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    American Nightmare 2 : Anarchy
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    567 critiques spectateurs

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    Fabien D
    Fabien D

    178 abonnés 1 137 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 août 2014
    Le premier volet de The purge (american nightmare en vf) était une série B sympa partant d'une idée de base qui, à défaut d'être complètement novatrice, tenait plutôt bien la route. Cette suite utilise non plus l'espace de la maison mais celui de la ville toute entière pour livrer une critique de la société américaine capitaliste dans une ambiance qui rappelle le cinéma de John Carpenter. Or si l'ensemble dynamique se regarde sans déplaisir (les scènes de courses-poursuites et de fusillades étant plutôt haletantes), le bas-blesse si l'on tient compte du scénario. En effet, American nightmare 2 comme son prédécesseur est assez convenu dans son déroulement avec ses figures imposées et ses personnages stéréotypés sans grande psychologie mais il souffre aussi de défauts encore plus évidents. Le contexte politique omniprésent est traité de manière beaucoup trop caricatural (une scène de chasse entre riches et pauvres too much) et la fin excessivement moralisatrice est presque digne d'un téléfilm à l'eau de rose. Si l'on omet ces défauts, American nightmare fonctionne parfaitement en tant que film pop-corn, c'est rythmé, malsain jusque ce qu'il faut, violent sans être insoutenable, proprement filmé, bref, on passe un assez bon moment si l'on fait fi du scénario qui, entre les mains de John Carpenter, aurait sans doute eu beaucoup plus d'épaisseur!
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 31 juillet 2014
    Après avoir vu le 1er qui pour moi qui été plutôt réussi nous avions hâte de voir le nouveau avec un budget beaucoup plus élever. Le scénario de base est toujours aussi captivant et prenant (la purge …) mais aucun suspense dans les scènes et on peut presque prévoir toutes les actions qui vont se passer.
    Déçu du scenario qui ressemble à tous les films d’action à l’américaine, heureusement que c’est bien produit et que le concept de la purge de nous garde en haleine.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 31 juillet 2014
    Le premier volet était un huis clos qui nous apprenait que l'enfer c'est les autres. Là on nous apprend que l'enfer c'est les suites comme celle ci. Casting de série B même avec la présence de Frank Grillo, lenteur du rythme servi par un montage standard, propos simpliste du type les riches blancs méchants contre les pauvres noirs et latinos gentils. Et un père vengeur au milieu de tout cela. Les gens qui y ont vu un hommage à John Carpenter (cf critique 4 * de Remy J), réalisateur dont je connais l'œuvre en profondeur, n'ont pas vu le même film que moi !
    Un film qui aspire tous les clichés donc plein de vacuité.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 31 juillet 2014
    American Nightmare 1 était un film original...
    Encore une suite de film malheureuse.
    Dans le 2, c'est manichéen au possible ! Les méchants riches Blancs qui enlèvent les gentils pauvres Noirs pour les tuer et débarrasser la société des "assistés" ("la purge" donc...

    Vraiment pas terrible...
    cylon86
    cylon86

    2 509 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 juillet 2014
    Conforté par le succès du premier "American Nightmare", sorti il y a un an, voilà que James DeMonaco nous en livre la suite, continuant d'explorer l'Amérique qu'il a imaginé, où le crime est autorisé pendant une nuit par an. Là où le premier ne tenait pas ses promesses et se situait en huis-clos, ce deuxième opus nous montre comment se déroule "La Purge" à l'extérieur à travers le parcours de plusieurs personnages qui vont tenter de survivre durant la nuit. Si son scénario ne nous réserve que peu de surprises, il est cependant assez bien écrit pour que l'on se laisse prendre au jeu et il est même plus intéressant que son aîné, James DeMonaco continuant de nous livrer une critique acerbe des États-Unis où le système finit toujours par profiter aux riches. Bien mis en scène et porté par un Frank Grillo charismatique, cette suite se laisse regarder sans déplaisir même si elle ne nous apporte rien de nouveau.
    eldarkstone
    eldarkstone

    217 abonnés 2 073 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 juillet 2014
    Un divertissement de bien mauvaise qualité, pas vraiment un film d'horreur ou d'angoisse mais plus dans l'action, avec des personnages et leurs histoires tout ce qu'il y a de plus banal, et sans aucunes surprises ni suspense ...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 30 juillet 2014
    James DeMonaco revient à la réalisation après le succès d’estime d’American Nightmare pour un second volet sous-titré Anarchy. Avec Michael Bay à la production, on pouvait s’attendre au pire. Le réalisateur américain, au nom de paradis fiscal, tire pourtant son épingle du jeu, et justement décrit une satyre de l’Amérique de la finance féodale. Peut-être parce que le pouvoir décisionnel doit s’étioler avec cinq co-producteurs. Tant mieux.

    En 2023, les États-Unis sont dirigé par les nouveaux pères fondateurs, une oligarchie qui n’a jamais quitté le pouvoir depuis qu’elle a été élue, il y a 9 ans. Ce gouvernement autocratique a mis en place une nuit annuelle où les services de l’État sont mis en sommeil. Cette nuit-là, appelé la purge, les citoyens américains peuvent laisser place à leur instincts de morts, tuer et massacrer qui bon leur semble. Shane (Zach Gilford)et Liz (Kiele Sanchez), un jeune couple en pleine séparation se retrouve isolé après une panne de voiture. Ils rencontrent Leo (Frank Grillo), un homme qui veut venger la mort de son fils, et qui vient de sauver une mère et sa fille, Eva (Carmen Ejogo) et Cali (Zoe Soul), d’une mort certaine. Le quintet va s’unir pour survivre à cette nuit cauchemardesque.

    American Nightmare 2 condense en une nuit, tout ce qui fait que l’Amérique peut devenir, pour les classes laborieuses, un cauchemar à l’année. Si, dans le film, la violence culmine lors de la purge organisée par les nouveaux pères fondateurs, dans l ‘Amérique en vraie, l’absence d’interdiction des armes à feux permet à n’importe quel américain de faire justice lui-même tout au long du calendrier. Comme l’on montrait les militants contre le lobby des armes, tel Michael Moore dans Bowling for Columbine, il faut moins chercher, dans les massacres perpétrés aux États-Unis, défrayant avec une monotone régularité les chroniques, le signe de quelques déséquilibrés asociaux et gamers que ceux d’une société malade qui confond droit à la sécurité et vengeance personnelle. Pendant que les masses se sentent protégées par les dieux Smith et Wesson, elles sont néanmoins bien dépourvus face à la crise des surprimes. Paraît-il qu’au plus fort de la crise des traders venait à Wall Street avec des gilets pare-balles. Si ce n’est pas une légende urbaine, ils avaient bien raison. On se demande bien ce qui a pu protéger d’un incident mortel quand on tue, à travers le pays, pour moins que ça… C’est ce qu’avance, Carmelo (Michael K. Williams, vu dans The Wire), sorte de Malcom X bien décidé à profiter de la purge pour donner une leçon à quelques puissants. Autrement dit, reprendre l’avantage sur un système, qui par finalité capitaliste, se sépare des plus vulnérables. Ce sont évidemment les SDF, les malades, les femmes et les vieux qui trinquent le plus lors de la purge. Univers de science-fiction fantasmé, American Nightmare 2 n’expose pas moins une réalité bien vivante, nous ne sommes que de la chair à capitaux, et si notre travail rapporte, nous coûtons trop cher. Le système des nouveaux pères fondateurs n’est qu’une extrapolation expéditive de nos politiques publiques. Pour la première fois depuis la première révolution industrielle, cette décennie, alors que nous devrons travailler plus longtemps, notre espérance de vie a diminué. James DeMonaco répond à cet état de fait, non pas par l’indignation proprette, mais par la résistance civique d’un peuple qui devra mettre en œuvre la déclaration des droits de l’homme de 1789 : « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs. »

    Dans ce système incroyablement favorable aux riches, violent comme peut l’être le capitalisme financier, Carmelo et ses acolytes rendent justice aux plus faibles, et la révolution ne se fait pas avec des roses. Au détour d’une rue, un banquier est pendu avec un message d’avertissement aux fonds de pensions qui jouent avec les retraites. James DeMonaco rend hommage à la filmographie de John Carpenter en filmant une violence contenue, planante comme une ombre. Les groupes armés qui terrorise la ville prennent des allures fantasmatiques. À l’image d’un système qui ne dit pas son nom. Parmi ces fantômes, certains sont des militaires aux ordres, sans libre arbitre, chargeait d’aider un peu la chance à nettoyer le pays des plus pauvres. Une solution radicale au chômage de masse. Autre allusion sans équivoque à la véritable Amérique, la télévision ainsi que de nombreux participant à la purge récite une litanie louant les bienfaits de la purge et des nouveaux pères fondateurs. Ou comment, le patriotisme exacerbé devient fanatisme. Un instant, cela donne un effet sectaire, l’instant d’après on se dit qu’après tout, ce n’est pas plus malsain que l’hommage rendu au drapeau dans toutes les écoles américaines. Dans un dernier acte explosif, la ressemblance avec Les Chasses du comte Zaroff de Ernest B. Schoedsack est flagrante. Déjà d’actualité en 1932, à l’époque le fait d’un aristocrate qui s’ennuie, la chasse aux pauvres est aujourd’hui celle d’actionnaire sans âmes qui se paient le luxe d’organiser un dîner de gala pour un massacre. Sur le même thème, nous vous conseillons au passage, l’excellente série Chosen.

    American Nightmare 2 : Anarchy ne parle pas d’anarchie, si ce n’est celle qui prend place l’unique nuit annuelle de la purge. Le thème du film est bien plus, la révolution à venir face à un système unique et cynique, organisant petit à petit, l’embrigadement et le contrôle des travailleurs. D’abord victime, ces derniers deviennent, par la lutte, les vainqueurs, et franchement, on aimerait que cette capacité de se révolter soit plus réelle que ne l’est ce cauchemar américain.

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    Danièle L
    Danièle L

    4 abonnés 46 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 juillet 2014
    Ce film n'est pas la suite du premier! Sur le même thème, dans un futur proche, la solution aux problèmes de violence, de pauvreté et de surpopulation aux États Unis, c'est la Purge! Une nuit de violence extrême où tout est permis, même le meurtre. Le premier film était un "home invasion", huit clos autour d'une famille, là changement d'échelle, on est en ville et on suit plusieurs personnages qui tentent de survivre à la Purge.
    Petite production de série B qui s'assume, plutôt bien ficelée (malgré Michael Bay en producteur!), on a juste envie de savoir comment les personnages principaux vont s'en sortir, et de passer outre le message manichéen (guerre des classes et apologie de la violence).
    Bon action movie...
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 30 juillet 2014
    Le concept innovant du premier opus n'étant plus une surprise dans ce second volet, cette suite est un peu décevante car l'atmosphère du film n'est pas aussi inquiétant et glauque mais la pression et la tension reste présente tout au long du film.
    Sam G
    Sam G

    12 abonnés 86 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 juillet 2014
    meilleur que le premier vu qu il est pas confiné dans une maison. Une bonne ambiance avec un bon déroulement. il manque le gore pour faire de ce film une réussite.
    Nicolas L.
    Nicolas L.

    17 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 juillet 2014
    American Nightmare 2 est largement mieux que le premier. Tout au long du film nous suivons les personnages qui tentent d'échapper à cette nuit de Purge. J'ai passé un très bon moment, spoiler: malgré la fin qui m'a laissé sur ma fin
    .
    tupper
    tupper

    132 abonnés 1 378 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 août 2014
    Soigner le mal par le mal. C'est le principe de ce film qui montre la violence pour essayer de nous en détourner. Plus réussi à mon gout que le premier opus, ce second volet ne se contente pas de montrer mais va plus loin dans la démonstration des dérives de cette purge annuelle sur les aspects sociaux, économiques, psychologiques, ...
    Matt D.
    Matt D.

    51 abonnés 12 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 juillet 2014
    Manque de rythme et de dynamique malgré une histoire et une morale intéressante ... Malheureusement il manque la mise en valeur de la mort par la purge !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 30 juillet 2014
    Au delà du concept de base qui est déjà très puissant, ce film maintient en haleine pendant toute sa durée. Les personnages ne sont pas construits avec beaucoup d'originalité, mais le suspens est bien là et on passe un excellent moment.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 30 juillet 2014
    J'aimerai bien le voir , j'ai super aimer le 1 mais le 2 n'est pas encore sorti au pathe des rives de l'orne mais ça fa
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