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Hollywood-Biographer
205 abonnés
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2,0
Publiée le 30 décembre 2012
Simpliste et prévisible, "Cobra" n'en demeure pas moins un bon divertissement. Par sa présence et ses répliques, Sylvester STALLONE tient le film à lui tout seul. Malheureusement, ce n'est pas suffisant pour permettre à George PAN de faire un film plus convainquant. Son oeuvre cinématographique se caractérise par des scènes répétitives et invraisemblables. Il y a également trop de personnages inutiles dans le déroulement de l'intrigue. À commencer par les adeptes du "nouveau monde". Le réalisateur commet l'erreur de ne pas nous expliquer leurs véritables revendications. On appréciera surtout "Cobra", car il évoque la nostalgie des films d'action des années 1980.
Un personnage hors catégorie taillé sur mesure pour stallone dans ce film d'action simple mais d'une rare tenacité. Le combat contre l'ultraviolence par des méthodes peu banales.
le duo Stallone et Comsmatos se retrouve de nouveau après un Rambo 2 complètement fou et livre un polar entre L'inspecteur Harry et Maniac. Pourquoi je di ça ? Tout d'abord Cobra est l'adaptation libre d'un roman intitulé Fair Game, dans cette adaptation Stallone interprète un flic aux méthodes dures qui doit protéger une témoin d'une bande de tueurs psychopathe. Si au premiers abords il n y a rien de bien original dans ce traitement, il faut voir du côté de la mise en scène et de la caractérisation des personnages. Si j'ai évoqué L'inspecteur Harry et Maniac c'est tout simplement l'aspect urbain représenté et omniprésent de la ville, le fait de s'intéresser aux bas fond d'une ville qui semble moderne, le film se montre au final plus glauque que les polars de la même époque. Ensuite sa mise en scène dans l'exécution des meurtres enchaine les plans agressifs, extrêmement courts comme si nous étions devant un film d'horreur et souvent le film tutoie le slasher avec ces scènes de poursuite entre le tueur impitoyable et la jeune vierge. Alors que la jeune vierge aurait défait le tueur, dans Cobra, celui qui défait le tueur et sa bande est la version musclée de Harry: un adepte du gros calibre mais aussi une tête brulée qui critique ouvertement le système juridique. Le mélange des genres dans Cobra ne peut pas sauter aux yeux du 1er coup mais en le revoyant de nombreuses fois, cela se voit finalement et rend le film très intéressant. Même si l'interprétation est inégale par moment, la vraie star du film est Stallone qui assure un spectacle dantesque. Cobra est loin d'être un nanar étant donné que le mélange des genres apporte une touche surprenante. Et si il est vrai que la musique est un peu bizarre, que nous avons droit à des scènes de remplissage un peu bizarre voir glauque (une séance photo avec des mannequin électronique), ce film, que peut être beaucoup on oublié, reste intéressant à voir. Cobra est un bon Stallone.
« Cobra » est un petit plaisir coupable que j’assume totalement. Le scénario bourré de facilités et de caricatures tient sur un post-it, la réalisation simpliste n’est pas beaucoup inspiré tandis que le casting assez faiblard repose principalement sur le charisme de Sylvester Stallone (Marion « Cobra » Cobretti). Pourtant, ça fonctionne. L’action manque parfois un peu de rythme mais je me laisse prendre au jeu de ce nanar assez classe dont notre héros principal porte la réussite sur ses épaules. Parfait film pop-corn du samedi soir à voir entre potes, « Cobra » ne se prend pas la tête et demeure un divertissement assez jouissif qui aurait peut être mérité d’aller un peu plus loin pour me convaincre davantage.
Cobra réalisé par George Pan Cosmatos Avec Sylvester Stallone (mon acteur préféré ) Cobre un bon film dans son ensemble ,bon scénario , des décors vraiment bien fait , des scènes d'action époustouflants , Un Stallone en pleine forme ! Bon film a voir et a revoir ! De l'action et de l'humour a la Stallone !!
Critique de "Cobra". Stallone en policier qui est là pour buter les méchants et qui a ses propres méthodes. Alléchant non? Notre protagoniste est prêt à tout pour faire la justice, même à désobéir à ses supérieurs. Ça tombe bien il semble qu'il y ait un tueur en série semant la terreur dans la ville, Mr Cobra va mener l'enquête tout seul. La suite du film c'est des gunfights, combats... Le problème c'est que je n'accroche au truc de la pseudo secte qui a pour idéologie de tuer des gens sans raison, et même les répliques sont flinguées. Pas crédible tout ça. 2/5
Fim très noir et très violent... Stallone machouillant son cure-dent est fixe et se la joue un peu trop... La réalisation nerveuse de Pan Cosmatos ne sauve pas le film de la médiocrité absolue...
Visuellement très laid, Cobra est quand même un film que j'adore car complètement "old school" et décomplexé. C'est dommage que de nos jours on ne fasse plus de tels films d'action où la justice sauvage prouve son utilité. Du bon vieux cinéma.
Archétype de l'invincible bad boy, "Cobra" nous livre une prestation caricaturale du film d'action pour adolescents. On y retrouve Sylvester Stallone dans son célèbre blouson en cuir et masqué par des lunettes de soleil à l'épreuve des balles. Se démarquant par un scénario archi prévisible mais qui procure tout de même certaines scènes d'action bien pensées, "Cobra" tombe malheureusement dans la banalité après l'usage de nombreux clichés et répliques qui tuent. En bref, ce long-métrage se rapproche davantage d'une violente comédie que d'un film digne de ce nom.
Dans la filmographie de Stallone ce film est un peu l’équivalent du Commando de Schwarzenegger, mais l’humour et le second degré en moins. Le fait de n’avoir aucune distance par rapport à son sujet le rend d’autant plus savoureux. En réalité, la seule bonne idée du film est son bad guy, Night Slasher, tout droit sorti d’un slasher et auquel Brian Thompson prête sa gueule si caractéristique. Pour le reste Cobra pourrait faire partie de la trilogie du melon au côté de Rambo 3 et Rocky 4. Stallone est alors au sommet de sa gloire et de son pétage de plomb et se fend de parler politique. Après avoir montré comment régler définitivement le problème posé par ces pourritures communistes, il décide de s’attaquer à la criminalité. Il ménage même des scènes de dialogues entièrement destinées à donner son point de vue sur la question. Et autant dire qu’à côté de Marion Cobretti, Harry Callahan est un petit joueur. Pour paraphraser le héros, les flics arrêtent les voyous et les juges les relâchent, donc autant les buter (les voyous hein, pas les juges… Encore que…). Sinon la violence y est totalement gratuite, le scénario est abracadabrantesque, le premier rôle féminin est tenu par Brigitte Nielsen, alors femme de Stallone, 1m85 de blondeur et de non talent dramatique, les autres acteurs ne sont pas plus brillants ; bref impossible de ne pas aimer.
Un bon gros film bourrin (classique chez Stallone) mais qui a l'avantage d'être SALE (moins classique chez Stallone). De très bon moments, ça tire un max (c'est le but) et ça nous met la tronche dans une société pourrie par la violence et la peur. La France, 20 ans de retard sur les USA.....
Film 100% action, 100% sans concession, et 100% Stallone, plus charismatique tu meurs, un look super, des répliques et une répartie qui ne sont pas sans me rappeler l'inspecteur Harry ("c'est alors que la loi s'arrête, et que Moi j'interviens")! C'est brut de décoffrage, ça pète de tout les cotés, on pourrais reprocher au scénario de pouvoir pratiquement tenir sur un timbre poste ... et alors ?? Qu'est ce que ça détend et défoule ! petite mention au trois chanson que l'on rencontre durant le film et que j'apprécie beaucoup :"Feel The Heat" "Angel of the City" et "Son's of American Songs"