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Un visiteur
1,0
Publiée le 26 mars 2014
M'sieur Payet on s'est croisés Place des Vosges (ha oui qd même). Si j'avais su je t'aurais demandé de me rembourser ces 20€. Moralité, ne jamais écouter les critiques à la TV ...
Malgré un jeune Manu Payet avec un potentiel certain, c'est l'un des films auquel je me suis le plus ennuyé de toute mon histoire du ciné dit ça n'égale pas encore le film Quai D'Orsay avec Thierry Lhermitte. J'ai du rire que quelques fois, et encore. Non vraiment, je suis désolé mais ce film ne mérite pas d'être vu au cinéma, j'éprouverais même une certaine réticence à le voir quand il sera diffusé plus tard sur une chaîne publique. Ce que j'aurai du faire, c'était prendre ma paire de lunettes 3d et aller dans la salle à coté où était projeté La Légende d'Hercule. Pour vous dire que je me serais certainement moins ennuyé sur un blockbuster américain sans originalité plutôt que ce film. Pas la peine d'en rajouter plus, à moins d'être un bon fan de Manu Payet, je ne conseille pas ce film sauf si vous aimez vous forcer à rire, au choix !
et encore une comédie moyenne , pourtant j'aime bien le petit payet mais la je n'ai pas accrocher , je n'ai pas rigoler du film quasiment , le film aurait pu être bien meilleur car le sujet avait du potentiel , dommage
Apres le très bon Radiostar ce nouveau film avec et cette fois de manu payet m'a decu. Beaucoup de vannes tombent a l'eau et si l'histoire se suit c'est un peu du réchauffé - reste que c'est sympathique et sincère. Ca se regarde mais ca reste quand même assez moyen. Mention quand même au trio de tete qui joue très bien , beaucoup moins convaincu par les seconds roles par contre. La real est globalement sympa avec des passages qui rendent hommage a des films comme 500 jours ensemble ou retour vers le futur. C'est con que l'écriture pêche a ce point. Alors que c'etait le point fort de radiostar.
Je ne comprends vraiment pas les très bonnes critiques de la presse, c'est une comédie vraiment lourde seule Anaïs Demoustiers sort son épingle du jeu.
Après un "Radio Stars" franchement surcoté – film de bande à la bonne humeur communicative mais qui marquait un peu le pas devant ses modèles anglo-saxons ("Good morning England" par exemple) – voilà qu’à lire les critiques des spectateurs Manu Payet et son complice Romain Levy auraient cette fois écrit une bouse, un film navrant et j’en passe… Je trouve la charge super injuste. "Situation amoureuse : c'est compliqué" ne révolutionnera pas la comédie romantique, c’est sûr. Le genre est très balisé et cette 1ère réalisation de Manu Payet se veut autant un hommage qu’une nième variation. Mais ce petit film sincère a quand même des qualités qui sautent aux yeux. D’abord Payet a eu l’intelligence de ne pas se donner le beau rôle. Immature, faible, lâche même, drôle aussi bien sûr, mais sans être un roi de la vanne, son personnage renvoie plaisamment aux adulescents des comédies d’Appatow comme au héros irrésolu de "Sideways", le film d’Alexander Payne. Mais la vraie force du scénario, ce sont les rôles secondaires : tous les personnages sont travaillés, tous trouvent dans le déroulement du film leur propre trajectoire. Une générosité d’écriture qui surprend plutôt et produit de savoureux numéros d’acteurs, en révélant au passage quelques comédiens jusque là absolument inconnus. Un chouette film générationnel. Un film de mecs sans doute, mais la revanche arrive bientôt les filles : "Les Gazelles" sort demain !
Un excellent moment de détente. Les histoires et les images, filmées par des français sont meilleures d'une année à l'autre. Arriver à traiter l'homme, la femme, modernes et leurs relations actuelles est un tour de force (surtout pour les neurones). Manu Payet y arrive avec brio (et une belle paire d'actrice).
Quel est le titre de cette comédie romantique que je viens de voir ? C’est la question qui me traverse l’esprit, il me faut quelques minutes pour me remémorer ce titre oubliable de cette comédie chagrin et qui souffre d’un manque de caractère évident. Situation amoureuse, c’est compliqué. Ça me revient maintenant.
A l’instar du personnage principal incarné par un Manu Payet crédible, le manque de caractère, de vie est présent à tous les niveaux : du scénario convenu aux seconds rôles moyens en passant par des dialogues plats comme une mer sans houle, on se noierait presque dans l’apologie du vide si un je-ne-sais-quoi de touchant ne venait sauver ce petit naufrage en bande organisée.
Truc muche, le personnage principal dont j’ai oublié le nom tant on le regarde sans le voir et on l’écoute sans l’entendre est un jeune trentenaire un peu pataud, qui se laisse vivre paisiblement au gré des humeurs des autres. Pas franchement énergique, ni intéressant, ni aimable, ni attachant, ni quoi que ce soit d’ailleurs qui entre dans la colonne « positif », il va passer à côté de son premier amour adolescent, une jeune fille américaine.
Ellipse de circonstance, nous voilà plongé au cœur de sa routine, entre sa fiancée et ses amis. Tous les mécanismes de la comédie sont présent : un meilleur ami attachant, un autre franchement lourd mais qui se révèlera être le plus humains de tous, une nymphomane offrant deux gags qui feront souffler quelques nez dans la salle et surtout, une jeune fille Américaine devenue Femme avec un grand F. Et une petite amie tiens, accessoire et transparente, relayé au second plan (on en regretterait presque le choix de Truc muche).
Parce que voilà, tout l’intérêt du scénario réside dans le fait que, Ô miracle, cette Vanessa qui refusait de sortir avec Doc Truc muche, vient s’installer sur Paris pour ouvrir un restaurant. L’occasion de partir à la conquête de son passé est trop belle, et voilà notre truc muche enlisé dans la gadoue, un pied dans son passé, l’autre dans son avenir, jouant sur deux tableaux dont le premier dépeint une aventure revancharde empreinte de nostalgie et l’autre une routine confortable mais pas bien folichonne. Dilemme : oser le choix du renoncement et tout quitter pour un amour de lycée ou continuer sa petite vie stable, heureuse mais sans fioritures ? C’est le choix Cornélien auquel est confronté notre héros. Dur la vie de personnage de film.
Sans jamais parvenir à jouer des coudes avec la pléthore de comédies Françaises qui remplissent leur office avec succès (l’Arnacoeur ; Un bonheur n’arrive jamais seul) voire brio (L’amour dure trois ans ; 20 ans d’écart), ce film dont j’ai à nouveau oublié le titre, qui me revient après un scrolling vers le haut, possède pourtant l’énorme qualité de parvenir à ne pas totalement endormir le spectateur, mais à le laisser dans un état de semi-éveil, entre ses courses du soir et la beauté intrinsèque d’Emmanuelle Chriqui.