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    Nymphomaniac - Volume 2
    Note moyenne
    3,2
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    210 critiques spectateurs

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    cyclo86
    cyclo86

    15 abonnés 129 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 mars 2014
    Une fois le film achevé, on regrette qu'il n'ait pas été projeté en une seule fois, ou de ne pas avoir vu les deux épisodes à la suite (pour ma part, deux mois entre le 1 et le 2). Cette description d'une nymphomane incapable de trouver du plaisir me semble intéressante. Je ne me suis pas ennuyé une seconde, et franchement, y a pas de quoi fouetter un séminariste ou une bonne sœur, c'est cru, mais à côté de tout ce qui circule sur internet...
    Toutefois, est-ce dû à ma vision en deux temps très espacés ?, je ne sais toujours pas ce que l'auteur a voulu exprimer, sinon que nous sommes tous sujets sexuels, comme le montre la fin, avec le vieux "puceau" qui soudain veut se farcir son interlocutrice...
    Critik D
    Critik D

    152 abonnés 1 103 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 avril 2015
    Je n'ai quasiment pas dormi de la nuit, tellement je voulais connaître cette suite, connaître le dénouement de cette histoire, où tout cela allait nous mener. C'est donc avec euphorie que j'ai découvert la suite ce matin. Elle diamétralement opposé à son premier chapitre, j'ai envie de dire logique. On entre dans un aspect plus noir de la personnalité de Joe, ce que cet amour pour Jérôme a créé en elle. Ce besoin d'explorer davantage sa sexualité. J'ai préféré la première partie, peut être parce que le personnage est davantage représentatif de mon âge, que cette réflexion je l'ai également. Ce deuxième volet n'en reste pas moins intéressante, avec une fin que finalement on attend mais que l'on a du mal à penser. On se laisse une nouvelle fois prendre au récit de Joe, annoter des anecdotes de Seligman. Cette fois, on peut davantage apprécier le jeu de Charlotte Gainsbourg, la naïveté de Stacy Martin fait place à la maturité, à la dureté de Charlotte. On est davantage dans une réflexion personnelle de la narratrice plus que dans l'exploration propre au premier opus. Lars Von Trier, nous montre sa deuxième facette de réalisateur, et réussi en deux films traitant pourtant du même sujet à développer deux environnements différents et un revirement propre à sa personnalité. J'ai adoré le plan de Joe et de son âme d'arbre, vraiment magnifique est emprunt d'une certaine poésie. le scénario est tout aussi bien construit que le premier, on ressent moins l'ennuie et les longueurs dont on pouvait être sujet précédemment. On s'attache tellement au personnage de Joe, j'attendrais presque un troisième volume pour savoir ce qu'elle devient, si elle a retrouvé sa vie de femme, ce qu'il advient de Jérôme... En clair, ce deuxième volet est tout aussi prenant, bien que plus sombre, on a plaisir d'y découvrir la suite du casting, et j'ai adoré l'analyse finale tiré par Seligman. J'avais lu, sur un avis qu'il valait mieux s'arrêter au moment où Joe fini son histoire et s'endort. Grossière erreur selon moi, il y aura un manque, un manque à comprendre ce que traverse indubitablement le personnage. Et l'analyse faite durant ses deux films ne seraient pas complète. Je recommande vivement ses deux films, autant l'un que l'autre, apparement chacun y va de sa préférence selon ses attentes scénaristique, il n'en reste pas moins que Lars Von Trier est un génie et qu'il nous le prouve avec ses deux films. Je pense tenter de m'intéresser un peu plus à sa filmographie. En attendant, découvré ses deux films et n'hésite pas à partager votre propre analyse.
    Nico591
    Nico591

    46 abonnés 800 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 février 2015
    Avec provocation et virtuosité Lars Von Trier dresse un portrait de la sexualité féminine sans concessions et s'autorise même à analyser l'addiction au sexe avec beaucoup de justesse.
    Cependant sur les deux films, il peine à rester cohérent et à garde la même force dans le récit tout du long.
    Bravo à Charlotte Gainsbourg qui n'a pas hésité à donner de sa personne pour le film.
    Jérome D
    Jérome D

    24 abonnés 270 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 7 juin 2014
    Autant le e
    1er volet est intriguant, autant celui-ci est sans intérêt avec des scènes et une fin bizarre.
    Alisson G
    Alisson G

    19 abonnés 235 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 mai 2014
    Extrêmement délicat de mal noter un film quand on est en admiration devant le talent indétrônable de l'actrice principale, et de la virtuosité et du génie du réalisateur. Pourtant, moi qui suis d'habitude une fervente adepte des films glauques, dérangeants (c'est rien de le dire!), un poil nombrilistes et philosophiques, je ne peux m'empêcher de déceler une sorte de voyeurisme un peu malsain. Dans Melancholia et Anti-Christ, le talent de Lars Von Trier est à son apogée, on vit le film, on boit les paroles. Dans Nymphomaniac, on ne retrouve pas cette passion, on est moins transporté. On a un peu l'impression que Trier se moque de nous: il en fait trop là où on ne l'attendait pas forcément, et trop peu là où on l'attendait (très peu de scènes de sexe finalement)
    Je suis assez déçue par ce film!
    Pauline G.
    Pauline G.

    37 abonnés 561 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 mai 2016
    Déjà fade dans sa première partie, Nymphomaniac opte dans ce second volet pour un ton cynique, unique issue possible au manque de fondement de ses débuts. La curiosité cède ainsi sa place à la lassitude et on se sent comme joués par la malice d'un réalisateur qui se sait assez habile pour jouer de la forme pour laisser croire que notre curiosité intellectuelle finira bien par trouver sa pitance et qu'un sens sera offert en guise de conclusion après tous ces efforts. Seulement, la délivrance ne vient pas et c'est sur une grande amertume que se ferme cette interminable mise en bouche.
    estcetony1
    estcetony1

    17 abonnés 660 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 30 juillet 2014
    Aussi mauvais que le 1er avec des mauvais raccords, de la psychologie de bas étage et moins de scènes hot.
    Bref tout pour ne pas foutre en l'air 2h de son temps
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 26 juillet 2014
    J'ai trouvé le 1 un peu longuet par moment. le 2 est beaucoup moins sexuel et beaucoup plus violent, du coup on a moins l'impression de regarder un porno et il se passe en fin quelque chose. Je l'ai préféré au 1 indéniablement, pour son coté encore plus malsain.
    L'oeuvre en 2 parties prend alors tout son sens car il faut bien avoir ressenti le 1, pour apprécier la noirceur du 2. Nymphomaniac devient alors une vraie réussite sensorielle et malsaine. Çà change a coté des sempiternel blockbusters US ou tout le monde il est gentil sauf le gros vilain...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 19 janvier 2016
    Là on rentre dans le vif du sujet, à savoir "et une fois que la jeunesse est passé ?"
    De plus, un point fort intéressant est soulevé : sa vie n'aurais jamais été si dure et dramatique si elle avait été un homme. Une fois de plus ce film nous oblige à repenser nos moeurs et à méditer l'aspect sociale de la sexualité d'une femme.
    Dom Domi
    Dom Domi

    42 abonnés 303 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 mars 2014
    Le 2 est aussi bien et bon que le 1. Comme le premier, avoir vécu est la clé qui permet d'entrer dans ce volume. Le livre est lu par les acteurs principaux et trace l'histoire d'une femme qui s'émancipe réellement de la tutelle masculine. Une féministe, une vrai ? En tout cas une femme qui se place à égalité des hommes, et notamment sur le plan sexuel. Elle délivre son parcours à un confident qui lui permet de se dévoiler.
    Mais le film est particulièrement sombre car ce confident se dévoilera être un homme comme les autres, avec le cerveau dont une moitié de l'animal dont nous sommes les descendants.
    Il paiera de sa vie cette " trahison ", et cette femme aura été au bout de son chemin chaotique.
    Un grand film qui se voit comme on lit un grand roman écrit par un grand écrivain.
    dom
    PetiteCerise
    PetiteCerise

    12 abonnés 226 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 février 2014
    LVT continue à nous surprendre pendant ce deuxième film. La division en deux volets affaiblit le film mais en même temps les deux sont dans des ambiances bien différentes donc ce choix est intéressant. Plus sombre que le premier, une fin bien trouvée, bref bon film.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 29 janvier 2014
    On avait quitté Joe en train de raconter à Seligman ses premières frustrations sexuelles en dépit de sa nymphomanie galopante. Leur dialectique ne s’écartait pas de l’obsessionnelle question : le plaisir, comment ça marche ? Quand on les retrouve, Joe est adulte - et c’est Charlotte Gainsbourg qui s’y colle - Mais elle court toujours après un premier orgasme et quelques fantasmes...
    Puisqu’elle ne parvient pas à assouvir une jouissance qui se refuse à elle, Joe poursuit donc ses explorations en repoussant à chaque fois les limites de son corps. Partenaires simultanés, jeux sado-maso hyper violents, découverte de l’homosexualité… Ca ne l’empêche pas de faire un enfant dont elle est bien incapable de s’occuper.
    La boucle ne sera pas bouclée de la manière la plus élégante par Joe et son psy confident qui cacherait bien Lars Von Trier lui-même. Même si la première avoue sortir « apaisée » de ce chaos. LVT continue à disserter brillamment autour de la sexualité et de la liberté, en confrontant ses provocations au corpus social autant qu’au dogme religieux. Ce second opus est plus sombre et dépressif que le premier.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 8 mars 2014
    Deuxième chapitre moins efficace que le premier mais reste essentiel à la compréhension finale du film.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 30 janvier 2014
    Très bon film. Violent autant moralement que physiquement. Un film particulier. Charlotte joue divinement bien.
    Septième Sens
    Septième Sens

    84 abonnés 762 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 février 2014
    On ne prend pas les mêmes et on recommence, ou presque. Deuxième et dernier volet pour les aventures de Joe, femme nymphomane qui narre son histoire à Seligman. Cette femme va-t-elle à nouveau pouvoir connaître l’orgasme ? Comment sa vie a-t-elle évolué ? Ses troubles sexuels se sont-ils atténués ? Suspense…

    Suite à des œuvres comme Dancer in the Dark ou Melancholia, Lars Von Trier dresse un nouveau portrait complexe de la femme qu’il met face à l’adversité. Après la cécité ou la fin du monde, le danois créé ici un personnage prisonnier de son corps et victime d’une société qui n’est pas prête à accepter ses failles. Le rapport à l’homme dans ce deuxième volume est certainement plus visible que dans le précédent. En effet, nous n’aurions pas la même image de cette nymphomane si c’était un individu mâle qui était dans cette position. Pourquoi alors sommes-nous plus pudiques et choqués de la sexualité féminine ?

    Nymphomaniac a un souci de rythme, alors peut-être est-ce dû à la censure, ou bien est-ce un problème de construction narrative. Quoi qu’il en soit, cette œuvre est lente et passe trop de temps sur certains chapitres (Jamie Bell), ou fait des transitions parfois trop abruptes (enchaînement avec Willem Dafoe). Avec ce sens du récit pas toujours fluide, on se demande également pourquoi le réalisateur a voulu changer les actrices à partir d’un certain moment de l’histoire, perturbant le spectateur et rendant le film décousu.

    Définitivement, Joe est l’opposée totale de Seligman. Quand elle n’appréhende son existence que par l’instinct, ce dernier ne saisit pas les pulsions de la chair et se réfugie dans l’intellectualisme. Dommage qu’il agisse finalement de cette manière, rendant la fin peu compréhensible même si l’on connaît le cinéaste et son penchant pour la destruction. Grâce aux dialogues et à l’écoute d’un ami, cette femme, malade, est sur la voie de la guérison et va peut-être pouvoir se reconstruire. Mais comme tout le monde sait, les histoires de Trier se finissent mal, en général…
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