Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Le Monde
par Jean-François Rauger
Le film vient boucler une trilogie, très cohérente, sur les névroses féminines, commencée avec Anti-christ en 2009. L'hystérie, la dépression, la mélancolie...En trois films, Lars von Trier a écrit une histoire moderne de la sorcellerie.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
TF1 News
par Romain Le Vern
Plus radical, plus extrême, "Nymphomaniac - Volume 2" fait passer tout ce qui a précédé pour une attraction Disney.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
aVoir-aLire.com
par Tristan Gauthier
Un second volet d’une noirceur qui ne souffre aucune concession, et qui ébranle encore un peu plus notre foi en l’Homme. Lars Von Trier à son meilleur.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Caroline Vié
Il est aussi tout à fait possible de pendre du plaisir à se laisser emporter au pays de la sexualité féminine par un grand cinéaste en pleine possession de son talent provocateur.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
On peut être hostile (disons plutôt indifférent) au cinéma de Lars von Trier et sentir à certains moments de ce second volet deNymphomaniac comme la promesse que quelque chose palpite et qui est plus grand que lui.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Nymphomaniac : Volume 2 marque surtout pour ses élans furieusement tragiques.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Inconfortable, ce drame n'en demeure pas moins passionnant.
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
Pour autant, "Nymphomaniac, vol.2" rue dans les brancards de la morale, interroge le sacré et le blasphématoire, le beau et l’abject de manière certes littérale et parfois schématique mais toujours stimulante et gorgée d’humour.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Critikat.com
par Julien Marsa
Lars von Trier est un cinéaste plus à l’aise avec l’exhibition des corps qu’avec celle des mots.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Cinéaste sans concession qui a mis le sexe et la morale au cœur de sa quête cinématographique, le Danois réussit son pari osé et courageux de poser une équation inédite à l’écran sans jamais tomber dans le scabreux, tout en étant explicite.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
“Nymphomaniac : Volume 2” continue à cultiver le chaos et à produire quelques belles étincelles, mais dérape hélas dans sa toute dernière partie.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Alain Spira
Plus intéressant que le premier opus, ce second chapitre contient des moments croquignolets comme cette scène malsaine où deux amants noirs se querellent la queue raide en oubliant d’honorer la pauvre Joe qui finira par trouver l’extase masochiste sous les coups de fouet psychanalytiques d’un coach sadique.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Jean-Loup Bourget
Si la réussite est inégale, ce qui n'est guère en doute est la virtuosité du cinéaste, (...), il voulait donner des exemples de tous les styles, de tous les genres, de tous les affects.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Jacques Morice
Autant prévenir : le chemin emprunté par l'héroïne est tortueux, pervers, d'un cynisme frisant le nihilisme
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Jérôme Momcilovic
Quelle bilan tirer de cette cure intensive, qui aura vu l'auteur se débattre avec son mal en essayant de réduire le monde à une série d'équation ? Sous l'angle du cinéma, la somme de tous ces calculs est vite trouvée - approximativement: la tête à Toto.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Libération
par Gilles Renault
Par endroits, Lars von Trier injecte une pointe d’humour incertaine (comme lorsque deux cousins blacks au braquemart fatalement surdimensionné s’embrouillent sur la meilleure manière de lutiner la gourgandine), mais l’humeur dominante n’est définitivement pas à la gaudriole.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Transfuge
par Frédéric Mercier
A force de banalisation des fantasmes comme du corps, la forme du grand film total sur le sexe se dégonfle. Cet aplatissement se traduit par le basculement du film dans des genres "mineurs". L'oeuvre définitive annoncée, dès l'ouverture du volume 1 avec son bourdonnement électro-acoustique grandiloquent, échoue en feuilleton télé en forme de thriller cheap (...).
Ecran Large
par Sandy Gillet
Lars von Trier n’a plus rien à nous dire et cette deuxième partie est d’une pauvreté intellectuelle et cinématographique abyssale.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Eric Libiot
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par Jérôme Garcin
On entend du Bach, du Haendel et des coin-coin. L'Eglise d'Orient fait la morale à l'Eglise d'Occident. C'est sinistre, laid, sentencieux, verbeux, creux et terriblement vieillot. Le mot de Desproges sur Duras va très bien à Trier: il ne dit pas que des conneries à Cannes, il en filme aussi à Copenhague.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Il n’y a pas que les vagins qui sont artificiels : le film aussi.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Le deuxième volet de "Nymphomaniac" (titre risible) n’est pas à proprement parler un film de fiction ou un documentaire, mais une violente diatribe propagandiste contre l’humanité, l’humanisme, toutes ces saloperies dégueulasses.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Le Monde
Le film vient boucler une trilogie, très cohérente, sur les névroses féminines, commencée avec Anti-christ en 2009. L'hystérie, la dépression, la mélancolie...En trois films, Lars von Trier a écrit une histoire moderne de la sorcellerie.
TF1 News
Plus radical, plus extrême, "Nymphomaniac - Volume 2" fait passer tout ce qui a précédé pour une attraction Disney.
aVoir-aLire.com
Un second volet d’une noirceur qui ne souffre aucune concession, et qui ébranle encore un peu plus notre foi en l’Homme. Lars Von Trier à son meilleur.
20 Minutes
Il est aussi tout à fait possible de pendre du plaisir à se laisser emporter au pays de la sexualité féminine par un grand cinéaste en pleine possession de son talent provocateur.
Cahiers du Cinéma
On peut être hostile (disons plutôt indifférent) au cinéma de Lars von Trier et sentir à certains moments de ce second volet deNymphomaniac comme la promesse que quelque chose palpite et qui est plus grand que lui.
CinemaTeaser
Nymphomaniac : Volume 2 marque surtout pour ses élans furieusement tragiques.
Le Journal du Dimanche
Inconfortable, ce drame n'en demeure pas moins passionnant.
TéléCinéObs
Pour autant, "Nymphomaniac, vol.2" rue dans les brancards de la morale, interroge le sacré et le blasphématoire, le beau et l’abject de manière certes littérale et parfois schématique mais toujours stimulante et gorgée d’humour.
Critikat.com
Lars von Trier est un cinéaste plus à l’aise avec l’exhibition des corps qu’avec celle des mots.
Franceinfo Culture
Cinéaste sans concession qui a mis le sexe et la morale au cœur de sa quête cinématographique, le Danois réussit son pari osé et courageux de poser une équation inédite à l’écran sans jamais tomber dans le scabreux, tout en étant explicite.
Les Fiches du Cinéma
“Nymphomaniac : Volume 2” continue à cultiver le chaos et à produire quelques belles étincelles, mais dérape hélas dans sa toute dernière partie.
Paris Match
Plus intéressant que le premier opus, ce second chapitre contient des moments croquignolets comme cette scène malsaine où deux amants noirs se querellent la queue raide en oubliant d’honorer la pauvre Joe qui finira par trouver l’extase masochiste sous les coups de fouet psychanalytiques d’un coach sadique.
Positif
Si la réussite est inégale, ce qui n'est guère en doute est la virtuosité du cinéaste, (...), il voulait donner des exemples de tous les styles, de tous les genres, de tous les affects.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Télérama
Autant prévenir : le chemin emprunté par l'héroïne est tortueux, pervers, d'un cynisme frisant le nihilisme
Chronic'art.com
Quelle bilan tirer de cette cure intensive, qui aura vu l'auteur se débattre avec son mal en essayant de réduire le monde à une série d'équation ? Sous l'angle du cinéma, la somme de tous ces calculs est vite trouvée - approximativement: la tête à Toto.
Libération
Par endroits, Lars von Trier injecte une pointe d’humour incertaine (comme lorsque deux cousins blacks au braquemart fatalement surdimensionné s’embrouillent sur la meilleure manière de lutiner la gourgandine), mais l’humeur dominante n’est définitivement pas à la gaudriole.
Transfuge
A force de banalisation des fantasmes comme du corps, la forme du grand film total sur le sexe se dégonfle. Cet aplatissement se traduit par le basculement du film dans des genres "mineurs". L'oeuvre définitive annoncée, dès l'ouverture du volume 1 avec son bourdonnement électro-acoustique grandiloquent, échoue en feuilleton télé en forme de thriller cheap (...).
Ecran Large
Lars von Trier n’a plus rien à nous dire et cette deuxième partie est d’une pauvreté intellectuelle et cinématographique abyssale.
L'Express
Voir le site de L'Express.
L'Obs
On entend du Bach, du Haendel et des coin-coin. L'Eglise d'Orient fait la morale à l'Eglise d'Occident. C'est sinistre, laid, sentencieux, verbeux, creux et terriblement vieillot. Le mot de Desproges sur Duras va très bien à Trier: il ne dit pas que des conneries à Cannes, il en filme aussi à Copenhague.
Le Parisien
Il n’y a pas que les vagins qui sont artificiels : le film aussi.
Les Inrockuptibles
Le deuxième volet de "Nymphomaniac" (titre risible) n’est pas à proprement parler un film de fiction ou un documentaire, mais une violente diatribe propagandiste contre l’humanité, l’humanisme, toutes ces saloperies dégueulasses.
Marianne
Caricatural, gratuitement provocateur, lourdingue.