!

Cette deuxième purge nous montre ce qui avait fait défaut à la première purge, à savoir les rues de la ville à feu et à sang pour cette Nuit de l'Anarchie. On est plongé dans le vif du sujet et cela m'a fait irrésistiblement pensé à New York 1997 ou bien à The Walking Dead dont les morts vivants seraient bien vivants et impitoyables............. Nous avons une petite vision de ce que serait une société en proie à l'anarchie sans aucune police et cela existe en ce moment dans certains endroits du monde, çà fait réfléchir........... Le message politique est tout à fait hors de propos et dispensable surtout dit par un croisement de sosie de malcom X et de trotsky, vu que tout le monde et pas seulement les riches profite de cette nuit de la mort........ Franck Grillo est vraiment impeccable ainsi que tous les membres du groupe. Une excellente dystopie.......

Génial !
Je m'attendais a un bon film beaucoup mieux que le premier mais pas du tout a un film si genial que ça.
Tout est bien dans ce film le scénario est super les acteurs joue très bien leurs rôles il y a plein de surprise plein de chose qu'on ne s'attend pas du tout et qui fait sursauter mais le seul problème dans ce film il surprend beaucoup trop mais en fait il y a beaucoup trop de jump scare alors au troisième on s'attend qui va se passer quelque chose parce que sa se passe pareil que les autres fois surtout le premier jump scare fait énormément sursauter voila pour conclure c'est un bon film d'horreur mais surtout un très bon film d'action parce que c'est plus dans ce registre la même si a beaucoup de moment j'ai sursauter.

En reprenant le concept du premier film James DeMonaco établit celui-la dans les rue de Los Angeles. Cela permet de créer une atmosphère oppressante, angoissante et terrifiante. Cette critique de l’Amérique moderne ultra-militarisé et capitaliste est très réussi: le réalisateur dénonce la violence par la violence.

meilleur que le 1er plus d'action on s'ennuie pas ces américain vraiment des idées de fou mdr

J'ai préférer ce deuxième opus au premier. Le film ce passe dans la rue une nuit de purge. Nous ne somme pas focalisé que dans une maison mais dans toute la ville. Les acteurs sont pas mal avec un ancien de prison break ^^.

très bon comme le 1 mais je préfére celui la que le 1 : ce 2 éme volet est plus centré sur l action les acteurs joue toujours aussi bien et le scénario est éxactement ce qu on atendais voir la purge ce qui se passe dehor et les pérssonnage je trouve qu il son plus atachans que ceux du 1 bref une très bonne suite 4/5

impatient de voir cette suite, le premier était assez bien. ;-) mais parfois les suites déçoivent.