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    Nymphomaniac - Volume 2
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    3,2
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    210 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 6 février 2014
    Moins cru, mais nettement plus captivant que le premier volet, ce "Nymphomaniac" est une réussite !
    Petiot L
    Petiot L

    35 abonnés 310 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 novembre 2017
    Voilà un film qui n'est pas que du divertissement ;
    Il nous retourne; nous fait reflechir ; repugne.
    Injustices; incomprehension;
    L' humain, les hommes, une maladie.
    C'est cru et difficile.
    Julien Vasquez
    Julien Vasquez

    31 abonnés 1 094 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 septembre 2019
    On retrouve le story telling à la Lars von Trier avec un montage parfois hasardeux. L'histoire, elle, oscille entre le pseudo intellectuel et une réelle interrogation sur l'humanité en général. La fin déçoit vraiment.
    donniedarko1
    donniedarko1

    37 abonnés 189 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 mars 2014
    Déroutant, la suite de Lars Von trier n'en est pas moins originale esthétique et sublime. Assez violent mais indispensable, rien de tel cette année, un ovni dans l'offre cinématographique tellement formatée actuellement... Une grande réflexion pleine de digressions et des clins d'œil à la trilogie melancholia/Antéchrist et nymph(0)maniac volume 1 avec des emprunts et motifs de répétitions à la fois jouissifs et terrifiants... Un must
    nielrowbooks
    nielrowbooks

    24 abonnés 669 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 novembre 2014
    On poursuit le récit de Joe, et on a fait le tour de la chose ou à peu près. Nous n'irons pas jusqu'à acquiescer aux idées de von Trier, lesquelles sont ici quelque peu survolées et mériteraient un aller plus profond. Mais cela nécessiterait un film plus que long. Nous retiendrons des deux parties que l'addiction n'a rien d'enviable. 10 amants dans la journée, on veut bien mais ça fait 10 heures d'occupation. On travaille quand ? La réponse est dans le film, en faisant un régime sec. Et finalement ceux qui persévèrent à classer cette oeuvre dans la catégorie érotisme, ont tout faux. C'est comme si un mec de 400 kilos était présenté comme un gourmet de génie. Non seulement l'érotisme est absent, mais la vie de l"héroïne, si on peut l'appeler ainsi, est un enfer. Pour elle et pour les autres. La nymphomanie est une maladie sexuellement intransmissible mais qui bénéficie d'un préjugé favorable dans la société, même si les gens regardent les sujets atteints d'une manière torve. Remarquons que certains voient dans cette histoire un épisode plus ou moins féministe, mais il leur faudra expliquer en quoi une maladie pourrait devenir un porte-drapeau du mouvement.
    Nous n'aurons pas tout dit sur cette oeuvre qui appelle au débat. Rien que pour provoquer ce dernier, la réussite est complète. A suivre ?
    traversay1
    traversay1

    3 579 abonnés 4 864 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 février 2014
    Artificiellement détaché de sa première partie, qui laissait espérer un éclaircissement du discours de Lars von Trier, le volume 2 de Nymphomaniac laisse encore davantage sur sa faim. Moins référentiel aux diverses formes de l'art mais pas moins torturé et cynique, ce segment se fourvoie quelque peu dans des explications psychanalytiques qui enfument l'esprit et alourdissent la "thèse" du cinéaste. Nymphomaniac est avant tout l'oeuvre d'un misanthrope, qui utilise le thème de la sexualité féminine pour marquer au feutre sa vision très noire de l'humanité. L'humour est quasi absent de cette deuxième partie qui possède cependant quelques rares moments de poésie, oasis dans une dissertation lourde et confuse. Beaucoup d'insistance sur les pratiques sadomasochistes dans ce volume 2 au cours duquel le duo Gainsbourg/Skarsgard fonctionne cependant très bien. On passera sous silence la pirouette finale aussi incongrue que décevante mais il fallait bien que von Trier justifie sa réputation de vilain petit canard. Que restera t-il, au fond, de ce diptyque ? Quelques éclairs de grand cinéma dans un vaste fourre-tout provocateur et embrouillé.
    cylon86
    cylon86

    2 517 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 janvier 2014
    Après un premier volet qui parlait de sexe avec une certaine poésie, ce deuxième volume de "Nymphomaniac" aborde les choses d'un ton plus lourd et plus brutal. Dans l'histoire racontée par Joe, Stacy Martin fait place à Charlotte Gainsbourg à la recherche d'expériences nouvelles, quitte à tomber dans la violence. Toujours rythmé par les débats entre Joe et Seligman sur la vie de celle-ci, le film reste toujours fascinant par ses scènes et la manière dont elles sont filmées, que ce soit avec noirceur ou avec humour. Mais alors que la poésie s'efface, le film devient moins agréable à voir et des longueurs se font ressentir, commençant à nous fatiguer un peu sans pour autant nous perdre. Car malgré tout, on reste accrochés à "Nymphomaniac" de bout en bout, se demandant bien ce qu'il va se passer ensuite, jusqu'à la fin, surprenante mais excellente.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 365 abonnés 4 180 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 septembre 2016
    Finalement que sait-on de ce Seligman auquel, et Joe, et nous accordons une confiance aveugle. Dès le début de cette deuxième partie, Lars nous ouvre les yeux, on ne le connait pas. Toutefois, son intelligence et son calme fait qu’on peut tout lui avouer. L’habit ne fait pas le moine ? Pourtant Joe est une nympho-maniaque et le revendique sans faux airs. Elle a d’ailleurs prit de l’âge dans ce deuxième opus et est en quête d’expériences nouvelles. En effet, le sexe de son mari ne lui suffit plus. Mais à vrai dire, plus grand-chose ne la satisfait. C’est à ce moment que Lars von Trier nous provoque avec des images de violence à la limite du supportable. Chaque coup que reçoit Charlotte Gainsbourg semble si réel que le spectateur ne pourra rester insensible. Le réalisateur joue avec nos nerfs avec les deux blacks qui se bataillent pour revendiquer tel trou de Joe comme s’il s’agissait d’un bétail. Il joue avec nos nerfs en provoquant l’érection d’un pédophile qui pensait ne pas l’être jusqu’à présent. Il joue avec nos nerfs avec le personnage de K, classe et pleins de mystères, qui pourtant effectue des tâches scandaleusement ignobles en pratiquant la violence sur des femmes. Le CSA a d’ailleurs remonté les bretelles du réalisateur en interdisant aux moins de 16 son premier volume au lieu de 12 un mois plus tôt, et aux moins de 18 au lieu de 16 cet opus. Nymphomaniac n’est pas le porno sans raisonnement qui a tant fait parler de lui. Lars von Trier réalise avec ses acteurs fétiches, un film d’une beauté incomparable qui traite d’un sujet de mal-être et de désespoir.
    D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
    ferdinand75
    ferdinand75

    551 abonnés 3 872 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 mars 2020
    Vu cet Opus sans avoir vu le premier , mais cela n'est pas dérangeant du tout , car on comprend bien le cheminement du récit . Un bon film solide, bien charpenté, mais malgré tout cela qui n'est pas un chef d'oeuvre de LVT. Et on est loin du côté sulfureux annoncé à corps et à cri. D'ailleurs la Promo, et tout le teasing qui a prévalu pendant des mois , nous laissent un peu sur notre fin et a d'ailleurs probablement désservit le film en surgonflant le côté sexuel . Il n'y a rien de vraiment choquant ou de si exceptionnel dans tout cela. C'est moins violent que Antechrist et moins dérangeant que Dancing in the DarK ( deux des chef d'oeuvres de LVT). C'est un film sympa, plus modeste , sur l'introspection d'une JF et de sa recherche initiatique. Elle ressent un mal profond, une révolte sourde, une rébellion contre l'ordre établi , et cela l'amènera à des réactions violentes , contre les gens et contre elle même . La sexualité étant un des éléments de sa recherche. Elle est insatisfaite socialement et sexuellement , mais découvrira vite qu'elle n'arrive pas à assouvir ses instincts , ses besoins. Une fois encore (et comme l'a écrit bizarrement le père de Charlotte dans la vie) "L'amour physique est sans issue ". Elle ira jusqu'au bout , dans les formes les plus extrêmes du sexe, mais cela ne l'apaisera pas. Ni le sexe de groupe , ni le SM, qui sont bien filmé ; mais avec une certaine pudeur au final, surtout quand on sait que tous les gros plans sont fait, soit avec des acteurs Pros , mais surtout le plus souvent avec des prothèses en plastique silicone ( ce qui se voit un peu trop d'ailleurs). . La mise en scène est belle et sobre, la direction d'acteurs fabuleuse comme d'habitude chez LVT. Sa relation avec les acteurs est vraiment un de ses points forts. Sa manière de filmer aussi, , sobre réelle, collé aux corps. C'est beau , c'est émouvant , c'est vrai.
    Félix F
    Félix F

    248 abonnés 2 423 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 septembre 2014
    Revendiqué comme trash, voir pornographique, Nymphomaniac n'en est rien. Alors oui les images sont crus. Mais le film est lent, poétique et passionnant, prenant et envoutant. CHarlotte Gainsbourg est excellente et la réalisation de Von Trier toujours aussi omniprésente. Ce film est un Ovni, controverser mais rondement bien mené. Un grand film pour un grand réalisateur.
    BeatJunky
    BeatJunky

    151 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 juillet 2014
    Mouais, un peu décevante cette suite. Je l'ai pas trouvé aussi subtile que la première partie qui faisait beaucoup dans le comparatif avec la pêche ou les personnages religieux. Ici, Seligman écoute le récit bien plus direct de cette nymphomane sans intervenir autant et c'est ce qui m'a manqué dans cette seconde partie. Malgré tout, c'est paradoxalement cette brutalité qui m'a intéressé ici, Lars Von Trier y va sans prendre de gants et c'est appréciable. Autant, je n'étais pas intéressé par le sujet que je me suis surpris à vouloir connaître la fin de cette histoire qui il faut l'admettre est drôlement bien mis en scène par LVT et bien interprété, particulièrement Gainsbourg qui mérite un grand respect pour tenir des rôles aussi difficiles.
    Malheureusement, ça reste compliqué à décrypter, je n'ai certainement pas tout saisi ni capté tous les clins d'oeil du réal alors mon avis reste mitigé.
    Au final, j'ai trouvé le film original et vaut donc la peine de le regarder mais c'est quand même très spécial et difficilement accessible, ça ne plaira à tous...Mais ça, Lars Von Trier s'en fout! c'est même ce qu'il recherche je pense!
    NammJones
    NammJones

    110 abonnés 1 719 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 septembre 2014
    Un deuxième volet un peu différent du premier avec une histoire moins "passionnante". Il y a moins d'explications, plus de questions, plus de sexe pur et dur sans grand intérêt.Ce volet ne nous révèle plus grand chose et devient un film pornographique sans réelle histoire. Néanmoins, les acteurs sont vraiment concentrés et donnent beaucoup.
    willyzacc
    willyzacc

    78 abonnés 1 544 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 février 2014
    Une seconde partie bien plus brutale, notamment lors de la relation de Joe avec le personnage troublant joué par Jamie Bell (qui est vraiment excellent), dans cette partie peu de place à la poésie, tout est sombre, déprimant. Quelques moments de grâces sont a noter (superbe scène de "l'arbre"), mais les comparaisons philosophiques, culturelles m'ont vraiment lassées, même si ici il y'en a beaucoup moins. Si on prend en compte l'oeuvre en générale je ne sais vraiment pas quoi en penser, si ce n'est que même si ce n'est pas le film qui va me plus le marquer dans la filmographie de Von Trier, et si certains passages sont d'un goût douteux (les pédophiles tout ça tout ça..), ce film à quand même la patte du cinéaste Danois et se place bien au dessus d’Antichrist pour son long portrait de femme dont lui fait faire vivre une vie en marge de la société. Maintenant je vais attendre un peu et revoir tout ça dans la version complète pour me faire un avis définitif..
    Charles R
    Charles R

    51 abonnés 424 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 février 2014
    Lars Von Trier est-il un cinéaste d'une profondeur exceptionnelle ou ne propose-t-il que du vent - comme beaucoup l'affirment ? Difficile de se prononcer. Ce qui est certain, c'est qu'il sait filmer ses hantises, ses obsessions - sexuelles, il va de soi - et les crier à la face de la terre sans la moindre concession. Alors cinéaste du scandale et rien d'autre ? Ce serait méconnaître ce qui fait de lui un réalisateur hors pair, c'est-à-dire son amour de l'art alimenté par une solide connaissance de l'histoire de l'art et en particulier de la peinture - tourmentée, bien évidemment (Balthus, Egon Schiele, Caspar David Friedrich...). On peut certes être indifférent au parcours de Joe, cette femme que recueillait Seligman dans le premier volume et auquel elle livrait des confessions on ne peut plus intimes. Les confessions se poursuivent dans le volume 2 et la crudité des propos ne cesse de s'amplifier. Joe souffre de ne pas connaître l'orgasme : la pauvre ! Elle va donc suivre les conseils de son compagnon : varier les plaisirs et les partenaires. Elle sera bien docile et y trouvera un réel sujet d'addiction. Ah ! Jamie Bell est bien loin de Billy Elliott quand il administre des coups de cravache sur les fesses de la belle Charlotte Gainsbourg. Tout cela a un côté guignol certain. En revanche, Lars Von Trier a le génie des plans époustouflants au moment où l'on est prêt à sourire ou bien lorsque l'on est agacé par sa manière d'enfoncer le clou. Oui, l'esthétique est son point fort et l'on ne peut qu'admirer son sens des plans d'ensemble donnant à respirer au terme de gros plans souvent indigestes, son art de créer des atmosphères, son sens du décor et de la lumière justes. Mais Lars Von Trier est-il, oui ou non, un moraliste - comme le soutiennent ses admirateurs ? Sans doute, mais sa vision du monde est une des plus désespérées qui soient à l'écran et surtout elle est dictée par une érotophobie qui parfois a de quoi inquiéter.
    Diabloxrt
    Diabloxrt

    37 abonnés 1 442 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 novembre 2024
    Seulement 1 mois après la sortie du premier volet, sortait donc "Nymphomaniac - Volume 2" dans nos salles de cinéma. Mais cette suite n'en est finalement pas une, car elle vient simplement compléter un film assez bêtement coupé en deux. Et autant le dire, je suis ressorti de ce second visionnage en me disant qu'une lecture complète des deux projets serait bien plus intéressante. Sans même avoir tenté l'expérience, je pense que si vous voulez une véritable expérience via ce projet, je vous conseille la version longue, sortie un peu après. Je ne l'ai personnellement pas vu, mais il est clair que voir les deux films à la suite doit résoudre un paquet de problèmes. Il n'y a qu'à voir comment nous sommes introduits à ce film pour s'en rendre compte. On débute ce second long-métrage complètement au milieu de nulle part, reprenant de façon assez grossière là où la première partie s'était arrêtée. On se rend vraiment compte de l'échec de cette coupe, via tout ce que le second opus va aborder. On sent que cette œuvre avait beaucoup de choses à dire, ainsi que beaucoup d'éléments à proposer au spectateur. Mais il est clair que c'est assez compliqué de comprendre le message global du film quand cette séparation vient donc séparer les deux parties. Toutes ces questions autour de la sexualité, mais aussi toute l'évolution de ce personnage, peuvent vraiment être intéressantes, mais dans un visionnage d'une traite. Ici, la coupe casse vraiment l'évolution de l'histoire et le développement de notre personnage, même s'il est toujours intéressant de la suivre, car Charlotte Gainsbourg est toujours aussi intéressante à voir jouer. Mais malgré tout, ce second opus n'est toujours pas ce que j'apprécie, n'étant vraiment pas fan de ce genre de délire d'auteur. Cependant, d'un point de vue objectif, il est préférable de tout visionner d'un coup. Si vous souhaitez vous intéresser à ce projet, vous savez ce que vous devez faire. Pour conclure, un film qui souffre beaucoup trop d'une décision pourtant si banale à première vue.
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