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Votre avis sur Les Recettes du bonheur ?
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framboise32
Tout est stéréotypé. J’aimerais bien vivre dans cette France là. Même si le réalisateur aborde rapidement le racisme, on reste dans un pays idyllique. Le village français semble typique, "merveilleux" voire kitsch. Tout dégouline de bons sentiments jusqu’à l’écoeurement. Bon, à noter que les images du village, de la campagne française, et de cuisine sont belles. Les scènes de cuisine sont appétissantes. Tout y est pour nous mettre en appétit. Bien entendu, on voit arriver les rapprochements, et la fin est prévisible mais bon pas de raison qu’il y ait du suspense dans ce genre de film. Le réalisateur a eu la main forte en ce qui concerne les bons sentiments.
Le film est emmené par la talentueuse Helen Mirren, dans un rôle qui ne la mérite pas. Elle est entouré d’un casting sympathique, visiblement emballé
Les recettes de l’amour est un divertissement mielleux, ok sans méchanceté mais ca dégouline jusqu’à l’indigestion ! gentillet
Le film est emmené par la talentueuse Helen Mirren, dans un rôle qui ne la mérite pas. Elle est entouré d’un casting sympathique, visiblement emballé
Les recettes de l’amour est un divertissement mielleux, ok sans méchanceté mais ca dégouline jusqu’à l’indigestion ! gentillet
Je sais ce que les critiques pourront dire des recettes du bonheur: aucune originalité, courue d'avance... Ect ect.
Pourtant j'ai adoré. Car si il reprend des thèmes et des codes bien connue, il y a une légèreté presque enivrante dans ces images. La musique m'a fait valser et le quatuor d'acteur m'a plongée au coeur de cette cuisine toute en couleur, épicée et lumineuse.
En somme à tous ceux qui veulent oublier la morosité du quotidien je vous conseille cette cuisine du bonheur...
Pourtant j'ai adoré. Car si il reprend des thèmes et des codes bien connue, il y a une légèreté presque enivrante dans ces images. La musique m'a fait valser et le quatuor d'acteur m'a plongée au coeur de cette cuisine toute en couleur, épicée et lumineuse.
En somme à tous ceux qui veulent oublier la morosité du quotidien je vous conseille cette cuisine du bonheur...
Devant l'improbabilité d'assurer une adaptation réussie d'un scénario invraisemblable, Lasse Hallström choisit la voie du conte. Un film pour inviter au rêve, pour gommer les différences, pour valoriser la "douce France" et se noyer dans les beaux sentiments.
Deuxième incursion pour le réalisateur dans le domaine culinaire. Après Le chocolat le voilà aux fourneaux de la gastronomie française qui flirte avec les saveurs indiennes, sans toutefois donner à ces dernières la place qu'elles méritent réellement.
Du savant mélange des épices à la présentation finale des plats le film met en appétit. À la fois cahoteuse et sans réel intérêt, on oublie très vite une première partie interminable et prévisible.
Oubliés aussi ces décors numériques qui n'apportent rien et font regretter de ne pas pouvoir profiter plus naturellement de ce merveilleux endroit qu'est Saint Antonin Noble Val.
"Du caniveau à la troisième étoile" le film se laisse regarder en grande partie grâce au principal protagoniste, le jeune et charismatique Manish Dayal. Om Puri, dans le rôle du père aimant, est à la fois touchant et totalement crédible entre les traditions qui collent à la peau et le modernisme qui s'impose.
Helen Mirren, enfin, règne de main de maître sur son restaurant. Son seul talent, sa présence et son charisme arrivent à tout faire avaler. Déguster devrais-je écrire quand il s'agit d'une omelette traditionnelle dans laquelle son nouveau partenaire mélangera aux ingrédients habituels les épices qui feront toute la différence.
Deuxième incursion pour le réalisateur dans le domaine culinaire. Après Le chocolat le voilà aux fourneaux de la gastronomie française qui flirte avec les saveurs indiennes, sans toutefois donner à ces dernières la place qu'elles méritent réellement.
Du savant mélange des épices à la présentation finale des plats le film met en appétit. À la fois cahoteuse et sans réel intérêt, on oublie très vite une première partie interminable et prévisible.
Oubliés aussi ces décors numériques qui n'apportent rien et font regretter de ne pas pouvoir profiter plus naturellement de ce merveilleux endroit qu'est Saint Antonin Noble Val.
"Du caniveau à la troisième étoile" le film se laisse regarder en grande partie grâce au principal protagoniste, le jeune et charismatique Manish Dayal. Om Puri, dans le rôle du père aimant, est à la fois touchant et totalement crédible entre les traditions qui collent à la peau et le modernisme qui s'impose.
Helen Mirren, enfin, règne de main de maître sur son restaurant. Son seul talent, sa présence et son charisme arrivent à tout faire avaler. Déguster devrais-je écrire quand il s'agit d'une omelette traditionnelle dans laquelle son nouveau partenaire mélangera aux ingrédients habituels les épices qui feront toute la différence.
tixou0
L'art culinaire et la tolérance font "Les Recettes du Bonheur" (titre peu inspiré, pour la sortie nationale du dernier film de Lasse Hallström). Cela se passe donc en France pour le premier aspect des choses (pour l'essentiel, un charmant bourg médiéval du Tarn-et-Garonne, St-Antonin-Noble-Val, que l'on dotera pour l'occasion d'un restaurant de bonne réputation et étoilé), et il sera question de rivalité mesquine, puis de rapprochement ému, entre Mme Mallory, propriétaire du "Saule Pleureur" (1 étoile Michelin) et la tribu Kadam (le père et ses 5 enfants, dont Hassan, petit génie du goût), pour le volet "nos différences sont une richesse"... Comme c'est une production hollywoodienne (Spielberg), confiée à un Suédois, c'est une Anglaise (Hélène Mirren - insipide, une fois n'est pas coutume) qui incarne Mme Mallory (et s'efforce, étant "française", de parler anglais avec un accent pseudo "frenchie" - langue qu'elle emploie pour ne pas désorienter outre mesure le spectateur yankee, mais sans justification scénaristique très vite, puisque les Indiens, on imagine, se mettent rapidement à la langue locale, étant commerçants..). Ces Indiens sont interprétés par des Indiens (du sous-continent - ouf !), mais l'autre rôle féminin, "Marguerite", est joué par une Canadienne (Charlotte Le Bon - qui, bien sûr également anglophone, comme tous les Québécois, parle ici anglais comme une Hexagonale...). Il y a bien quelques acteurs français, pour la touche "authentique", comme Michel Blanc (le maire - qu'on ne voit que bâfrant..), mais à la portion congrue. Bluette bien-pensante et non seulement convenue jusqu'à la caricature, mais surtout fort diluée, et fort longue ! Il y a une vague romance - voire deux (mais on y palpite guère) ; on y parle cuisine, on en voit même pas mal (mais on y salive peu..)... et puis quoi ?... Un ennui abyssal. Le sujet ambitionné : "comment peut-on être Indien (dans la France profonde)" est à peine effleuré, et fort maladroitement - à l'américaine (clichés et gros sabots). On ne sent en effet jamais le "terroir" et les traditions, et l'Inde (in situ, et "transplantée"), se résume à un ripolin de façade, ponctué, sans imagination, de "bollywoodisme" musical.
Un très bon divertissement (qui donne bien envie de bouffer indien en fin de séance), mais qui tire assez en longueur dans la toute dernière partie,
spoiler:
lorsque Hassan part pour Paris
.
.
superbe film, beaux personnages, beaux acteurs, actrices, beaux décors ... drôle et émouvant à la fois. Bravo
Jorik V
Le fossé entre critiques professionnels et public va encore se creuser. Car « Les Recettes du bonheur » est typiquement le genre de film qui va fédérer le second et exaspérer sans trop que l’on sache pourquoi les premiers. Ceux-ci ont peut-être tendance à oublier que le cinéma c’est également fait pour faire rêver, s’évader et ressentir de belles émotions, si rares soient-elles dans la vraie vie. D’ailleurs Lasse Hällstrom s’est fait une spécialité de ces feel-good movies où tout est presque beau et où cela finit toujours bien, c’est ce qu’il sait faire de mieux même si ça ne prend pas à tous les coups, en témoignent ses « Saumons dans le désert » de l’an passé. En revanche, il n’en est pas à sa première expérience mêlant l’art de la cuisine à celui du septième art. Il y a quinze ans, son « Chocolat » en avait écoeuré plus d’un alors qu’encore une fois, pour les mêmes raisons que celles citées plus haut, c’était un savoureux et bien joli film. Ici, sa nouvelle épopée culinaire débute en boitant, il est vrai. Dans la première moitié du film, tout semble attendu et on voit tout venir à des kilomètres ; elle n’est de plus pas exempte de longueurs. Puis, miraculeusement, la sauce prend, comme un plat qui met du temps à se révéler en bouche. La beauté des sentiments, les valeurs pleines d’humanisme et le charme de l’histoire et du décorum emportent totalement l’adhésion, et plus encore. A la fin, on sort de là avec la délicieuse impression d’avoir été conquis par le cœur et l’esprit. De plus, quoiqu’en disent les critiques parisiens qui ne doivent guère sortir de leurs bureaux, il y a très peu de clichés, car oui de tels villages existent encore en France, fort heureusement. Et le fait de prendre Michel Blanc, Clément Sibony, Vincent Elbaz et surtout Charlotte LeBon, bref de vrais acteurs français pour jouer les rôles de français, finit de nous satisfaire. Du cinéma traditionnel, ravivant la bonne vieille France de manière authentique et surtout à consommer sans modération.
Les recettes du bonheur c est simple comme un bon plat ... Une ode à la France, à la gastronomie et à l authenticité ! Autant dire que j ai aime malgré quelques longueurs. De l'amour, des bons plats: le bonheur quoi. Le film est porté notamment par la prestation des 3 principaux acteurs : le jeune Manish Dayal (brillant) et le face à face entre Om Puri (que j'ai decouvert et adoré) et Helen Mirren (so british).
Des beaux clichés (dans tout les sens du terme) de la France pour ponctuer tout ca et meme si j'ai pas compris pourquoi tout le monde parle anglais dans ce petit village, on passe un bon trés bon moment devant ce film
Des beaux clichés (dans tout les sens du terme) de la France pour ponctuer tout ca et meme si j'ai pas compris pourquoi tout le monde parle anglais dans ce petit village, on passe un bon trés bon moment devant ce film
Un très beau film. Le voir en VO n'apporte par contre pas grand chose, le voir en version française reste mieux. Au-delà de la couverture légère, c'est un film qui traite de sujets sérieux et montre l'amour que les cuisiniers ont pour la cuisine.
A voir pour les amoureux de la cuisine à l'esprit ouvert
A voir pour les amoureux de la cuisine à l'esprit ouvert
un film savoureux sur la cuisine ,peuplé de gens attachants ,je suis sorti du cinéma le sourire aux lèvres .bien sûr helen mirren est très bien de même que charlotte lebon mais les vraies révélations sont les acteurs indiens , particulièrement le fils ,lumineux et le père , formidable de présence .
Deux cuisines différentes s'affrontent dans ce film époustouflants d'après un bestseller mondial. Il nous envoute, on a envie de gouter tous ces plats magistral. C'est a la fois une comédie dramatique mais on y trouve de la romance entre deux cuisiniers qui veulent réaliser le même rêve : être chef cuisiniers. Helen Mirren prend son rôle au sérieux et le joue a merveille ! Une comédie sympathique, pleine d'humour. On nous montre la préparation de plats savoureux et qui donnent qu'une envie, y goûter. Nos deux restaurent, La Maison Mumbai et le Michelin Le Saule Pleureur, nous livres un combat entre cuisiniers spectaculaire.
Lasse Hallström réalise un chef d'œuvre qui ravira petits et grands ! Que du rire, c'est le bonheur assurée avec " Les Recettes du bonheur ", un film a savourer, celons moi, avec modération. 5/5 !
Lasse Hallström réalise un chef d'œuvre qui ravira petits et grands ! Que du rire, c'est le bonheur assurée avec " Les Recettes du bonheur ", un film a savourer, celons moi, avec modération. 5/5 !
Lasse Hallström est un réalisateur appliqué, qui parvient de temps en temps à faire des films sympathique et honnêtes, mais toujours très appuyés dans les sentiments (ce qui n'est pas gênant - perso j'adore ''Hatchi'' ou "Gilbert Grape") et malheureusement souvent peu subtiles (ce qui est plus gênant). En fait le problème ici, outre un scénario d'une platitude absolu et sans aucune surprise où tous les clichés s'enfilent comme des perles (un chef français snob et raciste - on ne nous épargne pas non plus la mauvais interprétation de la Marseillaise - des indiens bruyants), outre ce scénario bâclé donc, c'est que jamais on ne ressent l'amour pour la cuisine, le plaisir des produits. Le film réussit le tour de force de parler de cuisine sans faire jamais saliver, sans parvenir à faire envie avec ces plats, sans émerveiller avec les alliance de produits et les mélanges des saveurs (ce qui est pourtant le thème du film). Vraiment fade !
l'atout majeur de ce film ultra balisé, et cousu de fil blanc, est sans conteste Helen Mirren, réjouissante en pimbêche revêche. le reste est conventionnel, rien de surprenant, rien d'un brin innovant. contrairement aux plats présentés, il n'y a pas beaucoup de saveur. un film de commande, en somme. ça devrait plaire, ou plutôt ne pas déplaire, au plus grand nombre. sans plus.
Un film qui donne réellement l'eau à la bouche. Une ode à la cuisine française qui ravira les spectateurs chauvins, et autres amateurs de Charlotte Le Bon. Un très bon moment.
Rien à redire... Frais, dépaysant, tout public, drôle, romantique... on passe un très très bon moment et on sort de la salle avec le sourire!
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