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Pauline G.
Exempt de tout sensationnalisme gratuit, Blackfish aborde son sujet avec le ton le plus approprié qui soit et atteint ainsi son objectif tout naturellement, à savoir sensibiliser les gens à la cause animale tout simplement en se posant les bonnes questions, sans culpabiliser le spectateur, ni l'accuser ni le moraliser. Un documentaire à voir !
Après avoir visionné ce film-documentaire, j'ai approfondi les recherches pour en savoir plus et j'ai signé des pétitions pour que l'on relâche les orques Tilukum, Kaska, Morgane et les autres animaux marins; c'est malheureusement tout ce que je peux faire à mon échelle. Quelle tristesse de voir ces géants des mers et des océans tourner seuls dans leur petite piscine complètement déprimés, séparés de leurs petits et de leurs familles et devoir malgré tout faire le show... Cela pendant des dizaines d'années; même un assassins multirécidiviste ne fait pas autant de prison! J'ai pourtant été une fois au Marineland d'Antibes mais j'étais très jeune et bien entendu je n'ai pas du tout vu ce spectacle sous cet angle. Il faut que ce film soit absolument diffusé en France car il est instructif, parfois beau, parfois triste mais surtout émouvant. Ne jetez pas la pierre sur les dresseurs qui pour la plupart aiment vraiment les animaux mais sur les exploitants de ce genre de parcs qui sont sans pitié avec les animaux comme avec les hommes et qui n'hésitent pas à mentir malgré les morts afin de pouvoir continuer à duper le public, à ignorer réellement le mode de vie de ces cétacés; tout cela vous l'aurez compris pour s'en mettre pleins les poches. Notre empathie pour les orques est totale; un film coup de poing à voir même si la bêtise humaine n'est plus à démontrer depuis longtemps.
Voici un documentaire très intéressant qui revient sur un drame tout en cherchant à bien nous en expliquer tout les tenants et les aboutissants. L'accident en avant se révèle être en fait quelque chose de très prévisible, et Blackfish met parfaitement en lumière l'ensemble des points et négligences qui le prouve, de façon très claire.
Que ce soit le mode de vie des orques, leur nature, les négligences du parc, cette course effrénée au spectacle, au divertissement, au "toujours plus", ainsi qu'à la rentabilité financière, il nous est apporté là un regard bien différent sur l'animal et sa relation sois disant privilégié avec le dresseur, dans ce genre de parcs où finalement, leur captivité est assez inhumaine, bien loin des projecteurs.
Ce documentaire, c'est un peu le procès de SeaWorld, qui dans un soucis de spectacle et de rentabilité, n'a pas hésité à transgresser beaucoup de règles et à passer sous silence de nombreux évènements précurseurs au drame, notamment autour de l'orque Tilikum. J'ai apprécié aussi qu'on puisse se pencher sur la psychologie de l'animal pour arriver à expliquer comment nous avons pu en arriver là.
Et oui, Tilikum est un être vivant, et au vu de son parcours et de son vécu, on peut mieux comprendre.... Quel être humain aurait accepté autant de choses, sans broncher ?
A l'aide d'images parfois chocs, de témoignages poignants et de vérité sorti de l'obscur, c'est un documentaire qui pousse à la réflexion concernant les conditions de captivités des orques, mais aussi de tout ces animaux arrachés à leurs milieux naturels, leurs familles, et leurs mode de vie pour contenter les regards des spectateurs, bien loin parfois de se douter de tout ce qui se trame en amont pour arriver à quelques minutes de divertissement.
The show must go on...
Que ce soit le mode de vie des orques, leur nature, les négligences du parc, cette course effrénée au spectacle, au divertissement, au "toujours plus", ainsi qu'à la rentabilité financière, il nous est apporté là un regard bien différent sur l'animal et sa relation sois disant privilégié avec le dresseur, dans ce genre de parcs où finalement, leur captivité est assez inhumaine, bien loin des projecteurs.
Ce documentaire, c'est un peu le procès de SeaWorld, qui dans un soucis de spectacle et de rentabilité, n'a pas hésité à transgresser beaucoup de règles et à passer sous silence de nombreux évènements précurseurs au drame, notamment autour de l'orque Tilikum. J'ai apprécié aussi qu'on puisse se pencher sur la psychologie de l'animal pour arriver à expliquer comment nous avons pu en arriver là.
Et oui, Tilikum est un être vivant, et au vu de son parcours et de son vécu, on peut mieux comprendre.... Quel être humain aurait accepté autant de choses, sans broncher ?
A l'aide d'images parfois chocs, de témoignages poignants et de vérité sorti de l'obscur, c'est un documentaire qui pousse à la réflexion concernant les conditions de captivités des orques, mais aussi de tout ces animaux arrachés à leurs milieux naturels, leurs familles, et leurs mode de vie pour contenter les regards des spectateurs, bien loin parfois de se douter de tout ce qui se trame en amont pour arriver à quelques minutes de divertissement.
The show must go on...
" Terrifiant ! Révoltant ! Le film "Blackfish" se concentre sur les effets néfastes de la captivité de l'orque Tilikum, responsable de la mort des trois personnes ... Ce film suit l'évolution de l'orque Tilikum de sa capture en 1983 en Islande à l'animosité des autres baleines retenues en captivité à son égard et à son isolement dans un bassin déjà trop petit pour lui ... Il dénonce également les conditions de travail des dresseurs d'orques, qui ne sont pas bien protégés, qui sont bernés en leur cachant que les orques sont animaux nubien dangereux ... Ce qui m'a frappé le plus, c'est l'image trompeuse des parcs d'attractions des animaux marins, qui semble généreuse et sympa ... Eh bien, non, découvrez-vous derrière les coulisses des parcs d'attraction ! Quelle hypocrisie de la part des gérants de ces parcs ! Les orques ne sont pas respectés par les dresseurs d'orques trop exigeants, qui les laissent parfois affamés. Les bassins sont trop petits pour ces créatures aussi géantes ... On oublie combien les orques sont très intelligents, combien ils sont sensibles ... Justement, le film "Blackfish" essaie d'expliquer pourquoi l'orque Tilikum a tué la dresseuse d'orque, Dawn en recueillant les différents témoignages : anciens dresseurs d'orques, membres de familles, personnel judiciaire, etc ... La cupidité des parcs d'attraction me dégoute tant qu'ils défendent que c'est un accident ... Incroyable film documentaire ! Envoutant ! Edifiant ! Je n'irai plus jamais aux parcs d'attraction ! Plus jamais ! J'accepte seulement la clinique vétérinaire qui soigne puis qui relâche les animaux marins dans la mer ... comme on voit dans un très beau film :"L'incroyable histoire du dauphin Winter" ... "
Un documentaire qui dénonce une triste réalité que la plus part d'entre nous décide de refuser de voir... Espérons qu'il fera changer les choses...
Un documentaire choc à voir absolument. A travers les vidéos d'archives, les commentaires de spécialistes, et le parcours de l'orque Tilikum – de sa captivité à ce qu'il en est de lui aujourd'hui – Blackfish est un plaidoyer efficace contre l’exploitation animale, qui il faut le rappeler n'existe que dans un but financier et pour divertir une foule toujours aussi naïves et avides de sensation forte (si seulement ils connaissaient l'envers du décor de ces spectacles... heureusement qu'un tel documentaire existe). Ça aurait pu être le zoo, la corrida ou le cirque, la vérité reste la même : les animaux ne sont heureux et en bonne santé que dans leur élément naturel.
Dex et le cinéma
Il est de ces films qui marquent. De ces films qui retournent. De ces films qui vous font ressentir des émotions d’une intensité rarement égalée. Et lorsque le long-métrage se conclu par l’implacable phrase « inspiré de faits réels », toute cette émotion atteint son paroxysme. « Putain tu te rends compte ! Y a un truc dans ce style qui s’est vraiment passé ! ». Inutile de faire semblant, on a tous connu ça. Mais qu'en est-il lorsque ce concept de « faits réels », va encore plus loin que la simple inspiration ? Que vous vous rendez compte, alors qu’une larme coule délicatement sur votre joue, que ce que vous regardez n’est pas un film ? Comment décrire cette surprise qui tétanise votre âme de cinéphile, lorsque vous prenez conscience qu’un documentaire peut, mais surtout est parvenu, à vous faire ressentir des émotions d’une intensité rarement égalée ? Ça fout les jetons hein… Et pourtant une telle chose est belle est bien possible. Je fus en effet moi-même victime il y a peu de cette révélation cinématographique. Un phénomène d’une violence inouïe, perpétré par un film d’une puissance stupéfiante, Blackfish.
Résumer un tel film est superflu. Contentons-nous simplement d’encourager le monde à voir cette saisissante dénonciation magnifiquement réalisée, cette illustration splendide de la cruauté humaine et de son orgueil de se croire capable de contrôler la nature, ce chef d’œuvre du documentaire. Pleurons ensemble sur le sort d’un « monstre » qui a fini par tuer ses bourreaux, et laissons-nous porter par la pureté de son chant, tandis que nous nous prenons à rêver, comme lui, à la liberté offerte par cet océan d’un bleu profond…
Résumer un tel film est superflu. Contentons-nous simplement d’encourager le monde à voir cette saisissante dénonciation magnifiquement réalisée, cette illustration splendide de la cruauté humaine et de son orgueil de se croire capable de contrôler la nature, ce chef d’œuvre du documentaire. Pleurons ensemble sur le sort d’un « monstre » qui a fini par tuer ses bourreaux, et laissons-nous porter par la pureté de son chant, tandis que nous nous prenons à rêver, comme lui, à la liberté offerte par cet océan d’un bleu profond…
édifiant... j'aurais juste apprécié un volet scientifique (biologie, éthologie, voire neurologie) un peu plus développé pour mieux comprendre le fonctionnement social des bestioles et prendre encore plus mesure de leur calvaire.
à quand le même docu sur le cas des dauphins (ça doit être la même sauf qu'eux n'ont pas les moyens de bouffer leur dresseur quand ils en ont marre) et les fauves dans les cirques...
à quand le même docu sur le cas des dauphins (ça doit être la même sauf qu'eux n'ont pas les moyens de bouffer leur dresseur quand ils en ont marre) et les fauves dans les cirques...
Un regroupement de témoignage poignants : trappeurs, ancien dresseurs, quelques soit le côté duquel ils étaient, tous aujourd'hui n'ont qu'un avis : c'est l'enfermement et les conditions que nous imposons à ces splendides animaux qui les rends ainsi, c'est inhumain ! la face caché des parcs d'attraction ! Il en est de même pour les dauphins !
Ce documentaire est à voir absolument. Il nous explique des choses que nous ignorons sur la captivité et les différents fait divers sur SeaWorld et autre parcs aquatiques. Les orques est un animal captivant, et extraordinaire. Je suis bouleversé, et touché par se film. Une vrai prise de conscience.
Je suis une fan inconditionnelle des orques depuis que j'ai vu "Sauvez Willy" et que j'ai eu la chance enfant d'aller à Marineland (et oui, il y a un début à tout). Si le documentaire est intéressant, stratégiquement réalisé, il n'est en revanche pas très clair quand au message qu'il souhaite diffuser. On effet, on part de l'accident tragique qu'à vécue Dawn Brancheau, pour expliquer l'historique de la captivité des orques, les effets sur l'animal et finir avec Tilikum, une des orques les plus agressives en captivité ce jour. Pour ma part, je n'ai rien appris de nouveau. On le sait depuis très longtemps que ce sont des animaux sauvages, avec un fonctionnement et un équilibre particulier, que l'on a arraché à leur milieu naturel pour en faire des clowns de cirque. Leur réaction sont donc d'autant plus logique et significative de la brutalité avec laquelle on les a traité dès le départ. Donc le sujet de fond, est connu si l'on a un peu de jugeote (ne serait-se que le message principale, la captivité s'est mal !). Ce qui m'a particulièrement choqué s'est d'apprendre que l'on appel "Dresseur" les personnes qui accompagnent ses orques. Alors qu'en France, on les nomme "Soigneurs" ce qui a tout de suite une consonance différente. Mais également sur le procès, qui a suivi l'accident de Dawn Brancheau ou encore le positionnement de SeaWorld sur différent sujet. Le documentaire, malgré mes critiques n'en ai pas moins intéressant. Il a le mérite de lever le voile sur une maltraitance continue pour les novices de la question. Mais propose une aberration qui réside à remettre les orques en libertés, les conduisant ainsi à une mort certaine (notamment pour celle née en captivité). On ne peut défaire ce qui a été fait, mais on peut mieux encadrer et mieux surveiller les pratiques, faute de mieux. Et le positif, c'est que la capture des orques est interdite depuis plusieurs années. Si le sujet vous intéresse, n'hésitez pas, il est intéressant même si on se perd parfois. Les témoignages sont intéressants, et je suis certaines que chacun en apprendra davantage. Il aurait peut être mérité d'être davantage travaillé pour ne pas ressentir un sentiment d'inachevé ou de brouillon, balançant des informations sont forcément de compléments.
Ce documentaire construit sous forme de thriller via l'investigation du cas de l'orque Tilikum nous confirme que la personnalité et l'intelligence de ces animaux est complètement incompatibles avec leur maintien en captivité dans les conditions actuelles notamment des bassins d'une étroitesse délirante pour des animaux de cette taille et la formation de groupes arbitraires pour des animaux aussi sociaux. Les réserves expliquant ma note concernent la portée limitée de son sujet et le coté rédemption / expiation à l'américaine surjoué par certains anciens soigneurs. J'aime les documentaires qui ne se sentent pas obligés d'appuyer leurs propos par une surenchère d'émotion mal venue alors les faits devraient suffire à susciter l'effroi des spectateurs. C'est le cas ici.
Une film necessaire et boulversant qui demontre l'arrogance humaine face a la beauté de la nature sauvage. Les images et les temoignages peuvent etre choquants tout en demontrant du respect pour les dresseurs, a la fois victimes et bourreau, qui semblent toujours souffrir du mal qu'ils ont fait, ce qui me touche beaucoup. D'un point de vue personnel je ne pense pas que Sea World soient les seuls responsables de cette tragedie. Nous le sommes tous par notre ignorance et notre nature qui nous pousse a nier la sensibilité des betes sauvages. Ce document nous aide a corriger cette facon de voir les choses.
Passionnant, un peu répétitif, comme tous les films documentaires mais très intéressant, effrayant aussi. On y apprend beaucoup et on se désole. À voir
Documentaire très intéressant sur les bêtises que sont les Sea World et autres. Grâce à ce documentaire, il y a eu beaucoup de pétitions pour cesser cela.
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