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pierrre s.
429 abonnés
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2,0
Publiée le 10 septembre 2014
Le fond est plutôt bon, voir même assez intéressant, mais c'est au niveau de la forme qu'il y a un problème. En effet, le film a mal vieillit, et ce trouve visuellement très daté.
Réussissant à faire passer la tension grâce à une réalisation soignée le réalisateur livre un film intéressant dans son sujet en lui apportant un athomsphère gothique qui est une valeur ajoutée. Ni raté ni réussi Stigmata reste un film à voir au moins une fois. 13/20
Après La fin des temps, Gabriel Byrne récidive avec Stigmata en passant coté clair de la force cette fois. Beaucoup moins films d'action et beaucoup plus épouvante. Ce film au scénario plutôt bien ficelé est à voir si on est un peu fan de complots du vatican et si on veut voir Patricia Arquette pas encore super médiatisé avant Médium.
Quand une athée se réveille avec les stigmates de Jésus Christ sur son propre corps, cela donne lieu à des situations qui auraient pu être intéressantes. Hélas, cette bonne idée n'est pas exploitée à bon escient. Il en résulte un piètre film jouant plus sur les quelques sursauts et l'affrontement que sur l'ésotérisme ou la réflexion. J'aurais bien été indulgent encore s'il y avait de vrais moments de frayeurs intenses.
Typiquement le film post Seven voulant à tout prix imiter l esthétisme de ce dernier avec un scénario mélangeant religion catholique et scènes sanglantes. Si c est le premier film de ce genre que l on voit il est peut être pas mal mais quand on en a vu plus de trois.. On a cependant le droit à un Gabriel Byrne une fois de plus impeccable.
BON petit film à voir. Cela faisait bien 5 ou 6 ans qu'il traînait dans mon armoire _ enfin je l'ai maté et franchement pas si décu que ça. Un bon petit moment ou on ne s'ennuie pas les acteurs sont bons & ça démarre très vite en +.
Bien trop sérieux et tristounet , ce film est d'un ennuie mortel; la religion ,le Vatican et son mysticisme au premier degré sont affligeant de lourdeur. Ces images sombres relatives aux lieu de culte sont contrasté par l'ambiance "années 80" qui règne dans les grandes villes de l'Amérique,c'en est presque ridicule. J'ai coupé au bout de 30mn.
Une production très ''années 90'' (comprenez un fond musical omniprésent, un morceau hardrock par scène d'action, coiffures et tattoos à profusion..) qui, au delà de la pointe nostalgique, s'en sort plutôt bien au rythme de petites intrigues sympathiques et de théories ''conspirationnistes'' toujours aptes à intéresser l'audience. Une sorte de DaVinci Code petit budget qui, sans casser des briques, parvient tout de même à être agréable.
Petite production fantastique qui flirte avec l'épouvante, "Stigmata" entre le registre religieux avec des idées qui rappellent parfois "L'Exorciste" de William Friedkin mais qui ne parviennent à procurer les mêmes sensations que le chef-d’œuvre horrifique des années 70. Tandis que certains apprécieront les nombreuses références bibliques, d'autres désapprouveront la simplicité du scénario qui ne surprendra que les non initiés au genre. De leur côté, les acteurs font de leur mieux et l'on ne peut qu'applaudir la perspicacité de Patricia Arquette et de Gabriel Byrne qui tentent par tous les moyens de donner un second souffle au travail de Rupert Wainwright. Peine perdue pour eux car l'absence de tension et de rebondissements dignes de ce nom plombera pour de bon ce long-métrage peu ambitieux.
Une jeune coiffeuse non-croyante de New-York reçoit par erreur le rosaire d'un prêtre très pieux décédé au Brésil et dans l'église duquel des miracles apparaissent après sa mort. Elle commence à ressentir des saignements abondants aux poignets (à la marque des clous), ainsi que d'autres stigmates, a des visions, parle et écrit en araméen et en italien lors de ses crises d'apparence épileptique que la Science médicale n'explique pas. Un prêtre spécialisé dans les miracles l'interroge puis se désintéresse d'elle car les miracles des non-croyants n’intéressent pas le Vatican. Or un complot a lieu au Vatican. Un cardinal assoiffé de pouvoir fait disparaître toute trace d'un "cinquième évangile" découvert lors de fouilles archéologiques. Le jeune prêtre prend son courage pour désobéir au Vatican et connaître la Vérité. Il apprend la Vérité et déjoue une tentative d'élimination de la Témoin clé.
Très bien filmé. Je donne 5* pour la valeur artistique du film. Par contre, théologiquement, on reste sur sa faim (et sa soif) : si "le Royaume de Dieu est au-dedans de nous", on le savait déjà (c'est déjà dans les Evangiles et les Amérindiens nomades avaient déjà énoncé la 'temploclastie'), et en quoi cela rendra-t-il moins insignifiante la vie d'une petite coiffeuse d'une grande ville ? Pourquoi Dieu fait-il souffrir ses créatures en leur envoyant des stigmates ? Pourquoi les démons nous tentent-ils plus fort quand on est plus proche de Dieu ? (N'est-ce pas qu'Il les a créés ?) Pourquoi Dieu n'annonce-t-il pas son message par le coeur de chacun de nous plutôt que par la destinataire unique du rosaire du Pieux défunt ?))
On pense il est vrai à "L'Exorciste" en regardant ce film mystique, cependant le tout est trop lisse, il manque l'ambiance si particulière que l'on avait dans le film des années 70. Au final, "Stigmata" est assez plat et ne restera pas dans les mémoires.
Bonne réalisation surtout vu le nombre de films dans le genre. Gabriel Byrne est convaincant en prêtre scientifique. L'ambiance est crispante... De bons effets spéciaux mais sans en faire trop font de ce film un bon divertissement...
Stigmata est un énième film traitant de possession démoniaque et de la puissance de la religion pour contrer les forces du mal. Ce film aurait pu être un bide complet mais s'en sort finalement plutôt bien; le scénario n'est pas si bancal et tient la route, Gabriel Byrne a su tenir son rang et les séquences de possession sont pas mal fichues (jusqu'à faire froid dans le dos!). Stigmata est à réserver aux amateurs du genre.
Le clip gothique selon St Thomas. Dans la même veine que Les Âmes perdues (2000) pour sûr bien moins fun que La fin des temps (1999), Stigmata est malheureusement victime de la conjoncture et des garanties visuelles de son époque. Si l'indigestion vient vite, la conduite du récit et le casting donne de l'allure à l'ensemble.