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(...) On constatera (...), au-delà de l'humour et du côté "autre" de l'entreprise, que la véhémence, marque de fabrique du cinéaste, a disparu pour laisser poindre le désenchantement. (...) Mocky pourrait bien avoir signé son meilleur film depuis "Noir comme le souvenir" (1995).
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
On retrouve l'amour [de Jean-Pierre Mocky] des forts en gueule qui aboient pour ne pas mordre, son admiration pour les champions cyclistes (...) et son goût pour les décors et les plans expressionnistes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Mocky, qui a écrit, produit, réalisé et monté lui-même son film, convoque les codes de l’expressionnisme allemand et fait passer, l’air d’en rire et en bâclant un peu l’affaire, une mélancolie à vous laisser au fond du trou.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Jean-Pierre Mocky fait appel à ses fidèles pour orchestrer une partie de Cluedo ludique et décontracté. Du Mocky à l'ancienne... sans le charme de l'ancien.
(...) L'entreprise de destruction qui résume le film jusque dans son final "explosif" est mise à mal par un dispositif théâtral, à la fois long et accablant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
Mocky brode un petit récit moral anar comme il en a le secret, où chaque acteur peut jouer sa partition à sa guise.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné live.
TF1 News
(...) On constatera (...), au-delà de l'humour et du côté "autre" de l'entreprise, que la véhémence, marque de fabrique du cinéaste, a disparu pour laisser poindre le désenchantement. (...) Mocky pourrait bien avoir signé son meilleur film depuis "Noir comme le souvenir" (1995).
Télérama
On retrouve l'amour [de Jean-Pierre Mocky] des forts en gueule qui aboient pour ne pas mordre, son admiration pour les champions cyclistes (...) et son goût pour les décors et les plans expressionnistes.
TéléCinéObs
Mocky, qui a écrit, produit, réalisé et monté lui-même son film, convoque les codes de l’expressionnisme allemand et fait passer, l’air d’en rire et en bâclant un peu l’affaire, une mélancolie à vous laisser au fond du trou.
aVoir-aLire.com
En livrant un film policier au ton désabusé, Mocky signe son meilleur film depuis une bonne quinzaine d’années.
Les Fiches du Cinéma
Jean-Pierre Mocky fait appel à ses fidèles pour orchestrer une partie de Cluedo ludique et décontracté. Du Mocky à l'ancienne... sans le charme de l'ancien.
Critikat.com
Un "Renard jaune" sans queue ni tête.
Le Monde
(...) L'entreprise de destruction qui résume le film jusque dans son final "explosif" est mise à mal par un dispositif théâtral, à la fois long et accablant.
Le Parisien
Le spectateur en sort explosé.
Libération
De quoi pallier la disparition des Derrick en début d'après-midi. Sénescent pas très bon.