Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
FHM
par Fabien Baumann
L'intimité de ce film très court a quelque chose de formidablement intimidant.
L'Humanité
par Vincent Ostria
un travail fort inventif sur les sons et les ambiances qui transposent sur un plan onirique l'aliénation des personnages (...). Un cinéaste à suivre.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Inrockuptibles
par Bertrand Loutte
S'il emprunte parfois à Nicholas Ray, Lamotte tient aussi à payer son tribut à Jean Eustache, dont le spectre plane sans pour autant asphyxier le film.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Frédéric Strauss
Un possible amour fait entendre le battement des cœurs blessés. Sans cliché.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par Philippe Piazzo
L'hommage (très discret) à Jean Eustache (...) marque malheureusement la distance entre les intentions du réalisateur (dire beaucoup sur les fêlures et les désirs de ses personnages) et la réalité du film projeté (...)
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Positif
par Pierre Eisenreich
(...) ce film ne surprend guère et semble s'être soucié de remplir les conditions d'une bonne diffusion sur les tubes cathodiques plutôt que de proposer un véritable projet cinématographique. On y retrouve ces fameux défauts du "bon" téléfilm (...)
La critique complète est disponible sur le site Positif
Repérages
par Teddy Roudaut
Le réalisateur adopte une position radicale qui sent parfois la recette, qui mériterait sans doute un peu plus de fluidité, mais qui imprime un véritable point de vue à son film.
La critique complète est disponible sur le site Repérages
Chronic'art.com
par Yann Gonzalez
(...) tout le monde se fout des états d'âme de l'ex-taularde, tant le réalisateur s'y prend mal pour nous la rendre attachante (...)
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Première
par Christophe Narbonne
(...) Christophe Lamotte assume l'héritage eustachien sans peur et sans complexes. C'est une qualité. Mais une fois n'est pas coutume, la courte durée du film devient un handicap quand il s'agit de tisser des liens complexes entre les personnages.
La critique complète est disponible sur le site Première
FHM
L'intimité de ce film très court a quelque chose de formidablement intimidant.
L'Humanité
un travail fort inventif sur les sons et les ambiances qui transposent sur un plan onirique l'aliénation des personnages (...). Un cinéaste à suivre.
Les Inrockuptibles
S'il emprunte parfois à Nicholas Ray, Lamotte tient aussi à payer son tribut à Jean Eustache, dont le spectre plane sans pour autant asphyxier le film.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Un possible amour fait entendre le battement des cœurs blessés. Sans cliché.
Aden
L'hommage (très discret) à Jean Eustache (...) marque malheureusement la distance entre les intentions du réalisateur (dire beaucoup sur les fêlures et les désirs de ses personnages) et la réalité du film projeté (...)
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Positif
(...) ce film ne surprend guère et semble s'être soucié de remplir les conditions d'une bonne diffusion sur les tubes cathodiques plutôt que de proposer un véritable projet cinématographique. On y retrouve ces fameux défauts du "bon" téléfilm (...)
Repérages
Le réalisateur adopte une position radicale qui sent parfois la recette, qui mériterait sans doute un peu plus de fluidité, mais qui imprime un véritable point de vue à son film.
Chronic'art.com
(...) tout le monde se fout des états d'âme de l'ex-taularde, tant le réalisateur s'y prend mal pour nous la rendre attachante (...)
Première
(...) Christophe Lamotte assume l'héritage eustachien sans peur et sans complexes. C'est une qualité. Mais une fois n'est pas coutume, la courte durée du film devient un handicap quand il s'agit de tisser des liens complexes entre les personnages.