La Prochaine fois je viserai le coeur : Critique presse
La Prochaine fois je viserai le coeur
Note moyenne
3,7
30 titres de presse
Studio Ciné Live
20 Minutes
CNews
Closer
Elle
L'Express
L'Humanité
L'Obs
Le Dauphiné Libéré
Le Monde
Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
Mad Movies
Metro
Ouest France
Paris Match
Première
TF1 News
Télé 7 Jours
Télérama
Voici
aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
La Croix
Le Journal du Dimanche
Libération
Critikat.com
La Voix du Nord
Studio Ciné Live
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
30 critiques presse
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
POUR : voir la critique sur le site de Studio Ciné Live
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
20 Minutes
par Caroline Vié
L'acteur (Guillaume Canet), d'une sobriété remarquable, est l'un des atouts majeurs de ce portrait d'un homme malade (...).
CNews
par La rédaction
Cédric Anger parvient à installer une atmosphère glaciale (...) Péchant parfois par un manque de variété de points de vue, ce portrait d'un tueur au-dessus de tout soupçon reste passionnant et fait véritablement froid dans le dos.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Closer
par La Rédaction
Une histoire vraie avec un Guillaume Canet au top de sa forme.
Elle
par Florence Ben Sadoun
Il (ce phobique) est incarné par un Guillaume Canet troublant et particulièrement inquiétant dans ce double jeu.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Express
par Christophe Carrière
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Vincent Ostria
Le troisième film d’un jeune cinéaste dont on reparlera sans nul doute.
L'Obs
par Nicolas Schaller
L'acteur impressionne dans "La prochaine fois je viserai le cœur".
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Un bon polar aux couleurs sombres, inspiré d’un fait divers, et une forte composition de Guillaume Canet.
Le Monde
par Franck Nouchi
Le résultat est digne des meilleurs films noirs de Jean-Pierre Melville. (...) Anger s'empare d'un genre (...) pour affirmer son style, fait de mélange de réalisme et de poésie.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Hubert Lizé
(...) Un récit glauque pour un personnage glaçant. (...) Guillaume Canet offre une interprétation énigmatique d'une exceptionnelle qualité.
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Danel
Cette histoire vraie d'un homme double, incarné avec une douce ferveur par Guillaume Canet, est constamment déstabilisante et passionnante.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Cédric Anger réussit là son film le plus accompli, visant aussi bien notre cœur de spectateur que notre esprit de cinéphile.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Mad Movies
par Laurent Duroche
Une histoire et un point de vue solides, et hop, le cinoche français a de la gueule.
Metro
par Marilyne Letertre
Cédric Anger dresse le portrait d'un meurtrier à la personnalité opaque dans un thriller documenté qui, malgré quelques longueurs, évite tout sensationnalisme.
Ouest France
par Pierre Fornerod
Sous les traits impassibles d'un Guillaume Canet tout en retenue, métamorphosé et muré dans son monde, il (Alain Lamare) garde pour lui les démons qui le possèdent.
Paris Match
par Sarah Louaguef
(...) "La prochaine fois je viserai le cœur" (...) : une pépite sombre (...).
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Isabelle Danel
C'est à la fois déstabilisant et captivant.
TF1 News
par Cyril Roques
Cédric Anger brosse avec une impassibilité glaciale le portrait d'un homme malade, admirablement campé par Guillaume Canet. Dans son genre, très impressionnant.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
(Le réalisateur) radiographie avec une froideur clinique la folie criminelle d'un psychopathe auquel Guillaume Canet, en mode minimaliste, apporte une dimension banale et terrifiante.
Télérama
par Pierre Murat
Pur, sombre, effrayant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Ariane Valadié
Le réalisateur ne cherche pas à déclencher chez le spectateur une quelconque empathie pour son personnage. Même s'il est interprété par Guillaume Canet...
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
La mise en scène brille dans une restitution de faits épouvantables où la douleur sourde est palpable, alors qu’Anger nous convie aux portes d’une folie malaisée qui trouve en Guillaume Canet un réceptacle formidable.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Stéphane Delorme
Le troisième long métrage de Cédric Anger, son meilleur, s’intéresse à l’étrange cas d’un gendarme serial killer à la fin des années 70. le réalisateur a une jolie formule dans le dossier de presse : « À la limite, il aimerait s’arrêter lui-même. » Ce vertige est esquissé sans jamais que sa schizophrénie soit explorée.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Pour ce rôle, avec talent, il se compose un visage inédit : blême, opaque, inaccessible, sans charme. Si le parti pris de suivre l’affaire aux côtés du tueur peut mettre mal à l’aise plus d’un spectateur, le film dénué de sensationnalisme ne fait preuve d’aucune complaisance à son égard.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Ce polar tendu et sombre embarque peu à peu le spectateur dans la tête d’un psychopathe au visage si innocent pour mieux le surprendre.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Libération
par Bruno Icher
Déambulation d’un Guillaume Canet en gendarme serial killer de l’Oise. Dérangeant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Critikat.com
par Benoît Smith
Le récit est honnête, délivrant le programme (attendu si on considère les faits réels d’origine) d’alternance entre les genres, les registres et les points de vue, mais restant à la surface de ce qu’il pouvait faire avec son matériau.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
"La Prochaine fois, je viserai le cœur" n’en constitue pas moins un film pataud, glauque et déplaisant, harnaché à un ramassis de clichés dignes d’une série télé de basse-fosse.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Studio Ciné Live
par Xavier Leherpeur
CONTRE : voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Studio Ciné Live
POUR : voir la critique sur le site de Studio Ciné Live
20 Minutes
L'acteur (Guillaume Canet), d'une sobriété remarquable, est l'un des atouts majeurs de ce portrait d'un homme malade (...).
CNews
Cédric Anger parvient à installer une atmosphère glaciale (...) Péchant parfois par un manque de variété de points de vue, ce portrait d'un tueur au-dessus de tout soupçon reste passionnant et fait véritablement froid dans le dos.
Closer
Une histoire vraie avec un Guillaume Canet au top de sa forme.
Elle
Il (ce phobique) est incarné par un Guillaume Canet troublant et particulièrement inquiétant dans ce double jeu.
L'Express
Voir le site de L'Express.
L'Humanité
Le troisième film d’un jeune cinéaste dont on reparlera sans nul doute.
L'Obs
L'acteur impressionne dans "La prochaine fois je viserai le cœur".
Le Dauphiné Libéré
Un bon polar aux couleurs sombres, inspiré d’un fait divers, et une forte composition de Guillaume Canet.
Le Monde
Le résultat est digne des meilleurs films noirs de Jean-Pierre Melville. (...) Anger s'empare d'un genre (...) pour affirmer son style, fait de mélange de réalisme et de poésie.
Le Parisien
(...) Un récit glauque pour un personnage glaçant. (...) Guillaume Canet offre une interprétation énigmatique d'une exceptionnelle qualité.
Les Fiches du Cinéma
Cette histoire vraie d'un homme double, incarné avec une douce ferveur par Guillaume Canet, est constamment déstabilisante et passionnante.
Les Inrockuptibles
Cédric Anger réussit là son film le plus accompli, visant aussi bien notre cœur de spectateur que notre esprit de cinéphile.
Mad Movies
Une histoire et un point de vue solides, et hop, le cinoche français a de la gueule.
Metro
Cédric Anger dresse le portrait d'un meurtrier à la personnalité opaque dans un thriller documenté qui, malgré quelques longueurs, évite tout sensationnalisme.
Ouest France
Sous les traits impassibles d'un Guillaume Canet tout en retenue, métamorphosé et muré dans son monde, il (Alain Lamare) garde pour lui les démons qui le possèdent.
Paris Match
(...) "La prochaine fois je viserai le cœur" (...) : une pépite sombre (...).
Première
C'est à la fois déstabilisant et captivant.
TF1 News
Cédric Anger brosse avec une impassibilité glaciale le portrait d'un homme malade, admirablement campé par Guillaume Canet. Dans son genre, très impressionnant.
Télé 7 Jours
(Le réalisateur) radiographie avec une froideur clinique la folie criminelle d'un psychopathe auquel Guillaume Canet, en mode minimaliste, apporte une dimension banale et terrifiante.
Télérama
Pur, sombre, effrayant.
Voici
Le réalisateur ne cherche pas à déclencher chez le spectateur une quelconque empathie pour son personnage. Même s'il est interprété par Guillaume Canet...
aVoir-aLire.com
La mise en scène brille dans une restitution de faits épouvantables où la douleur sourde est palpable, alors qu’Anger nous convie aux portes d’une folie malaisée qui trouve en Guillaume Canet un réceptacle formidable.
Cahiers du Cinéma
Le troisième long métrage de Cédric Anger, son meilleur, s’intéresse à l’étrange cas d’un gendarme serial killer à la fin des années 70. le réalisateur a une jolie formule dans le dossier de presse : « À la limite, il aimerait s’arrêter lui-même. » Ce vertige est esquissé sans jamais que sa schizophrénie soit explorée.
La Croix
Pour ce rôle, avec talent, il se compose un visage inédit : blême, opaque, inaccessible, sans charme. Si le parti pris de suivre l’affaire aux côtés du tueur peut mettre mal à l’aise plus d’un spectateur, le film dénué de sensationnalisme ne fait preuve d’aucune complaisance à son égard.
Le Journal du Dimanche
Ce polar tendu et sombre embarque peu à peu le spectateur dans la tête d’un psychopathe au visage si innocent pour mieux le surprendre.
Libération
Déambulation d’un Guillaume Canet en gendarme serial killer de l’Oise. Dérangeant.
Critikat.com
Le récit est honnête, délivrant le programme (attendu si on considère les faits réels d’origine) d’alternance entre les genres, les registres et les points de vue, mais restant à la surface de ce qu’il pouvait faire avec son matériau.
La Voix du Nord
"La Prochaine fois, je viserai le cœur" n’en constitue pas moins un film pataud, glauque et déplaisant, harnaché à un ramassis de clichés dignes d’une série télé de basse-fosse.
Studio Ciné Live
CONTRE : voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.