Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Grâce à un humour solidement chevillé au corps et des idées visuelles étonnantes, le long-métrage finit par totalement emballer dans sa volonté de ne ressembler à rien de connu.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Jay Oswald signe un poème criard et hypnotique en noir et blanc qui affiche d’emblée à la fois une naïveté et une immodestie qui font étrangement bon ménage, tout en multipliant les références (poésie surréaliste, graphisme expressionniste).
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Grimaçant, confus, poseur, vrillé par une bande originale technoïde, ce (très) long métrage se borne à l'affreux étalage de ses fétiches de "film d'artiste".
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Empruntant tantôt à Guy Maddin, tantôt à Andy Warhol, lorgnant du côté le plus expérimental de David Lynch, Jay Oswald n'arrive jamais à ces hauteurs...
Les trouvailles visuelles ne compensent pas, hélas, la faiblesse du scénario, qui s'apparente à une logorrhée sur le cinéma, les mathématiques et les réacteurs nucléaires...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
Grâce à un humour solidement chevillé au corps et des idées visuelles étonnantes, le long-métrage finit par totalement emballer dans sa volonté de ne ressembler à rien de connu.
TéléCinéObs
Jay Oswald signe un poème criard et hypnotique en noir et blanc qui affiche d’emblée à la fois une naïveté et une immodestie qui font étrangement bon ménage, tout en multipliant les références (poésie surréaliste, graphisme expressionniste).
Le Monde
Grimaçant, confus, poseur, vrillé par une bande originale technoïde, ce (très) long métrage se borne à l'affreux étalage de ses fétiches de "film d'artiste".
Les Fiches du Cinéma
Empruntant tantôt à Guy Maddin, tantôt à Andy Warhol, lorgnant du côté le plus expérimental de David Lynch, Jay Oswald n'arrive jamais à ces hauteurs...
Première
Quand on ne prétend pas raconter une histoire, mieux vaut avoir une vision, ce qui manque cruellement ici.
Télérama
Les trouvailles visuelles ne compensent pas, hélas, la faiblesse du scénario, qui s'apparente à une logorrhée sur le cinéma, les mathématiques et les réacteurs nucléaires...